Zineb El Rhazoui

Zineb El Rhazoui
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Zineb El Rhazoui lors d'une conférence à Londres en 2017.
Biographie
Naissance
Nom dans la langue maternelle
زينب الغزويVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Zineb El Rhazoui
Pseudonyme
ZinebVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Conjoint
Jaouad Benaissi (d) (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
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Blog officiel

Zineb El Rhazoui (en arabe : زينب الغزوي, prononcé [zinæb əl ɣæzwi][1] en arabe marocain ou [zineb el ʁazwi] en français), ou simplement Zineb comme nom de plume, est une écrivaine, journaliste et militante des droits de l'homme franco-marocaine, née le à Casablanca.

Biographie

Origines

Zineb El Rhazoui naît le à Casablanca[2] d'un père natif de cette ville, cadre[3] chez Royal Air Maroc, et d'une mère, femme au foyer[2],[4] issue d’une Française et d’un Oranais représentant le FLN auprès de la diaspora ouvrière algérienne en France[2]. Elle dispose des nationalités française et marocaine[5].

Formation

Après un baccalauréat obtenu dans un lycée de Casablanca[6], Zineb El Rhazoui part étudier à l'université Panthéon-Sorbonne, en licence de langues arabe et anglaise[2].

Elle obtient ensuite une maîtrise de langues étrangères appliquées à l'université Sorbonne-Nouvelle (Paris-III) en 2004, puis en sociologie des religions à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS)[4],[7] ; en 2007, elle rédige un mémoire sur « L'évangélisation au Maroc » en 2007[8].

Elle enseigne l’arabe classique, la méthodologie de l’écrit et de la recherche avant de couvrir la guerre de Gaza en 2008[9].

Premiers engagements

Elle est ensuite professeur à l’université française d'Égypte (UFE), où elle enseigne la méthodologie de l'écrit et de la recherche[2],[10],[11] ainsi que l'arabe classique à des étudiants de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr en stage de formation au Caire[8].

Elle collabore d'abord au Journal hebdomadaire[2], où elle publie de nombreux articles sur la communauté chrétienne marocaine et le culte maraboutique[12]. Elle mène de nombreuses enquêtes sur les libertés individuelles et les droits de l'homme au Maroc, ce qui lui vaut d'être arrêtée à trois reprises[13].

En 2009, elle fonde avec une amie, la Marocaine Ibtissam Lachgar, le Mouvement alternatif pour les libertés individuelles (MALI)[14] qui réclame notamment l'abrogation de l'article 222 du Code pénal marocain qui punit d'un à six mois d'emprisonnement et d'une amende de 200 à 500 dirhams quiconque « notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du ramadan, sans motif admis par cette religion »[15],[16]. En , le MALI provoque une vive polémique au Maroc après avoir tenté d'organiser, à Mohammédia, un pique-nique en public en plein mois de jeûne[2],[16]. Cette tentative initie le mouvement des « Dé-jeûneurs »[16],[17],[4],[18].

En , elle participe à la coordination du mouvement du 20 Février[2]. Elle se fait remarquer lors d'une réunion plénière d'Europe Écologie Les Verts le à Clermont-Ferrand par son intervention contre Driss el-Yazami, conseiller du Roi[19].

Fin 2011, elle trouve refuge à Ljubljana, en Slovénie, dans le cadre du programme International Cities of Refuge Network (en) (IPCORN)[20],[21],[22]. Elle y reste un[2] à deux ans[21]. Elle part ensuite vivre en France. Elle devient porte-parole de Ni putes ni soumises en [2] ou [23],[24].

Charlie Hebdo

(en) Discours de Rhazoui sur « détruire le fascisme islamique » à Londres, en 2017 (29 min).

Après y avoir signé quelques articles dès 2011, elle est embauchée en 2013 par l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo[2], où elle écrit sur le thème des religions[25],[26].

Alors en vacances[27] à Casablanca, elle échappe à l'attentat terroriste islamiste contre le siège social de Charlie Hebdo le [2]. Elle contribue au « numéro des survivants », qui sort en kiosque le mercredi suivant.

En , elle reçoit, ainsi que son mari, des menaces de mort sur Twitter[28]. En , elle préside le jury du prix de la Laïcité[29].

En , dans l'émission Le Petit Journal, elle dénonce la mauvaise répartition de l'argent perçu par Charlie Hebdo après l'attentat[30]. La journaliste, membre de la rédaction, reçoit le mercredi , un courrier de convocation à un entretien préalable à un licenciement pour faute grave envoyé par la direction, en attendant elle est mise à pied[31]. Elle dit ignorer le motif de sa convocation et la faute grave dont il serait question et déclare : « Je suis choquée et scandalisée qu'une direction qui a bénéficié d'autant de soutien après les attentats de janvier fasse preuve d'aussi peu de soutien envers un de ses salariés, qui est sous pression comme tous dans l'équipe et fait l'objet de menaces »[31]. La procédure de licenciement est annulée deux jours après[30].

En , elle publie chez les Éditions Ring un livre sur les attentats du 13 novembre intitulé 13[32],[33].

Le , elle annonce quitter Charlie Hebdo, lors d'un entretien à la webradio étudiante Web7Radio[34],[35].

Après Charlie Hebdo

Régulièrement menacée de mort, elle est l'une des femmes les plus protégées de France et vit sous escorte policière en continu depuis l'attentat de [36],[37]. Elle porte plainte à plusieurs reprises : lors d'un premier procès tenu en , elle obtient la condamnation d'un étudiant[38].

En , elle publie dans la presse « Lettre ouverte à un candidat au djihad »[39],[40]. Un documentaire lui est consacré en 2017[41]. Elle est régulièrement invitée sur les plateaux de télévision[37].

Le , sa réception du Prix Simone-Veil des Trophées Elles de France, organisés par le conseil régional d'Île-de-France, ravive la polémique, notamment sur les réseaux sociaux[42],[43]. Son attribution résulte de votes en ligne, ouverts du au sur le site du conseil régional — la clôture est ainsi intervenue avant les propos polémiques tenus sur CNews —, et non par le choix du jury, comme pour les autres trophées remis à des femmes de la région (prix de la solidarité, de la création, de l'innovation et du dépassement de soi) : les internautes étaient appelés à choisir « la femme francilienne de l’année, pour sa détermination et son dévouement à défendre une cause », une « femme de combat »[44]. Zineb El Rhazoui l'emporte avec une très large majorité : 7 999 des 10 256 votes exprimés[44]. Si Arrêt sur images indique ne pas avoir trouvé de trace d'appels en ligne à voter massivement, le média en ligne relève qu'elle a bénéficié d'appels à voter de la part de « personnalités de milieux différents (mais quasi toutes situées à droite) et très suivies », dont Nadine Morano, Bernard de la Villardière, Véronique Genest, ou encore Françoise Laborde, et estime que la forte présence de Zineb El Rhazoui sur les réseaux sociaux lui a sans doute permis de s'imposer[44]. « Alternative écologique et sociale », groupe d'opposition du conseil régional, publie un communiqué de protestation contre cette attribution[44]. Par ailleurs, Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, lance une cagnotte en soutien de Zineb El Rhazoui[45].

À l'initiative de Taha Bouhafs, elle est prise à partie lors de la « marche contre l'islamophobie » qui se tient à Paris le [46].

Zineb El Rhazoui préface le livre publié en à l'initiative de la militante Zohra Bitan, #JeSuisMila #JeSuisCharlie #NousSommesLaRépublique : 50 personnalités s’expriment sur la laïcité et la liberté d’expression : « Par ce livre, nous disons à Mila et à tous ceux qui pensent comme elle qu'ils ne sont pas seuls, que leur liberté est notre sacerdoce »[47].

Elle est victime, fin , de cyberharcèlement sur Twitter de la part d'Idriss Sihamedi fondateur de Barakacity. Dix mois de prison avec sursis sont requis par la procureure de la République à son encontre [48]. Bien que reconnaissant la matérialité des faits, le tribunal le relaxe en janvier 2021 mais le parquet fait appel[49],[50].

Le , elle accuse le CCIF d'avoir participé au harcèlement qui a conduit à l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine. L’organisation porte plainte contre elle pour diffamation[51].

Polémiques et controverses

Durant l'automne 2019 est exhumée une photo de la montrant aux côtés de Papacito, auteur connu de l'extrême droite française sur internet et édité comme elle chez Ring : cette photo illustre, selon Arrêt sur images, « le rapprochement d'une gauche "laïcarde" avec la droite dure, voire l'extrême droite »[37].

En , quelques jours après l'attentat de la préfecture de police de Paris, elle compare l’éditorialiste Jean-Michel Aphatie à un « collabo », insulte d’ordinaire utilisée par l'extrême droite selon L'Obs, pour avoir appelé à « réformer profondément la loi de 1905 »[52].

Le , sur un plateau de CNews, interrogée au sujet de récents événements à Mantes-la-Jolie, elle propose que les policiers puissent tirer « à balles réelles » dans le cas de « guet-apens organisé autour d'une petite patrouille de police », ce qui suscite l'indignation de certains chroniqueurs de l'émission et un rappel à l'ordre de Zineb El Rhazoui par l'animateur (Pascal Praud)[53],[44]. La Ligue des droits de l'homme signale les propos au procureur de la République et au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)[44]. Arrêt sur images estime à cette occasion que Zineb El Rhazoui « poursuit un glissement de plus en plus prononcé vers l'extrême droite »[44]. Face à la polémique, elle confirme ses propos en précisant avoir « rappelé un principe légal qui s'appelle la légitime défense »[54]. Peu après, son avocat annonce déposer plainte pour elle « suite au nouveau déchaînement de haine, d'injures et de menaces de mort reçues ces derniers jours », notamment contre le rappeur Booba[55].

Selon Les Inrockuptibles « au-delà de ses propos tenus il y a peu sur CNews, ce sont ses prises de position, notamment sur l'islam, qui lui valent d'être régulièrement au cœur de polémiques[43]. » En , elle en déclenche une nouvelle sur Twitter après y avoir écrit :

« […] mort à l’islam et à tous les dieux, mort aux religions qui nous emmerdent et mort aux cons comme disait #Cabu ! […] Que la déesse raison vous sauve ![56] »

Elle est l'une des figures se réclamant du mouvement « #ExMuslim », qui réunit des apostats de l'islam venus d’Allemagne et du Royaume-Uni et qui émerge en France, où ses membres sont souvent « récupérés par l’extrême droite » selon L'Obs[57]. Elle compare l’islam à l’occupant nazi[52], présente le voile comme un étendard de propagande islamiste, dont le port devrait être interdit aux accompagnatrices de sorties scolaires[37], et défend l'idée que le monde politique, notamment à gauche, souffre d'aveuglement ou de laxisme envers les Frères musulmans et les salafistes[37].

Vie personnelle

Zineb El Rhazoui est mariée à l'écrivain Jaouad Benaissi entre 2014 et 2015[58],[59],[60],[61]. En 2017, elle donne naissance à une fille[9].

Distinctions

En , Zineb El Rhazoui reçoit le prix Marianne-Jacques-France du Grand Orient de France pour son combat en faveur de la laïcité et de la liberté de conscience[62].

En , elle reçoit de la région Île-de-France le prix Simone-Veil des trophées Elles-de-France attribué selon un vote en ligne accessible à l'ensemble des citoyens pour « son courage et sa force dans ses combats pour la défense de la laïcité, la lutte contre toutes les formes d'obscurantisme et de l'égalité entre les femmes-hommes »[63],[42].

En , l'agence Reuters révèle qu'elle a été nommée pour le Prix Nobel de la paix 2021[64],[65].

Publications

Tribune

  • « Lettre ouverte à un candidat au djihad »[66], Le Figaro

Filmographie

  • Rien n'est pardonné, documentaire[41] de Vincent Coen et Guillaume Vandenberghe ; production/diffusion : Savage Film Production, Eklektik Productions, RTBF ; 2017, 61 min.

Notes et références

  1. Prononciation en arabe marocain retranscrite selon la norme API.
  2. a b c d e f g h i j k et l Guillaume Gendron, « Zineb El Rhazoui, Charlie à dos », sur liberation.fr, Libération, (consulté le 26 juin 2016).
  3. Henri Seckel, « Zineb El Rhazoui, une journaliste dans la ligne de mire depuis Charlie Hebdo », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le 17 février 2019).
  4. a b et c Chloé Aeberhardt, « Zineb El Rhazoui : la femme la plus protégée de France », sur marieclaire.fr, Marie Claire, (consulté le 26 juillet 2016).
  5. Charlotte Rotman, « Ni putes ni soumises cherche sa direction », Libération.fr,‎ (lire en ligne).
  6. « Zineb El Rhazoui, en lutte contre cette « bien-pensance » qui voudrait excuser les terroristes », sur marianne.net, .
  7. Nicolas Zomersztajn, « La liberté d’expression contre elle-même », Regards, Centre communautaire juif Susskind, no 765,‎ (lire en ligne).
  8. a et b Ghalia Slaoui, « Zineb El Rhazoui, frondeuse du ramadan », article publié dans Le Temps le 29 septembre 2009 (consulté le 28 juillet 2016).
  9. a et b Aurélie Moreau, « Cinq ans avec la journaliste de Charlie Hebdo Zineb El Rhazoui », lalibre.be, (consulté le 5 septembre 2017).
  10. « Ramadan : ces Marocains qui veulent être libres de ne pas jeûner », Rue 89,‎ (lire en ligne).
  11. « Zineb El Rhazoui, Charlie à dos », Libération,‎ (lire en ligne).
  12. Mohamed Leftah et al., Nouvelles du Maroc, Paris, Magellan-Courrier international, coll. « Miniatures », , 144 p., 20 cm (ISBN 978-2-35074-214-4, notice BnF no FRBNF42579919) [lire en ligne (page consultée le 27 juillet 2016)].
  13. Ludivine Le Goff, « Révolutions arabes : et si c'était celles des femmes ? », Au féminin.com,‎ (lire en ligne).
  14. « Les auteurs : Zineb El Rhazoui », sur Mémoire des luttes.
  15. Liliane Charrier, « Au Maghreb, les dé-jeûneurs ont fin de démocratie », sur information.tv5monde.com, TV5 Monde, (consulté le 26 juillet 2016).
  16. a b et c Anaïs Lefébure, « D'où vient l'article 222 du code pénal qui punit les “déjeûneurs” pendant le ramadan ? », sur huffpostmaghreb.com, .
  17. Ghiziaine Khairi, « Maroc : Facebook, refuge des « dé-jeûneurs » du ramadan », Rue 89,‎ (lire en ligne).
  18. « La journaliste adepte du “non-jeûne” réapparaît », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne).
  19. Vidéo de son intervention
  20. Zineb El Rhazoui, « La révolution est une femme », Arte.tv,‎ (lire en ligne).
  21. a et b (en) « 2015 ICORN Lecture by Zineb El Rhazoui », sur icorn.org, (consulté le 27 juillet 2015).
  22. (en) « Ljubljana City of Refuge (ICORN) », sur culture.si, (consulté le 27 juillet 2016).
  23. « Zineb El Rhazoui, porte-parole de “Ni putes ni soumises” », Bladi.net,‎ (lire en ligne).
  24. « Deux nouvelles porte-parole pour le mouvement Ni Putes Ni Soumises », sur Ni Putes Ni Soumises, .
  25. « Zineb El Rhazoui : « On veut faire un numéro qui soit presque un numéro intime » », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  26. « Zineb de « Charlie Hebdo » : « Il arrivait que l’on dise aux collègues : “Je vous aime” » », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  27. E.C., « Une survivante de Charlie Hebdo raconte sa “vision d’horreur” », Paris Match,‎ (lire en ligne).
  28. Ceci n'est pas un blasphème : La force de l'image, des caricatures de Mahomet à l'hypercapitalisme. Ariel Kyrou, Mounir Fatmi Inculte - Dernière Marge - 377 p.
  29. « Prix de la Laïcité 2015 : discours (vidéo) de Zineb El Rhazoui, présidente du présidente du jury », sur laicite-republique.org, comité Laïcité-République, (consulté le 27 juillet 2016).
  30. a et b « Zineb El Rhazoui : l’argent versé à Charlie Hebdo «n'était certainement pas pour les actionnaires» », sur Libération.fr, (consulté le 21 décembre 2018).
  31. a et b « Charlie Hebdo : une journaliste visée par un licenciement », Le Figaro.fr,‎ (lire en ligne).
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  33. Pauline Delassus, « Zineb El Rhazoui, une femme en danger », parismatch.com, (consulté le 5 septembre 2017).
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  42. a et b Noémie Tissot, « Zineb El Rhazoui reçoit le prix Simone Veil pour sa défense de la laïcité, Internet s'enflamme », sur gentside.com, (consulté le 8 novembre 2019).
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  44. a b c d e f et g Tony Le Pennec, « Comment le prix Simone-Veil a-t-il été décerné à Zineb El Rhazoui ? », sur Arrêt sur images.net, (consulté le 11 novembre 2019).
  45. Lucie Delaporte, Pauline Graulle et Ellen Salvi, « Le Printemps républicain, une «petite boutique» qui veut peser sur le jeu politique », sur Mediapart, (consulté le 1er décembre 2019).
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  50. actu.fr/ile-de-france
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  55. « Attentat de Conflans : qu'est-ce que le CCIF, association menacée de dissolution par Darmanin ? », sur rtl.fr, (consulté le 8 novembre 2019).
  56. Florian Guénet, « Islam : Zineb El Rhazoui (Charlie Hebdo) crée la polémique », sur La Nouvelle Tribune, (consulté le 5 décembre 2020).
  57. Célia Mebroukine et Timothée de Rauglaudre, « #ExMuslims, ces anciens musulmans qui fustigent l’islam », sur nouvelobs.com, (consulté le 25 novembre 2019).
  58. notice BnF no FRBNF16195247.
  59. « Charlie Hebdo : Zineb El Rhazoui et son mari menacés de mort, des photos publiées », sur 20minutes.fr
  60. AFP, « Menaces de mort contre une collaboratrice de Charlie Hebdo », sur lepoint.fr, Le Point, (consulté le 26 juillet 2016).
  61. (ar) « الاعلان عن طلاق جواد بنعيسي والصحافية زينب الغزوي », sur مغرس (consulté le 18 novembre 2019)
  62. « Zineb El Rhazoui, prix Marianne Jacques France du GODF », sur "LA LUMIĒRE", le Blog franc et maçon de L’Express, (consulté le 28 novembre 2019)
  63. « Trophées ellesdeFrance 2019 : votez pour la Francilienne de l'année », www.iledefrance.fr,‎ (lire en ligne)
  64. « Zineb El Rhazoui proposée pour le prix Nobel de la paix 2021 », lefigaro.fr, (consulté le 4 mai 2021).
  65. « Black Lives Matter, Zineb El Rhazoui... Les premiers nommés pour le prix Nobel de la Paix », rtl.fr, (consulté le 4 mai 2021).
  66. Voir sur lefigaro.fr.

Voir aussi

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