Xavier Bertrand | |
Xavier Bertrand en 2018. | |
Fonctions | |
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Président du conseil régional des Hauts-de-France | |
En fonction depuis le (5 ans et 6 mois) |
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Élection | |
Réélection | |
Coalition | LR-UDI-MoDem (2016-2017) LR-UDI-MoDem-LREM (depuis 2017) |
Prédécesseur | Daniel Percheron (NPDC) Claude Gewerc (Picardie) |
Président de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[N 1] | |
– (6 ans, 2 mois et 26 jours) |
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Élection | |
Prédécesseur | Pierre André |
Successeur | Frédérique Macarez |
Maire de Saint-Quentin | |
– (5 ans, 3 mois et 10 jours) |
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Élection | |
Prédécesseur | Pierre André |
Successeur | Frédérique Macarez |
Ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé | |
– (1 an, 5 mois et 26 jours) |
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Président | Nicolas Sarkozy |
Premier ministre | François Fillon |
Gouvernement | Fillon III |
Prédécesseur | Éric Woerth (Travail) Christine Lagarde (Emploi) Roselyne Bachelot (Santé) |
Successeur | Michel Sapin (Travail et Emploi) Marisol Touraine (Santé) |
Secrétaire général de l'UMP | |
– (1 an, 11 mois et 12 jours) |
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Prédécesseur | Patrick Devedjian |
Successeur | Jean-François Copé |
Ministre du Travail, des Relations sociales, de la Solidarité et de la Famille[N 2] | |
– (1 an, 7 mois et 28 jours) |
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Président | Nicolas Sarkozy |
Premier ministre | François Fillon |
Gouvernement | Fillon I et II |
Prédécesseur | Jean-Louis Borloo |
Successeur | Brice Hortefeux (Travail) |
Ministre de la Santé et des Solidarités | |
– (1 an, 9 mois et 24 jours) |
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Président | Jacques Chirac |
Premier ministre | Dominique de Villepin |
Gouvernement | Villepin |
Prédécesseur | Philippe Douste-Blazy |
Successeur | Philippe Bas |
Secrétaire d'État chargé de l’Assurance maladie | |
– (1 an et 2 mois) |
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Président | Jacques Chirac |
Premier ministre | Jean-Pierre Raffarin |
Gouvernement | Raffarin III |
Prédécesseur | Fonction créée |
Successeur | Philippe Bas (indirectement) |
Député | |
– (3 ans, 6 mois et 26 jours) |
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Circonscription | 2e de l'Aisne |
Législature | XIVe (Cinquième République) |
Prédécesseur | Pascale Gruny |
Successeur | Julien Dive |
– (1 an, 9 mois et 29 jours) |
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Circonscription | 2e de l'Aisne |
Législature | XIIIe (Cinquième République) |
Prédécesseur | Pascale Gruny |
Successeur | Pascale Gruny |
– (29 jours) |
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Circonscription | 2e de l'Aisne |
Législature | XIIIe (Cinquième République) |
Prédécesseur | Pascale Gruny |
Successeur | Pascale Gruny |
– (1 an, 10 mois et 11 jours) |
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Circonscription | 2e de l'Aisne |
Législature | XIIe (Cinquième République) |
Prédécesseur | Odette Grzegrzulka |
Successeur | Pascale Gruny |
Conseiller général de l'Aisne | |
– (4 ans, 2 mois et 23 jours) |
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Circonscription | Canton de Saint-Quentin-Nord |
Prédécesseur | Jacques Braconnier |
Successeur | Jérôme Lavrilleux |
Biographie | |
Nom de naissance | Xavier René Louis Bertrand[1] |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Châlons-sur-Marne (France) |
Nationalité | Français |
Parti politique | RPR (1981-2002) UMP (2002-2015) LR (2015-2017) SE (depuis 2017) |
Diplômé de | Université de Reims Champagne-Ardenne |
Profession | Agent d'assurance |
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Xavier Bertrand, né le à Châlons-sur-Marne (aujourd’hui Châlons-en-Champagne), est un homme politique français.
Il est ministre de la Santé du gouvernement Dominique de Villepin (2005-2007) puis ministre du Travail des trois gouvernements François Fillon (2007-2009 et 2010-2012). Il est secrétaire général de l'UMP de 2008 à 2010.
Député entre 2002 et 2016, maire de Saint-Quentin de 2010 à 2016 et président de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois de 2014 à 2020, il est président du conseil régional des Hauts-de-France depuis 2016. Il quitte Les Républicains en 2017, à la suite de l'élection de Laurent Wauquiez à la tête du parti.
En , il annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 2022.
Xavier Bertrand naît le à Châlons-sur-Marne. Il est le fils de Jean-Pierre Bertrand, cadre bancaire à la Société générale Asset Management, et de Madeleine Bedin, employée de banque.
Il effectue ses études à l'unité de formation et de recherche droit et science politique de l'université de Reims, où il obtient une maîtrise de droit public, puis un diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) d'administration locale. Il exerce par la suite la profession d'agent d'assurance de mobylettes pour le groupe Axa.
Xavier Bertrand épouse en premières noces Isabelle Dubois, avec qui il a une fille. Divorcé, il se remarie en 1998 avec Emmanuelle Gontier, conseillère en ressources humaines dont il a des jumeaux[2]. Il divorce à nouveau en 2014 puis s'installe avec Vanessa Williot, alors conseillère municipale d'opposition à Saint-Amand-les-Eaux[3]. Avec cette dernière, qu'il épouse en 2018, il a un fils[4].
Xavier Bertrand est initié le 11 mars 1995 au sein de la loge maçonnique Les Fils d’Isis à l’Orient de Tergnier (Aisne) et du Grand Orient de France (GODF)[5]. Cependant, durant ses engagements dans les gouvernements de Jean-Pierre Raffarin et de François Fillon, entre 2004 et 2012, il dit s'être retiré de façon significative vis-à-vis de la franc-maçonnerie en raison de l'incompatibilité avec ses fonctions, en y participant à seulement deux reprises, comme conférencier[6]. En 2012, après 17 années, il démissionne de sa loge[5].
Militant dès l'âge de seize ans au RPR, il subit un échec aux élections municipales de 1989 à Saint-Quentin[7]. Lors du référendum de 1992 sur le traité de Maastricht, il fait campagne pour le « non » dans son département de l'Aisne.
En 1995, il devient adjoint au maire de Saint-Quentin, chargé de la redynamisation. Il est reconduit dans ses fonctions en 2001, avec la délégation de de l'animation et du développement de la ville[8]. Il est ainsi l'un des créateurs de la plage de Saint-Quentin, événement similaire, mais antérieur, à Paris Plages[9].
De 1987 à 1992, il est assistant parlementaire de Jacques Braconnier, sénateur de l’Aisne[10].
En parallèle, il est élu député, le , dans la deuxième circonscription de l'Aisne, battant la députée PS sortante, Odette Grzegrzulka[11]. Il est choisi comme rapporteur du projet de loi à l'Assemblée nationale. Il est pendant cette période membre du Club de la boussole[12].
Le , lors de la formation du gouvernement Raffarin III, il est nommé secrétaire d'État chargé de l'Assurance maladie. Sous la responsabilité de son ministre de tutelle, Philippe Douste-Blazy, il mène une réforme de l'Assurance maladie. Il s'engage en faveur du « oui » dans la campagne pour le référendum de 2005 sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe[13].
À la suite de la victoire du « non » au référendum de 2005, Jean-Pierre Raffarin remet la démission de son gouvernement au président de la République. Dans le gouvernement Villepin, Xavier Bertrand remplace Philippe Douste-Blazy à la fonction de ministre de la Santé et des Solidarités. Son passage au ministère est marqué par l'épidémie de chikungunya à la Réunion, l'arrivée de la grippe aviaire en Europe, l'interdiction de fumer dans les lieux publics décidée en 2006, et la création d'un corps de réserve sanitaire pour faire face à une éventuelle crise en France ou à l'étranger[14]. Il décide, contre l'avis de la Haute Autorité de santé, de maintenir le remboursement par la Sécurité sociale du Mediator ; Le Canard enchaîné révèle ultérieurement que plusieurs de ses conseillers au ministère étaient rémunérés par les laboratoires Servier, fabricant du Mediator[15].
Xavier Bertrand apporte son soutien à Nicolas Sarkozy en vue de l'élection présidentielle de 2007. Le , il est nommé porte-parole de la campagne de celui-ci. Dominique de Villepin l’appelle alors à rester au gouvernement, mais Xavier Bertrand démissionne le pour se consacrer pleinement à la campagne[16].
Le , il est nommé ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité dans le gouvernement François Fillon. Réélu le député de la 2e circonscription de l'Aisne dès le premier tour avec 53,3 % des suffrages, il quitte aussitôt l’Assemblée nationale en raison de sa reconduction dans ses fonctions de ministre du Travail le suivant. Il est alors accompagné par une nouvelle secrétaire d'État, Valérie Létard, chargée de la Solidarité, puis, à partir du , de Nadine Morano, secrétaire d'État chargée de la Famille. Xavier Bertrand est chargé d'un important ensemble de réformes sociales comprenant notamment l'instauration du service minimum et la réforme des régimes spéciaux de retraite.
Après l'entrée de Patrick Devedjian au gouvernement, il est nommé secrétaire général par intérim de l'UMP, le [16]. Il quitte le gouvernement Fillon lors du remaniement du , prend la tête effective de l'UMP le suivant[17], puis retrouve son siège à l'Assemblée nationale, étant le premier à bénéficier d'une loi votée en qui permet aux membres de gouvernement sortants de retrouver leur siège de parlementaire sans passer par une élection partielle[18].
Le , à l'occasion d'une visite en Chine, Xavier Bertrand signe un mémorandum entre l'UMP et le Parti communiste chinois (PCC). Cet accord, censé renforcer les relations entre les deux partis, a fait l'objet d'une controverse au sein de l'UMP, certains élus estimant que le PCC n'est pas un parti démocratique mais totalitaire[19]. Xavier Bertrand est élu maire de Saint-Quentin (Aisne) le .
Lors de la formation du gouvernement Fillon III, le , il devient ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé, et démissionne du secrétariat général de l'UMP trois jours plus tard[20]. Il doit notamment gérer la polémique sur le Mediator[21]. Il affirme avoir pris connaissance de sa dangerosité en [22].
En 2020, dans le cadre de la pandémie de Covid-19, il est auditionné par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale en tant qu'ancien ministre de la Santé, au même titre que Roselyne Bachelot, Marisol Touraine et Agnès Buzyn[23].
À l’issue des élections législatives de 2012, qui voient la défaite de son parti, il est réélu de justesse député de la 2e circonscription de l'Aisne au second tour, avec 50,3 % des voix face à la socialiste Anne Ferreira[24],[25]. Candidat à la présidence du groupe UMP avec le soutien de François Fillon, il réunit 63 voix, face à Christian Jacob, proche de Jean-François Copé, qui obtient 117 suffrages, et à Hervé Gaymard, qui en totalise 17[26].
En , il affirme avoir réuni les parrainages nécessaires pour se présenter comme candidat à l'élection du président de l'UMP[27] mais ne se présente finalement pas.
Xavier Bertrand se présente comme tête de liste de l’UMP aux élections régionales de 2015 en région Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Arrivé second au premier tour du scrutin avec 25 % des voix, loin derrière Marine Le Pen et ses 40,6 %[28], il bénéficie au second tour du retrait de la liste menée par le Parti socialiste, qui appelle à faire barrage au Front national. Il arrive ainsi en tête du second tour avec 57,8 % des voix, en partie grâce au bon report de voix des électeurs de gauche.
Il quitte alors son mandat de maire, comme la loi l'y oblige, pour rester conseiller municipal et président de l'agglomération de Saint-Quentin[29]. Il annonce également qu'il abandonne son mandat de député dès le , alors que la loi sur le cumul des mandats de 2014 lui laissait la possibilité d'attendre (ce qui donne lieu à une législative partielle). Pour compenser ses pertes de revenus, il fait augmenter ses indemnités par l'agglomération de Saint-Quentin[30]. Au conseil régional, il fait baisser de 5 % les indemnités des élus[31]. En 2016, il s'attire des critiques pour avoir fait augmenter de 4 000 euros son indemnité de conseiller municipal, venant s'ajouter à son indemnité de président de région[32].
En mai 2020, Mediapart indique qu’il a financé des repas politiques avec des fonds régionaux, pour plus de 7 000 euros[33].
Candidat à sa réélection pour les élections régionales de 2021 dans les Hauts-de-France, il mène une liste divers droite baptisée « Se battre pour vous », qui compte au moins 20 candidats ayant soutenu La République en marche ou été soutenus par ce parti lors de précédents scrutins[34]. Il l’emporte au second tour avec plus de 50 % des suffrages exprimés, largement devant les listes RN de Sébastien Chenu et de gauche de Karima Delli.
Lors de la primaire française de la droite et du centre de 2016, à laquelle il avait annoncé sa volonté de prendre part avant de renoncer[35], il vote en faveur de François Fillon, qui obtient l'investiture de son parti pour l'élection présidentielle de 2017[36]. Dans le cadre de l'affaire Fillon, il réfléchit, avec Valérie Pécresse et Christian Estrosi, à une sortie de crise visant à faire remplacer François Fillon[37]. Ce dernier refusant de renoncer à sa candidature, Xavier Bertrand continue à le soutenir et à le conseiller.
Après le scrutin présidentiel de 2017, Xavier Bertrand confirme les rumeurs faisant état de la volonté d'Emmanuel Macron de le nommer Premier ministre. Il affirme avoir refusé « par conviction »[38].
En , il est annoncé que Xavier Bertrand ne paie plus ses cotisations aux Républicains depuis l'élection présidentielle en raison de l'absence de consignes de vote claires de son parti en faveur d'Emmanuel Macron contre Marine Le Pen[39]. Il annonce son départ de LR le , au lendemain de l'élection à la présidence du mouvement de Laurent Wauquiez, tenant d’une ligne plus à droite que la sienne[40].
Xavier Bertrand ne se représente pas en 2020 à la présidence de l'agglomération du Saint-Quentinois, privilégiant la région Hauts-de-France[41]. Il devient dans le même temps actionnaire du Saint-Quentin Basket-Ball[42].
En , Xavier Bertrand annonce qu'il se « prépare » à l'élection présidentielle de 2022. Il exclut de se soumettre à une primaire de la droite, estimant que sa primaire « sera le scrutin régional des Hauts-de-France »[43]. Le , près de trois mois avant les élections régionales, il déclare officiellement sa candidature à la présidence dans un entretien accordé au magazine Le Point[44].
Figurent dans son premier cercle Matthias Baccino, Jean-Paul Mulot et Jean Spiri, responsables de La Manufacture, Michel Bettan, vice-président exécutif de Havas, considéré comme son « bras droit », sa conseillère en communication Mélanie Blond, le député Julien Dive et le sénateur Jean-François Rapin[45]. Le filloniste Vincent Chriqui est chargé de coordonner l’ensemble des groupes de travail en perspective du scrutin présidentiel[46]. S'il s'inscrit dans l'opposition au gouvernement Jean Castex, Xavier Bertrand a longtemps été l'un des proches du Premier ministre et il est ami avec le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin[47].
Au soir du second tour des élections régionales de 2021 dans les Hauts-de-France, où ses listes l’emportent largement, il se dit « prêt à partir à la rencontre de tous les Français »[48].
Xavier Bertrand se définit comme « un gaulliste social, d'une droite sociale et populaire »[49].
En 2014, Xavier Bertrand prône une « réécriture » ou « l'abrogation » de la loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe[50], indiquant alors à Valeurs actuelles : « Je ne me résous pas à voir les règles de la filiation bouleversées à ce point. Je suis contre l'adoption par les couples homosexuels, la PMA et bien sûr la GPA[51]. » Il redit son opposition au mariage homosexuel en 2017[52].
En vue de l’élection présidentielle de 2022, il défend des positions économiques libérales. D'après le magazine Marianne, il entend se positionner sur la droite d’Emmanuel Macron. Il souhaite en particulier diminuer de moitié les impôts de production, estimant que les mesures entreprises en ce sens par le gouvernement sont insuffisantes. Ce projet, qui représenterait un préjudice de 33 milliards d'euros pour l’État, serait compensé « notamment par des efforts sur la dépense publique » ; il prévoit un report de deux ans de l'âge de départ à la retraite et une réforme du système d'assurance chômage qui se traduirait par un durcissement des conditions d'indemnisation des chômeurs[53].
Il affiche une position ferme en matière de sécurité, prônant l'abaissement de la majorité pénale à 15 ans, la restauration des peines planchers et le passage de la période de sûreté à 50 ans en matière de terrorisme[54].
Année | Parti | Circonscription | 1er tour | 2d tour | |||||||
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Voix | % | Rang | Issue | Voix | % | Rang | Issue | ||||
2002[55] | UMP | 2e de l'Aisne | 20 295 | 43,13 | 1er | Ballotage | 25 565 | 56,96 | 1er | Élu | |
2007[56] | 24 007 | 53,28 | Élu | ||||||||
2012[57] | 17 404 | 38,89 | Ballotage | 22 445 | 50,25 | 1er | Élu |
Année | Parti | Région | 1er tour | 2d tour | Sièges obtenus | |||||
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% | Rang | % | Rang | |||||||
2015[58] | LR | Nord-Pas-de-Calais-Picardie | 558 420 | 24,97 | 2e | 1 389 340 | 57,77 | 1er | 116 / 170 | |
2021[59] | DVD | Hauts-de-France | 551 068 | 41,42 | 1er | 708 518 | 52,37 | 110 / 170 |
Année | Parti | Canton | 1er tour | 2d tour | |||||||
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Voix | % | Rang | Issue | Voix | % | Rang | Issue | ||||
1998[60] | RPR | Saint-Quentin-Nord | 3 752 | 37,52 | 1er | Ballotage | 5 152 | 54,40 | 1er | Élu |
Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.
Année | Parti | Commune | 1er tour | Sièges | ||||
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Voix | % | Rang | CM | CC | ||||
2014[61] | UMP | Saint-Quentin | 9 913 | 52,60 | 1er | 36 / 45 |
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