Rob Gronkowski

Rob Gronkowski
Description de cette image, également commentée ci-après
Rob Gronkowski en 2019
Nom complet Robert James Gronkowski
Nationalité Drapeau des États-Unis États-Unis
Naissance (32 ans)
à Amherst, New York
Taille 1,98 m (6 6)
Poids 111.2 kg (245 lb)
Surnom Gronk, Robbie G (par Tom Brady)
Numéro 87
Position Tight end
Carrière universitaire ou amateur
2007-2009 Wildcats de l'Arizona
Carrière professionnelle
Choix draft NFL Patriots de la Nouvelle-Angleterre
(2010, 42e choix au total)
2020- Buccaneers de Tampa Bay
2010-2018 Patriots de la Nouvelle-Angleterre
Super Bowl XLIX, LI, LIII, LV
Pro Bowl 2011, 2012, 2014, 2015, 2017
All-Pro 2011, 2014, 2015, 2017
Carrière pro. Depuis 2010

(en) Statistiques sur nfl.com

Robert James Gronkowski, dit Rob Gronkowski (né le à Amherst dans l'État de New York), est un joueur américain de football américain de NFL, évoluant au poste de tight end pour les Buccaneers de Tampa Bay. Il jouait auparavant, pour les Patriots de la Nouvelle-Angleterre de 2010 à 2019. Surnommé « Gronk », il a remporté quatre Super Bowl et est considéré comme l'un des meilleurs joueurs de l'histoire à son poste. Il est élu en 2019 par ses pairs parmi les 100 meilleurs joueurs de l'histoire[1] de la National Football League (NFL).

Après trois saisons universitaires avec les Wildcats de l'Arizona, il devient professionnel malgré une grave blessure au dos qui lui fait manquer une saison entière. Sélectionné en 42e position lors de la draft 2010 de la NFL par les Patriots, il devient dès sa première année en NFL un titulaire indiscutable et un des principaux receveurs de Tom Brady.

Gronkowski est le premier tight end de l'histoire à terminer une saison en tant que meilleur marqueur de touchdowns à la réception avec 17 réalisations lors de la saison 2011. Sélectionné à cinq reprises au Pro Bowl, Gronkowski remporte les Super Bowls XLIX et LIII sur le terrain et le Super Bowl LI depuis le banc de touche à cause d'une nouvelle blessure au dos. Il met en pause sa carrière en , quelques semaines après avoir remporté sa troisième bague de champion.

La personnalité extravagante de Gronk hors des terrains en fait l'un des joueurs les plus médiatisés des années 2010. Avant-dernier fils d'une fratrie, trois de ses quatre frères, Dan, Chris et Glenn, sont également joueurs professionnels de football américain. En , il devient catcheur dans la division SmackDown de la World Wrestling Entertainment (WWE) et devient le champion 24/7.

À la surprise générale, Rob Gronkowski annonce en reprendre sa carrière de football américain, en partant jouer pour les Buccaneers de Tampa Bay et quittant par la même occasion les Patriots de la Nouvelle-Angleterre chez lesquels il avait toujours joué précédemment. Il retrouve par la même occasion son ami et ancien collègue, l'ancien quarterback des Patriots Tom Brady. Il remporte le Super Bowl LV lors de cette saison.

Biographie

Jeunesse

Robert James Gronkowski naît le à Amherst dans l'État de New York de l'union de Diane Walter et de Gordy Gronkowski. Il descend d'une famille de sportifs, son arrière grand-père, Ignatus Gronkowski a participé aux Jeux olympiques d'été de 1924 dans les épreuves de cyclisme[2],[3], son père Gordy a joué aux Orange de Syracuse où il a été bloqueur du running back Joe Morris (en)[3]. Quatrième fils d'une fratrie de cinq garçons, Rob grandit dans la rivalité avec ses frères[4],[a 1]. Le patriarche pousse les cinq garçons, Gordie Jr., Dan, Chris, Rob et Glenn à se perfectionner dans le sport[5]. Dès l'âge de 4 ans, il aligne ses enfants dans son jardin et leur lance des balles de tennis pour qu'ils apprennent à ne pas en avoir peur[3]. Jeune, Rob joue au hockey avec ses frères et leurs amis derrière la maison[a 2]. Adolescent, son père recrute Demeris Johnson, ancien wide receiver des Dolphins de Miami en NFL, pour entraîner ses enfants et les pousser physiquement et mentalement[a 3].

Suivant les pas de ses frères aînés, Rob joue au football américain au lycée. Dans sa première année lycéenne, il mesure déjà 1,95 m mais ne pèse que 95 kg[a 4]. Il joue à la fois du côté offensif en tant que tight end, son poste naturel, et du côté défensif comme defensive end[a 4],[6]. Motivé par un essai avec l'équipe première, il passe son été à s'entraîner et à se muscler[a 5]. Pour accompagner le développement physique de ses fils, son père Gordy, distributeur de matériel de fitness sur la côte Est des États-Unis, construit une grande salle de musculation dans leur maison[4],[a 6]. En un été, Rob prend presque 7 kg de muscle et prend confiance[a 6]. Il joue toute sa deuxième année au lycée avec son frère Chris[a 7] avant que ce dernier ne rejoigne l'aîné, Dan, au niveau universitaire dans l'équipe des Terrapins du Maryland[a 8]. Après avoir pris de nouveau 5 kg de muscle pendant l'été, Rob Gronkowski devient dominant dans sa troisième saison lycéenne[a 8]. Ses adversaires doivent tricher et doubler sa couverture pour contrer sa domination physique[a 8]. Il arrive à marquer des points des deux côtés du terrain et reçoit ses premières offres de bourse universitaire[a 9].

En 2006, après le divorce de ses parents, il suit son père dans la banlieue de Pittsburgh et joue sa dernière saison lycéenne au lycée Woodland Hills[4], la meilleure équipe de football américain lycéenne de l'État[a 10]. Dans un effectif plus important et structuré, Gronkowski se concentre sur son rôle de tight end et ses capacités de bloqueur sous l'impulsion de son entraîneur George Novack[a 11]. Gronkowski n'attrape que huit passes cette saison-là dont cinq d'entre elles pour des touchdowns[a 12]. Il devient l'un des jeunes joueurs les plus demandés par les universités américaines[4] et reçoit une cinquantaine d'offres universitaires[a 13].

Carrière de joueur de football américain

Parcours universitaire

Choix et apprentissage (2007)

Ayant déjà quitté sa ville natale et ses amis l'année précédente, sa transition universitaire est plus aisée[a 14]. Rob visite ses frères Dan et Chris sur le campus de l'université du Maryland pour faire la fête et profiter de l'université, bien qu'il ne doit pas y avoir accès[a 15]. Il va jusqu'à créer une bagarre de rue sur le campus[a 15]. Face au choix de s'engager avec un programme universitaire de football américain, Rob visite avec son père différents campus universitaires : Syracuse, Ohio State, Clemson et Arizona[a 16],[7]. Ils excluent les Terrapins du Maryland car son frère Chris ne s'y sent plus bien et souhaite être transféré[a 16]. Influencé par l'ami de son père Donnie Salum, dont le fils Justin vient d'être recruté à Azirona, la possibilité de jouer avec son frère Chris, le climat et la proximité avec son aîné Gordy qui joue en ligue mineur de baseball dans la région, Rob Gronkowski s'engage verbalement pour les Wildcats de l'Arizona en [a 16],[7]. Son père achète une maison en face des fraternités de l'université pour que les trois frères y cohabitent avec Justin[a 17].

À 122 kg, Gronkowski est physiquement prêt pour le niveau universitaire mais doit travailler ses techniques pour être plus efficace offensivement[a 18]. Il arrive dans l'une des attaques de football américain les moins efficaces du pays, menée par le quarterback Willie Tuitama[8]. Dès son premier entraînement avec les Wildcats, il est opposé à Louis Holmes, un defensive end expérimenté, qui le pousse à progresser avec son entraîneur spécifique Dana Dimel[a 18]. Le joueur est titulaire avec les Wildcats dès la rencontre d'ouverture de la saison 2007[a 19]. Il inscrit un touchdown dès sa première rencontre à domicile, une semaine plus tard, contre Northern Arizona[a 20]. Les rencontres suivantes sont difficiles et le jeune joueur fait des erreurs de débutant[a 21]. Le joueur arrive néanmoins à faire un coup d'éclat contre les Cougars de Washington State, attrape pour 115 yards et marque deux touchdowns[a 22].

Après deux nouvelles performances décevantes contre USC et Stanford, il attrape un touchdown de 51 yards contre Washington puis 94 yards et un autre touchdown contre UCLA[a 23]. Si ses deux dernières sorties individuelles sont correctes, marquant de nouveau contre les Ducks de l'Oregon et les Sun Devils d'Arizona State, la défaite contre les rivaux d'Arizona State est amère[a 24]. Pour sa première saison, Gronkowski termine avec 28 réceptions pour un total de 525 yards[a 24]. Il est désigné meilleur débutant à son poste par la conférence Pac-10, Sporting News et Rivals.com[a 25].

Année de records (2008)

Pour sa deuxième saison universitaire, Gronkowski est mieux préparé et connaît désormais le niveau universitaire. Après un nouvel été d'entraînement avec son frère Chris, sa confiance est au plus haut[a 26]. Deux semaines avant le début de la saison, il est touché par une mononucléose infectieuse qui le rend faible et lui fait perdre du poids[a 27]. Il ne peut être sur le terrain pour la rencontre d'ouverture de la saison[9]. Il retourne à l'entraînement la semaine suivante mais n'est pas autorisé par les médecins à jouer les deuxième et troisième matchs de la saison[a 28]. Lors de son retour sur les terrains à l'extérieur aux Bruins de UCLA, Gronkowski marque un touchdown sur sa première réception et un second en fin de rencontre[a 29]. Dans sa lancée, il réceptionne pour 109 yards et marque trois touchdowns contre les Huskies de Washington une semaine plus tard à domicile[a 29].

Après un début explosif, Gronkowski n'est pas décisif contre Stanford la semaine suivante et termine avec seulement deux passes attrapées pour 30 yards[a 30],[10]. La performance suivante est bien meilleure pour le tight end qui a un gain total de 91 yards contre les Golden Bears de la Californie[a 30]. Le vrai test contre la défense des Trojans d'USC le s'avère difficile pour Gronk qui est limité à seulement deux attrapés pour 12 yards[a 31],[11]. Il rebondit contre les Cougars de Washington State en avançant de 83 yards et en marquant son sixième touchdown de la saison[a 32]. Contre les Ducks de l'Oregon, les Wildcats sont menés 45 à 17 lorsqu'ils font un retour exceptionnel pour réduire l'écart à 3 points. Gronkowski est omniprésent et attrape 12 fois le ballon pour 143 yards et un touchdown[a 33]. Pour cette performance, il est désigné meilleur tight end universitaire de la semaine[a 33].

La fin de saison de Gronkowski est prometteuse. Le joueur marque contre les Beavers d'Oregon State et les Sun Devils d'Arizona State[a 34]. Contre ces derniers, dans une forte rivalité locale, le joueur attrape 95 yards dans une victoire qui permet à l'équipe d'Arizona d'obtenir une invitation pour un Bowl, un match d'après saison régulière, une première en dix ans pour le programme[a 34]. À Las Vegas, les Wildcats de l'Arizona battent les Cougars de BYU dans le Las Vegas Bowl bien que Gronkowski soit limité à quatre réceptions pour 27 yards[a 35]. Rob Gronkowski termine la saison avec 47 réceptions pour un gain total de 672 yards et un total de dix touchdowns[a 35].

Blessure au dos et inscription à la draft (2009)

Après deux saisons universitaires, Rob Gronkowski voit l'année 2009 comme sa dernière avant de se présenter à la draft avec son frère Chris, qui est en dernière année[a 36]. Il est attendu comme un joueur du premier tour de la draft[a 36]. Le père de Rob prend une assurance sur la santé de son fils à hauteur de quatre millions de dollars[a 36]. En , le joueur se blesse au dos en levant des charges[a 36]. Malgré la douleur qui s'intensifie, il continue sa préparation physique en avril et mai[a 36]. En juillet, Gronk ne peut plus ni courir ni sauter, et fait part de ses douleurs à ses entraîneurs[a 36]. L'IRM révèle une hernie discale[a 36]. Après avoir pris conseil auprès de plusieurs spécialistes, Gronkowski suit l'avis du Dr Robert Watkins avec une thérapie physique d'un mois[a 37]. La thérapie fonctionne et lui évite dans l'immédiat une opération du disque dorsal[a 37].

Les douleurs persistantes l'écartent néanmoins du terrain pour le match d'ouverture[12]. De retour à l'entraînement lors de la deuxième semaine de la saison, Gronkowski essaie de courir des routes de receveurs mais ces entraînements lui créent des douleurs nocturnes[a 38]. Dès lors, il ne peut éviter l'opération pour enlever de son organisme le morceau de disque dorsal cassé[a 38]. Six semaines après l'opération, Gronkowski commence la rééducation[a 39]. Mi-novembre, il est capable de courir et de lever des faibles charges[a 40].

Le joueur décide de s'entraîner pour la draft et de retourner à Arizona pour sa dernière saison universitaire si les entraînements ne sont pas concluants[a 41]. Pendant un mois, à partir de la mi-décembre, Gronk se prépare avec Pete Bommarito au NFL Scouting Combine[a 42]. L'entraîneur lui confirme le qu'il pense le joueur capable de jouer en National Football League dès la saison prochaine[a 43]. Le , Gronkowski renonce à sa dernière année universitaire, à son assurance et s'inscrit à la draft 2010 de la NFL[a 43],[a 44]. Après avoir rencontré de multiples agents, il choisit Drew Rosenhaus pour le représenter[a 45].

Parcours professionnel

Sélection et signature du contrat

Toujours en rééducation après sa blessure au dos, Gronkowski ne participe qu'à l'atelier de développé couché lors du NFL Scouting Combine. Il y soulève à 23 reprises la barre[a 46],[13]. Surtout, il rencontre des équipes de la ligue qui peuvent effectuer des examens médicaux sur son dos et évaluer son état de guérison[a 46].

Le tight end participe à tous les ateliers lors de la journée de tests organisée par les Wildcats de l'Arizona le , profitant d'avoir un mois de récupération supplémentaire[a 47],[14].

Données mesurées lors du Pro Day des Wildcats de l'Arizona 2010
Taille Poids Long. bras Taille main 40 yards 20-yard shuttle 3-cone drill Dét. vert. Dét. long. Dév. couché
1,98 m
(6 ft 6,25 in)
119,75 kg
(264 lb)
86,99 cm
(34,25 in)
27,30 cm
(10,75 in)
4,63 s[a 47] 4,47 s 7,18 s 83,82 cm
(33,5 in)
[a 47]
3,02 m
(9 ft 11 in)
[a 47]
23 rép.

Avant la draft, Gronkowski est invité à visionner des vidéos, être testé et à visiter leurs structures par les Broncos de Denver, les Dolphins de Miami, les Patriots de la Nouvelle-Angleterre et les Ravens de Baltimore[a 47].

Le jour de draft 2010 de la NFL, les Patriots de la Nouvelle-Angleterre réalise un échange avec les Raiders d'Oakland afin de sélectionner avant les Ravens de Baltimore au deuxième tour de la draft, et recrutent Rob Gronkowski en 42e position[15],[a 48]. Les Patriots envoient à leurs rivaux le 44e choix et un choix de sixième tour de la draft dans la transaction. Très heureux de sa sélection, le joueur monte avec sa famille sur la scène et montre sa joie avec exubérance en se jetant torse contre torse avec ses frères[4],[15],[a 48],[16]. En juillet, Gronkowski signe un contrat de débutant de 4 ans avec la franchise[17].

Débuts en National Football League (2010)

Rob Gronkowski impressionne dès les rencontres de pré-saison en étant l'un des trois seuls joueurs de cette dernière à inscrire 4 touchdowns. Arrivé dans un effectif déjà complet incluant les receveurs Randy Moss, Wes Welker et Deion Branch, Gronkowski n'est pas prévu d'être une cible majeure pour le quarterback Tom Brady[a 49].

Pour sa première rencontre de saison régulière de National Football League, Gronkowski est principalement utilisé en tant que bloqueur pour protéger Brady[a 50]. Il est visé à la passe qu'à une seule reprise par le quarterback sur une troisième tentative à un yard de la ligne adversaire[a 50]. Gronk attrape le ballon dans l'en-but et marque un touchdown dès sa première réception en NFL[a 50]. Mis sous pression dès le lendemain en réunion, le joueur déçoit contre les Jets de New York, notamment en tant que bloqueur dans une défaite 28 à 14[a 51]. Il se reprend une semaine plus tard dans sa région natale de Buffalo et marque un touchdown contre les Bills[a 51]. Pour la première fois de sa carrière, il célèbre cette réussite en réalisant un « Spike » avec le ballon[a 51].

Utilisé en tant que bloqueur contre les Dolphins de Miami, les Ravens de Baltimore, les Chargers de San Diego et les Vikings du Minnesota, il contribue aux quatre victoires dans un rôle de l'ombre de protecteur[a 52]. Le débutant s'impose un peu plus comme une menace dans la end zone en marquant à nouveau contre les Chargers. Le , face aux Browns de Cleveland, Gronkowski fait plusieurs erreurs importantes. Sur un coup de pied d'engagement court, il croit entendre un coéquipier lui parler et laisse passer le ballon, offrant aux Browns la possibilité de recouvrir la balle[a 53]. À proximité de l'en-but adverse ensuite, il perd le ballon après réception, redonnant la possession aux Browns[a 53],[18].

En dixième semaine de la saison, Gronkowski est impliqué dans le plan de jeu contre les Steelers de Pittsburgh. Dès la début de la rencontre, il attrape trois passes sur une même série offensive qu'il conclut par un touchdown à la réception de 19 yards[a 54]. Il marque de nouveau dans le troisième quart-temps puis dans le quatrième quart-temps pour devenir le plus jeune débuter de l'histoire à inscrire 3 touchdowns en un seul match[a 54]. Désormais une option dans le jeu de passe des Patriots, il participe à la victoire contre les Colts d'Indianapolis et Peyton Manning avec de nombreux blocages et une réception de 25 yards entre plusieurs défenseurs[a 55]. Chez les Lions de Détroit, Gronkowski est visé cinq fois par Brady pour autant de réceptions[a 55]. La fin de saison est plus discrète pour le joueur qui contribue aux succès des Patriots, invaincus depuis la défaite contre les Browns. Lors de la dernière rencontre de la saison régulière contre les Dolphins de Miami, il attrape six passes pour 102 yards et un touchdown[a 56].

Gronkowski finit la saison en ayant attrapé 10 touchdowns, devenant le premier tight end de la NFL à atteindre un tel nombre pour sa première saison et en couvrant pour 546 yards. Dans la surprenante défaite contre les Jets en phase finale, ses 65 yards ne sont pas suffisantes[a 57].

Meilleur marqueur de touchdowns de la saison (2011)
Des joueurs de football américain en action.
Tom Brady (no 12) lance une passe vers Rob Gronkowski (no 87) au milieu de la défense des Colts d'Indianapolis.

De la fin de la saison 2010 à , Gronkowski ne peut s'entraîner dans les structures des Patriots de la Nouvelle-Angleterre du fait de la grève liée à la négociation de la nouvelle convention collective de la National Football League[a 58]. Après des matchs de pré-saison compliqués[a 59], il commence bien la saison régulière un touchdown contre les Dolphins de Miami et deux contre les Chargers de San Diego[a 60]. Gronkowski attrape pour 109 yards dans la défaite contre les Bills de Buffalo[a 61].

Son niveau s'améliore au fil de la saison 2011, et il ne met que dix matchs pour égaler son nombre de touchdowns reçus de la saison précédente et huit pour dépasser le nombre de yards reçus.

Il continue en brisant dès la 13e semaine le record NFL de 13 touchdowns reçus par un tight end en une saison. Il ne s'arrête d'ailleurs pas là, et termine au total la saison avec 17 touchdowns et 1 327 yards sur réception, dépassant à cette occasion un autre record vieux de plus de 25 ans jadis détenu par Kellen Winslow (1 290 yards)[19]. Il termine d'ailleurs meilleur receveur en nombre de touchdowns tous postes confondus, dépassant même l'ensemble des wide receiver de la saison.

Il réalise ainsi pour sa deuxième année professionnelle la meilleure saison qu'un tight end ait accompli en NFL. Ces performances impressionnantes, outre ses qualités naturelles, sont aussi aidées par le style de jeu des Patriots, très axé sur les passes courtes et rapides, qui font la part belle aux receveurs de petite distance, et donc aux tight end. Il est logiquement sélectionné comme tight end titulaire pour le Pro Bowl de cette année-là.

Pendant la phase finale, il ne désemplit pas et rattrape dès le premier match de son équipe contre les Broncos de Denver 145 yards pour 3 touchdowns, participant grandement à la victoire de son équipe sur le score de 45 à 10. En finale de la conférence AFC, Gronkowski se fait une entorse de la cheville lors de la victoire 23 à 20 contre les Ravens de Baltimore. Longtemps incertain, le joueur est qualifié pour jouer le Super Bowl XLVI[20]. S'il ne se sert pas de cette blessure comme d'une excuse, le joueur est diminué lors de l'affrontement contre les Giants de New York et ne réceptionne que deux passes pour 26 yards[21].

Quelques heures après cette importante défaite, Gronkowski est filmé en train de danser torse-nu lors de la fête d'après Super Bowl des Patriots[22]. Censé être limité par une entorse à la cheville, ce comportement positif et joyeux lui vaut de nombreuses critiques[23].

Une superbe saison brisée (2012)

Gronkowski signe, avant la saison 2012, un nouveau contrat de six ans avec une extension de 54 millions de dollars, soit le plus gros contrat jamais signé par un tight end en NFL[24]. Le joueur passe alors dans une nouvelle dimension et les attentes sont très importantes après sa saison 2011 historique[25].

Il réalise un excellent début de saison, continuant sur sa lancée de la saison précédente. Il inscrit un touchdown lors des deux premières rencontres contre les Titans du Tennessee[26] puis contre les Cardinals de l'Arizona[27]. Contre ces derniers, Gronkowski est pénalisé pour holding sur le dernier drive, annulant un touchdown potentiellement décisif de Danny Woodhead[27]. Après une performance terne contre les Ravens de Baltimore, Gronkowski retrouve le chemin de l'en-but contre les Bills de Buffalo. Après avoir réalisé un fumble en première mi-temps, Gronk rebondit en deuxième mi-temps en marquant un touchdown et en contribuant à ce que l'attaque marque 45 points en une mi-temps, un record pour la franchise[28]. Il totalise 104 yards dans cette performance historique, où les Patriots l'emportent 52 à 28 après avoir été menés 21 à 7[28].

Dans une rencontre à l'extérieur contre les Rams de Saint-Louis, délocalisée à Londres, Gronkowski attrape pour 146 yards et marque à deux reprises[29]. Il célèbre le premier touchdown en imitant une relève de la garde du palais de Buckingham et le second en imitant Magic Mike[29],[30].

Le , dans une opposition face aux rivaux des Jets de New York, Gronkowski attrape les deux touchdowns lancés par Tom Brady dans une courte victoire 29 à 26[31]. Lors de la onzième semaine de la saison, Gronkowski attrape sept passes pour 137 yards et inscrit deux nouveaux touchdowns contre les Colts d'Indianapolis dans une large victoire 59 à 24[32]. En fin de rencontre, Gronk est victime d'une fracture de l'avant bras qui l'oblige à être opéré[33] et le contraint à rater cinq semaines de compétition[34],[35].

De retour à la compétition pour la dernière journée de la saison régulière, il est ménagé. Deux semaines plus tard, Gronkowski est présent lors de la rencontre de phase finale contre les Texans de Houston, tout comme l'autre jeune tight end des Patriots Aaron Hernandez[36]. Gronkowski se casse une deuxième fois le bras gauche[37], mettant fin à sa saison[38]. Les Patriots vont jusqu'en finale de conférence qu'ils perdent contre les Ravens de Baltimore.

Après la fin de la saison, le joueur est filmé à nouveau en train de danser torse nu en boîte de nuit à Las Vegas et en tombant sur son bras cassé au sol lors d'une simulation de match de catch[39],[40]. Un mois après son opération au bras, le comportement du joueur est critiqué par la presse[41].

Entre domination et blessures (2013)
Un homme en uniforme de football américain, ballon en main.
Rob Gronkowski sous le maillot des Patriots en 2013.

Ayant subi des complications avec sa blessure à l'avant bras durant toute l'inter-saison, notamment une infection, Gronkowski n'est toujours pas remis au début de la saison 2013 et rate les six premiers matchs[42]. Il revient à la compétition lors de la 7e journée, le bras gauche protégé dans un manchon de protection noir qu'il doit porter toute la saison[43]. Il réceptionne pour 114 yards dans une défaite contre les Jets de New York[44]. Avec son retour, l'attaque des Pats, laborieuse en début de saison, se réveille. Contre les Steelers de Pittsburgh, les Patriots marquent 55 points, propulsés par un Rob Gronkowski omniprésent qui attrape 9 passes, son record en carrière, pour un gain cumulé de 143 yards[45],[46].

Le tight end marque un touchdown à chacune de ses trois sorties suivantes contre les Panthers de la Caroline, les Broncos de Denver et les Texans de Houston. À Houston, Gronkowski attrape pour 127 yards malgré de multiples blessures mineures au dos, à la cuisse et au bras[47],[48].

Lors de la 14e journée, sa saison s'arrête de nouveau de manière brutale et prématurée sur un tacle bas au genou de T. J. Ward. Victime d'une rupture de ligament croisé au genou gauche et du ligament collatéral tibial, il est de nouveau placé sur l'injury reserve et ne devrait plus rejouer cette année[49]. Le plaquage sur Gronkowski entraîne une controverse[50] car Ward a visé au niveau du genou avec son épaule[51]. Le défenseur se défend en indiquant que les règles de la NFL l'ont forcé à tacler bas[52]. Si le tacle est considéré dans les règles, il entraîne un débat sur un éventuel changement du règlement[53].

Retour de l'année et premier Super Bowl (2014)

De retour de blessure au début de la saison régulière de 2014, Gronkowski est présent sur les terrains contre les Dolphins de Miami bien qu'il ait manqué toutes les rencontres de pré-saison et qu'il soit encore limité à l'entraînement[54]. Il réalise une performance discrète en ne réceptionnant que 4 passes pour 40 yards mais marque tout de même un touchdown dans la défaite 33 à 20[55]. Le travail de ses réceptions au sein des Patriots de la Nouvelle-Angleterre se déroule doucement mais l’espoir d’une remontée au meilleur niveau est présente. Ensuite contre les Raiders d'Oakland semaine 3, il totalise trois réceptions pour 44 yards et son deuxième touchdown de la saison, le seul de cette victoire 16 à 9.

Gronkowski se révèle un peu plus durant la semaine 8 contre les Bears de Chicago, avec une performance de neuf réceptions pour 149 yards et trois touchdowns[56]. En semaine 14 contre les Chargers de San Diego, Rob devient le premier tight end dans l’histoire de la NFL à marquer au moins 10 touchdowns lors de quatre saisons différentes[57].

Lors du Super Bowl, Gronk est à un très bon niveau lors de leur victoires 28 à 24 contre les Seahawks de Seattle, réalisant six réceptions pour 68 yards et un touchdown important en fin de deuxième quart-temps. Gronkowski est pénalisé deux fois durant cette saison pour « jeu agressif » contre les Colts d'Indianapolis[58] et lors du Super Bowl pour « plaquage violent »[59],[60].

Gronk est nommé pour la troisième fois de sa carrière au Pro Bowl ainsi que meilleur tight end de l'équipe All-Pro. Lors de la cérémonie des ESPY Awards 2015, Gronkowski reçoit le prix du meilleur retour à la compétition pour ses performances lors de la saison 2014[61],[62].

Meilleur tight end de la ligue (2015)

Lors de la rencontre d'ouverture de la saison 2015 de la NFL, opposant les Patriots de la Nouvelle-Angleterre aux Steelers de Pittsburgh, Rob Gronkowski inscrit 3 touchdowns lors de la victoire 28 à 21[63]. Alors que son équipe enchaîne les victoires, Gronk accumule les yards à la passe. Contre les Dolphins de Miami, il réceptionne pour 113 yards et inscrit un touchdown[64]. Lors de la première défaite de la saison des Patriots, subie contre les Broncos de Denver, Gronkowski doit sortir du terrain au quatrième quart-temps pour une blessure au genou[65],[66]. Après avoir manqué une rencontre, il revient contre les Texans de Houston et marque son dixième touchdown de la saison[67]. Une semaine plus tard, il marque de nouveau contre les Titans et le dédit à son ami Dana Parenteau, mort deux jours plus tôt[68],[69].

En phase finale, Rob Gronkowski attrape deux touchdowns contre les Chiefs de Kansas City[70] et un autre contre les Broncos de Denver. Il attrape pour 144 yards mais son touchdown de dernière minute ne suffit pas à qualifier les Patriots pour le Super Bowl, à la suite d'une conversion à deux points échouée. Gronkowski est sélectionné pour le Pro Bowl pour la quatrième fois de sa carrière et est le premier joueur à un autre poste que quarterback dans le classement du public[71]. Il est nommé dans l'équipe All-Pro de la NFL par 48 des 50 votants[72], et classé neuvième meilleur joueur de la NFL par ses pairs[73].

Nouveau sacre perturbé par une grave blessure au dos (2016)

Une blessure à la cuisse lui fait manquer les deux premières rencontres de la saison 2016 et il est limité dans les deux suivantes[74]. Bill Belichick augmente progressivement le temps de jeu de Gronkowski, qui réceptionne 109 yards contre les Browns de Cleveland[75] puis 162 yards contre les Bengals de Cincinnati[76],[77]. Lors de cette rencontre, il commence une série de trois rencontres lors desquelles il inscrit un touchdown, jusqu'à inscrire son 69e en carrière contre les Bills de Buffalo, devenant le meilleur marqueur de touchdowns à la réception de la franchise des Patriots[78],[79].

Lors de la rencontre contre les Seahawks de Seattle, Gronkowski encaisse un énorme tampon d'Earl Thomas après avoir manqué de réceptionner une passe[80]. Après plusieurs tentatives pour retrouver les terrains, Gronk met en terme à sa saison et doit se faire opérer du dos[81]. Cette opération, la troisième liée à une hernie discale, lui fait manquer le reste de la saison[82]. L'historique de ses blessures resurgit[83] levant des questions sur un éventuel transfert[84] ou une fin de carrière anticipée[85].

Gronkowski assiste au succès des Patriots au Super Bowl LI début le bord du terrain. Quelques jours plus tard, il fait le spectacle lors de la parade victorieuse de l'équipe dans les rues de Boston avec des bières et une ceinture de la WWE, au plaisir des supporteurs[86]. Début avril, il vole également le maillot de Tom Brady au Fenway Park où les supporteurs de baseball leur rendent hommage, afin d'amuser les spectateurs[87]. Les célébrations continuent lors de la visite à la Maison-Blanche, lors de laquelle il fait parler de lui en interrompant une conférence de presse du porte-parole Sean Spicer[88],[89]. Pendant ce temps, il continue la rééducation de son dos, travaillant quatre jours par semaine au Gillette Stadium afin d'être prêt pour la saison 2017[90].

Retour à la compétition (2017)
Rob Gronkowski en 2017

Pour se remettre de sa blessure au dos, Rob Gronkowski travaille avec l'entraîneur personnel de Tom Brady, le controversé Alex Guerrero[91]. Il est de retour sur les terrains au début de la saison 2017. Sa première apparition contre les Chiefs de Kansas City déçoit, si bien que des recruteurs de la ligue pense qu'il a perdu son explosivité et sa puissance[92]. Une semaine plus tard, Gronk détruit tous les doutes en réceptionnant six passes pour 116 yards et un touchdown avant de se blesser à l'aine dans le troisième quart-temps dans une victoire contre les Saints de La Nouvelle-Orléans[92],[93]. Le lendemain, il déclare aux journalistes présents à l'entraînement que sa blessure est mineure[93].

Lors de la quatrième semaine de la saison, Gronkowski se blesse à la cuisse dans la défaite contre les Panthers de la Caroline qui l'oblige à manquer la rencontre suivante contre les Buccaneers de Tampa Bay[94],[95]. Sa réception de 43 yards en fait le premier receveur de Brady devant Wes Welker en termes de yards[96]. Il revient contre les Jets de New York et marque deux touchdowns contre le débutant Jamal Adams[97],[98].

Après deux nouveaux touchdowns contre les Dolphins de Miami en semaine 12, Gronkowski devient le joueur des Patriots avec le plus grand nombre de performances avec plusieurs touchdowns marqués, battant le record de Randy Moss[99]. Impressionnant au blocage de ses adversaires, il aide également ses coéquipiers à marquer dans le succès 35 à 17[99]. La série de victoires des Patriots se poursuit contre les Bills de Buffalo. Gronk attrape neuf passes pour un total de 147 yards, dominant la défense de Buffalo[100]. Bien qu'il accumule les yards gagnés à la réception, Gronk est frustré par la défense et l'arbitrage lors d'une rencontre. Après une interception de Tre'Davious White, il se lance par derrière sur son adversaire au sol. Il est suspendu une rencontre par la ligue pour ce geste, la première suspension de sa carrière[101],[102]. La suspension est confirmée en appel et lui coûte cher financièrement[103],[104].

Dans une des rencontres les plus attendues de la saison contre les Steelers de Pittsburgh, alors premiers de la conférence AFC, Rob Gronkowski s'illustre en attrapant pour 168 yards, son record en carrière[105],[106],[107]. Utilisant la défense en homme à homme des Steelers et la simple couverture sur lui, le tight end attrape trois passes consécutivement dans la dernière série offensive pour mettre en position son équipe de marquer un touchdown à la course[106],[108]. Il est désigné meilleur joueur offensif de la semaine de la conférence AFC pour cette performance[109].

Lors du championnat AFC contre les Jaguars de Jacksonville, Rob Gronkowski est touché à la tête à la suite d'un contact casque contre casque avec le défenseur Barry Church (en)[110]. Il ne sait plus où il est et ne peut revenir sur le terrain[110]. Il termine avec une seule réception de 21 yards faisant de lui le tight end ayant réceptionné le plus de yards en phase finale de l'histoire de la NFL[110]. Gronkowski réalise le protocole de la ligue pour les commotions cérébrales et est autorisé à jouer pour le Super Bowl LII.

Troisième bague de champion (2018)

À l'été 2018, les Patriots de la Nouvelle-Angleterre cherchent et trouvent un échange pour envoyer Rob Gronkowski dans une autre équipe de la ligue[111]. Le joueur résiste et menace de prendre sa retraite s'il est échangé ailleurs[111]. Après une réunion avec Bill Belichick et son agent Drew Rosenhaus, le joueur signe un nouveau contrat qui lui offre des bonus financiers plus importants[111],[112].

Ménagé lors des rencontres de pré-saison, Gronkowski attrape sept passes pour 123 yards et un touchdown lors du match d'ouverture contre les Texans de Houston[113]. Sur le déclin, il est ménagé physiquement tout au long de la saison à la passe mais le coordinateur offensif Josh McDaniels l'utilise comme bloqueur pour établir le jeu à la course. Il manque trois rencontres lors de la saison régulière à cause d'une tendinite au talon d'Achille et à des douleurs au dos[114]. Placé en défense sur la dernière action contre les Dolphins de Miami, il est le dernier à s'incliner devant ce que les médias désignent comme le « Miami Miracle »[115]. Après la fin de la saison régulière, sa plus mauvaise en termes de statistiques depuis le début de sa carrière avec seulement trois touchdowns, le moins de longues réceptions et une moyenne par match de seulement 52,5 yards, les rumeurs de retraite s'intensifient[114],[116].

Présent au Super Bowl LIII, il attrape deux passes dans la série offensive permettant aux Patriots d'inscrire le seul touchdown d'une rencontre gagnée sur le score de 13 à 3. Avant ce troisième sacre pour le tight end, il déclare qu'il prendra une décision sur son futur dans quelques semaines[117].

Le , Gronkowski annonce sur Instagram qu'il met un terme à sa carrière en NFL[118].

Reprise de sa carrière et quatrième Super Bowl (2020)
Rob Gronkowski en 2021

La NFL a annoncé le que Rob Gronkowski reprenait sa carrière de football américain. Cependant, bien qu'il n'ait pas joué pendant un an, il était encore sous contrat chez les Patriots de la Nouvelle-Angleterre. Par conséquent, ce dernier voulant rejoindre Tom Brady, il se fait échanger avec un choix pour le septième tour de draft chez les Buccaneers de Tampa Bay contre un choix au quatrième tour de draft[119]. À la fin de cette saison, il remporte avec sa nouvelle équipe le Super Bowl LV et devient par la même occasion avec Tom Brady , le duo quaterback-receveur ayant marqué le plus de touchdown en post-saison, dans l'histoire de la NFL (14 touchdowns).

Nouvelle saison avec Tampa Bay (2021)

En mars 2021, il resigne avec les Buccaneers pour une saison supplémentaire, pour un montant de 10 millions de dollars[120].

Carrière de catcheur

Rob Gronkowski a toujours fait part de sa passion pour le catch et de la World Wrestling Entertainment (WWE)[121]. Bien qu'il soit toujours joueur de football américain en activité, il ne cache pas son envie de faire carrière dans le catch après avoir quitté la National Football League (NFL)[122]. En 2017, Gronk célèbre le titre du Super Bowl LI avec une ceinture de champion de la WWE[123]. Quelques semaines plus tard, il fait une apparition à WrestleMania 33, passant par-dessus la barrière et entrant dans le ring pour aider son ami Mojo Rawley à remporter le André the Giant Memorial Trophy[124]. En , le catcheur John Cena interprète Rob Gronkowski dans une séquence humoristique du Saturday Night Live intitulée « Where’d Your Money Go? »[125].

En , Gronkoswki se lance officiellement dans la WWE[126]. Il réalise ses débuts quelques jours plus tard dans une enceinte vide pour cause de pandémie de coronavirus à côté de son ami Mojo Rawley, sans combattre pour autant[127]. Si les modalités de son contrat avec la WWE ne sont pas dévoilées, il est prévu qu'il soit l'animateur de WrestleMania 36. Finalement, il remporte le titre 24/7 en faisant le tombé sur Mojo Rawley lors de WrestleMania 36[128]. Le , il perd le titre au profit R-Truth qui effectue le tombé sur lui dans son jardin pendant qu'il faisait une vidéo sur Tik Tok, mettant fin à son règne de 57 jours (règne le plus long de l'histoire du titre).

Vie privée

Rob Gronkowski a 4 frères, dont 3 sont également joueurs de NFL: Dan, Chris et Glenn.

À l'université, il cohabite avec son frère aîné Gordy, son autre frère Chris et Justin Salum, également joueur de football américain et ami de la famille[a 62]. Ensemble, ils organisent des grandes fêtes dans la maison qu'ils appellent « Club G », font de grandes glissades sur le sol et invitent de nombreuses étudiantes[a 62]. La fratrie achète et installe même un jacuzzi dans leur jardin dont l'entrée est conditionnée à lancer un sous-vêtement dans l'arbre sous lequel le spa est placé[a 62]. Quelques années plus tard, Gronkowski revient sur cette acquisition et la considère comme « un bon investissement »[129]. Le « Club G » énerve les fraternités étudiantes de l'université de l'Arizona, créant une rivalité et des bagarres[a 62].

Jeune sportif talentueux, Gronkowski créé la polémique en 2011, au début de sa deuxième saison en NFL, lorsqu’est publiée sur internet une photo du joueur avec BiBi Jones, une actrice de films pornographiques américaine, portant son maillot n°87 des Patriots[4],[130],[a 63]. À partir d', le joueur est en couple avec l'ancienne pom-pom girl des Patriots de la Nouvelle-Angleterre Camille Kostek[131].

Lors des saisons 2011 et 2012, Gronkowski vit en colocation avec les deux autres joueurs des Patriots, les linebackers Dane Fletcher et Niko Koutouvides[42]. Ils y organisent des tournois de cornhole et de tir à l'arc avec leurs coéquipiers[42].

En 2012, Gronkowski achète une luxueuse villa en Floride dans la banlieue de Tampa qu'il met en vente dès l'année suivante et cède pour 2,08 millions de dollars en , réalisant une plus-value de près d'un demi-million de dollars[132].

Statistiques

Les statistiques de Rob Gronkowski mesurent les performances à la réception de passes au poste de tight end mais ne prennent pas en compte ses performances en tant que bloqueur. Son touchdown à la course est une réception de passe latérale derrière la ligne de jeu considérée par la National Football League comme tel[a 64].

Statistiques de Rob Gronkowski en saison régulière
Année Équipe  MJ  MT Passes réceptionnées Courses Fumbles
 REC  %REC Yards  Y/P  TD Tentées Yards Moyenne  TD
2010 NE 16 11 42 71,2 546 13 10 - - - - 1
2011 NE 16 16 90 72,6 1 327 14,7 17 1 2 2 1 0
2012 NE 11 11 55 69,6 790 14,4 11 - - - - 1
2013 NE 7 6 39 59,1 592 15,2 4 - - - - 0
2014 NE 15 10 82 62,6 1 124 13,7 12 - - - - 0
2015 NE 15 15 72 60 1 176 16,3 11 - - - - 0
2016 NE 8 6 25 65,8 540 21,6 3 - - - - 0
2017 NE 14 14 69 65,7 1 084 15,7 8 - - - - 1
2018 NE 13 11 47 65,3 682 14,5 3 - - - - 1
Total 115 110 521 7 861 15,1 79 1 2 2 1 4


Statistiques de Rob Gronkowski en rencontres éliminatoires
Année Équipe  MJ  MT Passes réceptionnées Courses Fumbles
 REC  %REC Yards  Y/P  TD Tentées Yards Moyenne  TD
2010 NE 1 1 4 - 65 16,3 0 - - - - 0
2011 NE 3 3 17 - 258 15,2 3 - - - - 0
2012 NE 1 1 0 - 0 0 0 - - - - 0
2014 NE 3 3 16 - 204 12,8 3 - - - - 0
2015 NE 2 2 15 - 227 15,1 3 - - - - 0
2017 NE 3 3 16 - 218 13,6 3 - - - - 0
2018 NE 3 3 13 - 191 14,7 0 - - - - 0
Total 16 16 81 1 163 14,4 12 - - - - 0


Statistiques de Rob Gronkowski avec les Patriots de la Nouvelle-Angleterre aux Super Bowls
Super Bowl Adversaire Passes réceptionnées
 REC  %REC Yards  Y/P  TD
XLVI Giants de New York 2 66,7 26 13,0 0
XLIX Seahawks de Seattle 6 60,0 68 11,3 1
LII Eagles de Philadelphie 9 60,0 116 12,9 2
LIII Rams de Los Angeles 6 85,7 87 14,5 0

Palmarès et records

Triple vainqueur du Super Bowl avec les Patriots de la Nouvelle-Angleterre et simple vainqueur avec les Buccaneers de Tampa Bay, Rob Gronkowski fait partie de la deuxième dynastie de Tom Brady et Bill Belichick. Après un échec contre les Giants de New York au Super Bowl XLVI, il participe aux succès des Super Bowls XLIX et LIII sur le terrain et du Super Bowl LI depuis le banc de touche.

Dès son entrée dans la National Football League, Rob Gronkowski a un impact sur son équipe et sur la ligue. Il est le plus jeune joueur à réceptionner trois touchdowns en un seul match contre les Steelers de Pittsburgh alors qu'il n'a que 21 ans et 214 jours.

La saison 2011 de Rob Gronkowski est historique. Pour sa deuxième année dans la ligue, le joueur bat les principaux records à la réception de passes pour un tight end. Il marque le plus grand nombre de touchdowns reçus par un joueur à ce poste en une saison avec 17 unités[note 1],[133],[134]. Il termine meilleur marqueur de touchdowns à la passe de la saison, et devient le premier tight end à réussir cette performance. Avec 1 327 yards lors de cette saison, il bat également le record possédé par le joueur du Pro Football Hall of Fame Kellen Winslow en 1980[133]. Ce record est également battu par le joueur des Saints de La Nouvelle-Orléans Jimmy Graham en 2011, mais attrape 17 yards de moins que Gronkowski[133]. Par ailleurs, sur ses deux premières saisons en NFL, Gronk est le joueur qui a inscrit le plus grand nombre de touchdowns de l'histoire, à égalité avec Randy Moss.

En 2011, Gronk est également sélectionné pour la première fois au Pro Bowl et dans la première équipe All-Pro. Lors des saisons suivantes, Gronkowski l'est de nouveau en 2012, 2014 et 2015 ; ratant ses récompenses en 2013 et 2016 du fait des graves blessures.

Gronkowski est le meilleur marqueur de touchdowns de la franchise des Patriots de la Nouvelle-Angleterre à la passe avec 79 unités.

Personnalité et style de jeu

Personnalité

Un homme de dos attrapant par les épaules un autre homme, rigolant, entourés d'autres joueurs qui sourient.
Rob Gronkowski rigolant avec Barack Obama lors de la visite traditionnelle de la Maison-Blanche des Patriots après la victoire au Super Bowl XLIX.

Le surnom Gronk est un diminutif de son nom et une référence au personnage Gronk, un humanoïde obèse appartenant à l'univers de Marvel Comics.

Gronkowski s'est construit, en partie volontairement, une réputation de fêtard[135]. Dès 2012, lors d'une entrevue avec un journaliste hispanique dans le vestiaires après la victoire au championnat AFC, Gronk conclut par dire en espagnol « Yo soy fiesta »[136]. Dès , il devient propriétaire d'un bus qu'il transforme en bus de fête avec sa famille[137]. En , il lance le Gronk's Party Ship, une fête de trois jours organisée par le joueur et sa famille qui invite des célébrités comme Flo Rida, Redfoo, 3LAU ou encore Waka Flocka Flame[138],[139],[140].

Son exubérance en fait l'un des joueurs les plus aimés de la ligue[135]. Il est l'un des Patriots les plus impliqués dans des œuvres caritatives[141]. Chaque année, Gronk se fait raser les cheveux pour l'association Cancer Buzz Off afin de sensibiliser à la cause et lever des fonds pour la pédiatrie du cancer[142],[143],[144]. En 2016, il est récompensé pour son implication dans la communauté de Boston et ses multiples événements, notamment auprès des enfants dans les écoles et les hôpitaux en recevant le prix Ron Burton Community Service[145].

Style de jeu

Gronkowski est un tight end puissant et efficace. Dominateur, il s'impose par son envergure et sa capacité à se créer des espaces dans la défense. Que ce soit à Arizona ou aux Patriots, il est considéré ouvert même si un défenseur le couvre[146]. L'un de ses principaux atouts physiques est l'envergure de ses mains de 27,3 centimètres, presque autant que la longueur d'un ballon de football américain[146]. Earl Mitchell dit des mains de Gronkowski que ce sont des « pattes d'ours »[146].

Bon bloqueur, il utilise son physique hors normes pour contrer les linebackers adverses. Selon Greg Roman, coordinateur offensif des Bills de Buffalo, Rob Gronkowski « peut bloquer comme un offensive tackle »[147].

Polyvalent, il est capable de se placer dans quatre positions différentes : le placement classique du tight end, dans le slot, en tant que wide receiver extérieur et même en receveur isolé[147]. Il est considéré comme la plus importante menace offensive dans le slot par Pro Football Focus[148]. L'entraîneur principal des Patriots de la Nouvelle-Angleterre, Bill Belichick, le considère comme un receveur[147]. Il est si fort à la réception de passe que les défenseurs doivent l'attraper ou l'agresser pour éviter qu'il domine[110]. Pour se protéger, il utilise à partir de 2013 une importante protection sur le bras gauche[114].

Auprès de Tom Brady, qui est dur avec lui, Gronk apprend à se séparer de son défenseur pour être libre[147]. L'impact de sa relation avec Brady est l'une des plus importantes de la ligue[149].

Gronk Spike

La célébration de Gronkowski, appelée le « Spike » ou « Gronk Spike », consistant à jeter le ballon très fortement au sol devient sa marque de fabrique[150]. Il commence à réaliser cette célébration en National Football League et déclare avoir toujours souhaité le faire mais ne pas pouvoir le faire auparavant[151]. Les supporteurs aimant ce geste, il continue à le faire tout au long de sa carrière[151]. De nombreuses imitations de sa célébration sont publiées par des supporteurs sur internet avec divers objets[4]. Le joueur lui-même utilise ce geste emblématique à différentes occasions avec un palet de hockey sur glace avec une rencontre des Bruins de Boston[152], des cônes de crème glacée dans les rues de Boston[153] ou encore un bouquet de mariage[154].

Aspects financiers

Le tableau ci-dessous récapitule les revenus en carrière de Rob Gronkowski avec les Patriots de la Nouvelle-Angleterre[155].

Revenus en carrière de Rob Gronkowski
Année Équipe Salaire fixe Bonus Total
Bonus à la signature Bonus effectif Bonus de restructuration Autres bonus
2010 Patriots 320 000 $ 1 760 000 $ - - - 2 080 000 $
2011 Patriots 450 000 $ - - - 830 000 $ 1 280 000 $
2012 Patriots 540 000 $ 8 000 000 $ - - 30 000 $ 8 570 000 $
2013 Patriots 630 000 $ - - - 30 000 $ 660 000 $
2014 Patriots 3 750 000 $ - - - - 3 750 000 $
2015 Patriots 4 750 000 $ - - - 10 264 803 $ 15 014 803 $
2016 Patriots 2 250 000 $ - 468 750 $ - 259 079 $ 2 977 829 $
2017 Patriots 4 000 000 $ - 437 500 $ - 5 750 000 $ 10 187 500 $
2018 Patriots 8 000 000 $ - 1 531 250 $ - 250 000 $ 9 781 250 $
Total 24 690 000 $ 9 760 000 $ 2 437 500 $ - 17 413 882 $ 54 310 382 $


En , Gronkowski signe un contrat de partenariat avec Dunkin' Donuts et devient porte-parole de la marque[156]. En août de cette même année, il signe un contrat de partenariat et d'investissement avec Bodyarmor SuperDrink, participant au développement de l'entreprise comme de nombreux autres sportifs[157]. En 2013, il lance sa marque de céréales, les « Gronkflakes »[158].

En 2015, il déclare de pas avoir dépenser un centime de ses revenus NFL et qu'il vit de tous ses autres revenus issus de ses contrats marketing ou d'apparitions[159]. Le joueur vend son image et la monétise en utilisant notamment les réseaux sociaux[160].

En , Gronkowski signe un partenariat avec Monster Energy pour commercialiser une boisson énergétique signature au nom de « Gronk »[161]. En amont de la saison 2017, les Patriots et Gronkowski restructurent le contrat du joueur afin qu'il puisse être le tight end le plus payé de la ligue s'il remplit certaines conditions[162],[163].

En 2017, l'association des joueurs de la National Football League conseille aux jeunes débutants de suivre les pas de Rob Gronkowski et de développer leur propre marque[164].

Rob Gronkowski dans la culture populaire

Image médiatique

Rob Gronkowski utilise ses mois de repos pour faire de multiples apparences publiques et médiatiques, qui deviennent à partir de 2012 le « Summer of Gronk »[165],[note 2]. Après son historique saison 2011, l'attrait médiatique du tight end augmente fortement. Le joueur est présent dans le numéro spécial d'ESPN The Magazine: Body Issue et est l'un des six athlètes sélectionnés pour en faire la couverture[166]. En , il fait de nouveau la une du magazine, seul cette fois-ci, lors d'une longue entrevue illustrée par des photos du joueur avec des chats[167]. Moins d'un mois plus tard, il est en une d'une version régionale de Sports Illustrated[168]. Il devient, après le Super Bowl XLIX remporté avec les Patriots, une vedette nationale.

Gronkowski est régulièrement l'invité du Jimmy Kimmel Live!. En , il y lit un passage d'un livre de fiction érotique écrit par Lacey Noonan intitulé en son hommage « A Gronking to Remember »[169]. Quelques semaines plus tard, il crée avec l'actrice Charlotte McKinney une bande-annonce d'un faux film créé à partir du livre pour Funny or Die[170]. En , il revient sur la fête organisée sur son bateau quelques mois auparavant.

En 2015, Rob Gronkowski participe avec son père et trois de ses frères à Family Feud, la version originale et américaine d'Une famille en or[171]. En novembre, Lacey Noonan publie un deuxième livre érotique sur une femme de foyer obsédée par Rob Gronkowski intitulé « A Gronking to Remember 2: Chad Goes Deep in the Neutral Zone »[172].

Gronk est très occupé après la saison 2015 de la NFL. Il est sélectionné pour être en couverture du jeu Madden NFL 17[173], une saison après avoir terminé deuxième aux votes du public l'année précédente. En , Gronk rejoint Paul McCartney sur scène au Fenway Park pour chanter avec lui la chanson Helter Skelter[174]. Deux jours plus tard, il est de nouveau présent dans l'enceinte pour effectuer le lancer inaugural d'une rencontre de Ligue majeure de baseball entre les Red Sox de Boston et les Giants de San Francisco au Fenway Park[175].

Depuis , Gronkowski présente avec Brandon Broady et Stevie Nelson une émission de télévision nommée « Crashletes » diffusée sur Nickelodeon[176],[177],[178]. L'émission est reconduite pour une deuxième saison en [179].

En , Gronkowski visite le FC Barcelone et rencontre Lionel Messi à l'occasion d'une rencontre contre Gijón gagnée 6 à 1 par le Barça[180]. Quelques semaines plus tard, il est l'acteur principal du clip de la musique « On My Mind » du DJ 3LAU[181].

Bibliographie et filmographie

En , Rob Gronkowski publie un livre en coopération avec les éditions du joueur de baseball Derek Jeter : Jeter Publishing[182]. Ce livre, co-écrit avec le frère de son agent, Jason Rosenhaus, s'intitule It's Good to Be Gronk. Pendant la promotion de son livre dans les médias, le joueur avoue qu'il n'a pas lu entièrement l'ouvrage[183],[184].

Gronkowski joue dans le film Entourage en 2015 et a des rôles dans American Violence et You Can't Have It en 2017[185],[186]. Il a également fait un épisode dans la série Les Griffin en 2017.

En 2021, il apparait dans le film Boss Level de Joe Carnahan.

Notes et références

Notes

  1. Le record est jusque-là détenu par Antonio Gates avec 13 touchdowns pour les Chargers de San Diego lors de la saison 2004, performance égalée par Vernon Davis des 49ers de San Francisco en 2009.
  2. Traduction : « L'été de Gronk ».

Références bibliographiques

  • It's Good to Be Gronk
  1. Rosenhaus 2015, « Meet The Gronks », p. 1 à 7.
  2. Rosenhaus 2015, « Meet The Gronks », p. 8.
  3. Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 42.
  4. a et b Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 17.
  5. Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 18 à 20.
  6. a et b Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 21.
  7. Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 22 et 23.
  8. a b et c Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 24.
  9. Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 24 et 25.
  10. Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 25.
  11. Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 27 et 28.
  12. Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 29.
  13. Rosenhaus 2015, « Becoming The Gronk », p. 30.
  14. Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 31.
  15. a et b Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 31 à 34.
  16. a b et c Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 34.
  17. Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 35.
  18. a et b Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 39 à 41.
  19. Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 45 à 47.
  20. Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 48.
  21. Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 48 et 49.
  22. Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 49 et 50.
  23. Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 51 et 52.
  24. a et b Rosenhaus 2015, « Wildcats », p. 53 et 54.
  25. Rosenhaus 2015, « All Business », p. 63.
  26. Rosenhaus 2015, « All Business », p. 66 et 67.
  27. Rosenhaus 2015, « All Business », p. 68.
  28. Rosenhaus 2015, « All Business », p. 69.
  29. a et b Rosenhaus 2015, « All Business », p. 70 et 71.
  30. a et b Rosenhaus 2015, « All Business », p. 72.
  31. Rosenhaus 2015, « All Business », p. 72 et 73.
  32. Rosenhaus 2015, « All Business », p. 73.
  33. a et b Rosenhaus 2015, « All Business », p. 74.
  34. a et b Rosenhaus 2015, « All Business », p. 75.
  35. a et b Rosenhaus 2015, « All Business », p. 76.
  36. a b c d e f et g Rosenhaus 2015, « Knocked Down », p. 78 et 79.
  37. a et b Rosenhaus 2015, « Knocked Down », p. 80 et 81.
  38. a et b Rosenhaus 2015, « Knocked Down », p. 82 et 83.
  39. Rosenhaus 2015, « Knocked Down », p. 85.
  40. Rosenhaus 2015, « Knocked Down », p. 86.
  41. Rosenhaus 2015, « Knocked Down », p. 87.
  42. Rosenhaus 2015, « The Gronk Agent Selection Method », p. 90.
  43. a et b Rosenhaus 2015, « The Gronk Agent Selection Method », p. 96.
  44. Rosenhaus 2015, « Party Rockers! », p. 140.
  45. Rosenhaus 2015, « The Gronk Agent Selection Method », p. 91 à 94 ; 97 à 100.
  46. a et b Rosenhaus 2015, « The Gronks Are Coming To Town! », p. 101.
  47. a b c d et e Rosenhaus 2015, « The Gronks Are Coming To Town! », p. 103 à 105.
  48. a et b Rosenhaus 2015, « The Gronks Are Coming To Town! », p. 105 à 109.
  49. Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 125.
  50. a b et c Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 126.
  51. a b et c Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 127 et 128.
  52. Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 128 et 129.
  53. a et b Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 129 et 130.
  54. a et b Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 131 et 132.
  55. a et b Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 133.
  56. Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 136.
  57. Rosenhaus 2015, « The Beginning », p. 137.
  58. Rosenhaus 2015, « The Super Bowl », p. 157.
  59. Rosenhaus 2015, « The Super Bowl », p. 159.
  60. Rosenhaus 2015, « The Super Bowl », p. 160.
  61. Rosenhaus 2015, « The Super Bowl », p. 160 et 161.
  62. a b c et d Rosenhaus 2015, « Club G », p. 55 à 61.
  63. Rosenhaus 2015, « The Super Bowl », p. 161.
  64. Rosenhaus 2015, « The Super Bowl », p. 163.

Autres références

  1. (en) nfl.com, « NFL official all-time team roster », sur nfl.com
  2. (en) « Ignatius Gronkowski », sur sports-reference.com (consulté le 24 mai 2017).
  3. a b et c (en) Eric Adelson, « Gronk Gym: How The Gronkowski Boys All Got So Good At Sports », sur thepostgame.com, (consulté le 24 mai 2017).
  4. a b c d e f et g [vidéo] (en) E:60 : Rob Gronkowski, ESPN, octobre 2012, 16 minutes.
  5. (en) Bruce Weber, « How Rob Gronkowski’s Dad Raised America’s First Family of Jocks », Vanity Fair, (consulté le 24 mai 2017).
  6. (en) « Chat with Gronkowski, Revis », sur ESPN.com, (consulté le 23 mai 2017).
  7. a et b (en) Tyler Donohue, « The College Recruitment of Rob Gronkowski », Bleacher Report, (consulté le 20 mai 2017).
  8. (en) Ted Miller, « Dykes hopes to work his magic on Tuitama, Wildcats », sur ESPN.com, (consulté le 5 juin 2017).
  9. (en) Associated Press, « Wildcats TE Gronkowski out for opener with strep, possibly mono », sur ESPN.com, (consulté le 5 juin 2017).
  10. (en) Associated Press, « Improbable last-minute drive lifts Stanford past Arizona », sur ESPN.com, (consulté le 5 juin 2017).
  11. (en) Associated Press, « Trojans keep title hopes alive with dominant defensive effort », sur ESPN.com, (consulté le 5 juin 2017).
  12. (en) Ted Miller, « Stoops rules Gronkowski out vs. Iowa », sur ESPN.com, (consulté le 6 juin 2017).
  13. (en) « NFL Scouting Combine 2010 - Rob Gronkowski », sur nfl.com, (consulté le 24 mai 2017).
  14. (en) « Rob Gronkowski, DS #2 TE, Arizona », sur nfldraftscout.com, (consulté le 24 mai 2017).
  15. a et b (en) Jarrett Bell, « Draft notes: Rob Gronkowski overjoyed to be a Patriot », USA Today, (consulté le 24 mai 2017).
  16. [vidéo] (en) « Patriots pick Rob Gronkowski », sur nfl.com, (consulté le 24 mai 2017).
  17. (en) Mike Reiss, « Gronkowski signs rookie deal », sur ESPN.com, (consulté le 5 mai 2016).
  18. (en) Associated Press, « Peyton Hillis, Colt McCoy lead resurgent Browns by Patriots », sur ESPN.com, (consulté le 7 juin 2017).
  19. (en) Chris Ballard, « The Last Happy Man : Hero. Jester. Prodigy. Knucklehead. The league's best hope and worst nightmare. Rob Gronkowski of the Patriots is a 265-pound bundle of raw energy and rocking good times, and he could become the best tight end in history. Right now, though, he just wants to keep the party going », Sports Illustrated, vol. 117, no 9,‎ , p. 54 à 64 (ISSN 0038-822X, lire en ligne).
  20. (en) Paolo Bandini, « Rob Gronkowski set to play for New England Patriots in Super Bowl 2012 », sur theguardian.com, (consulté le 23 mai 2017).
  21. (en) Mike Rodak, « Hobbled Gronk not his Super self », sur ESPN.com, (consulté le 23 mai 2017).
  22. (en) Jordan Heck, « Rob Gronkowski Dances Shirtless at Party After Super Bowl Loss », Bleacher Report, (consulté le 23 mai 2017).
  23. (en) Doug Farrar, « Rodney Harrison calls Rob Gronkowski out for dancing after the Super Bowl », Yahoo!, (consulté le 23 mai 2017).
  24. (en) Albert Breer et Ian Rapoport, « Patriots, Rob Gronkowski agree to six-year, $54M extension », sur nfl.com, (consulté le 19 mai 2017).
  25. (en) « Rob Gronkowski has gone form man to myth », The Boston Globe, (consulté le 23 mai 2017).
  26. (en) « Tom Brady leads Pats to ninth straight opener win », sur ESPN.com, (consulté le 13 juin 2017).
  27. a et b (en) « Stephen Gostkowski misses late FG try as Pats upset by Cards », sur ESPN.com, (consulté le 13 juin 2017).
  28. a et b (en) « Tom Brady, Pats score six straight TDs in 2nd half, KO Bills », sur ESPN.com, (consulté le 13 juin 2017).
  29. a et b (en) Associated Press, « Tom Brady, Rob Gronkowski power New England Patriots past St. Louis Rams », sur nfl.com, (consulté le 12 juin 2017).
  30. (en) Kevin Clark, « Gronk for President », sur theringer.com, (consulté le 12 juin 2017).
  31. (en) Ben Shpigel, « Patriots Have the Final Word in Overtime », The New York Times, (consulté le 13 juin 2017).
  32. (en) Judy Battista, « Patriots Have Lost Gronkowski, but Not Firepower », The New York Times, (consulté le 13 juin 2017).
  33. (en) Cindy Boren, « Gronkowski’s broken arm requires surgery (updated) », The Washington Post, (consulté le 9 juin 2017).
  34. (en) Gregg Rosenthal, « Rob Gronkowski breaks forearm during Patriots' win », sur nfl.com, (consulté le 19 mai 2017).
  35. (en) Mike Garafolo, « Rob Gronkowski suffers broken forearm, out 4 to 6 weeks », USA Today, (consulté le 23 mai 2017).
  36. (en) Peter May, « Patriots’ Tight End Tandem Set to Play », The New York Times, (consulté le 9 juin 2017).
  37. (en) Mike Garafolo, « Patriots' Rob Gronkowski breaks forearm again », USA Today, (consulté le 23 mai 2017).
  38. (en) Gregg Rosenthal, « Rob Gronkowski breaks left forearm, out for playoffs », sur nfl.com, (consulté le 9 juin 2017).
  39. (en) Kevin Patra, « Rob Gronkowski dances shirtless, lands on broken arm », sur nfl.com, (consulté le 9 juin 2017).
  40. (en) « Rob Gronkowski Vegas Wrestling with Broken Forearm », sur tmz.com, (consulté le 23 mai 2017).
  41. (en) Christopher L. Gasper, « Rob Gronkowski's shirtless antics are growing old », Boston Globe, (consulté le 9 juin 2017).
  42. a b et c (en) Pete Thamel, « Same Old Gronk—or Maybe Better », Sports Illustrated, (consulté le 23 mai 2017).
  43. (en) Jeff Howe, « Rob Gronkowski will likely wear protective sleeve all season », Boston Herald, (consulté le 13 juin 2017).
  44. (en) Zach Schonbrun, « Jets’ Defense Preparing for Another Tall Order », The New York Times, (consulté le 13 juin 2017).
  45. (en) « Tom Brady tosses 4 TD passes as Patriots trounce Steelers », sur ESPN.com, (consulté le 13 juin 2017).
  46. (en) Jarrett Bell, « Patriots look like champs, give Steelers historic beating », USA Today, (consulté le 13 juin 2017).
  47. (en) Marc Sessler, « Injury roundup: Rob Gronkowski playing for Patriots », sur nfl.com, (consulté le 13 juin 2017).
  48. (en) Doug Kyed, « Rob Gronkowski, Julian Edelman, Tom Brady Among Patriots’ Five Stars of the Game Against Texans », NESN, (consulté le 13 juin 2017).
  49. (en) Marc Sessler, « Rob Gronkowski out for season with torn ACL, MCL », sur nfl.com, (consulté le 19 mai 2017).
  50. (en) « Rob Gronkowski's knee injury becomes point of hit controversy », sur nfl.com, (consulté le 31 mai 2017).
  51. (en) Lee Schechter, « Gronk ready for reunion with T.J. Ward », sur ESPN.com, (consulté le 31 mai 2017).
  52. (en) Pat McManamon, « Ward: NFL rules forced me to tackle low », sur ESPN.com, (consulté le 31 mai 2017).
  53. (en) Greg A. Bedard, « A Knee-Jerk Reaction », sur Sports Illustrated, (consulté le 31 mai 2017).
  54. (en) Omar Kelly, « Miami Dolphins not surprised by Rob Gronkowski's pledge to play », Sun Sentinel, (consulté le 12 juin 2017).
  55. (en) Associated Press, « Dolphins rally past Patriots with dominant 2nd half », sur ESPN.com, (consulté le 12 juin 2017).
  56. (en) Larry Mayer, « Gronkowski burns Bears for 3 TDs », sur chicagobears.com, (consulté le 12 juin 2017).
  57. (en) « Rob Gronkowski Becomes 1st Tight End with 4 10-Touchdown Seasons », Bleacher Report, (consulté le 12 juin 2017).
  58. (en) John Breech, « Rob Gronkowski fined $8,268 for kicking Sergio Brown out of the club », CBS Sports, (consulté le 8 juin 2017).
  59. (en) Tom Pelissero, « Five players, including Rob Gronkowski and Doug Baldwin, earn Super Bowl fines », USA Today, (consulté le 8 juin 2017).
  60. (en) Brendan Porath, « NFL fines Rob Gronkowski for Super Bowl brawl », SB Nation, (consulté le 8 juin 2017).
  61. (en) Gregg Rosenthal, « Rob Gronkowski wins Comeback Player of the Year », sur nfl.com, (consulté le 8 juin 2017).
  62. (en) Mike Reiss, « Patriots' Rob Gronkowski named Comeback Player of the Year », sur ESPN.com, (consulté le 8 juin 2017).
  63. (en) Gregg Rosenthal, « Rob Gronkowski, Patriots put on familiar show », sur nfl.com, (consulté le 20 mai 2017).
  64. (en) Associated Press, « Sluggish Patriots hit their stride in 36-7 win over Dolphins », Los Angeles Times, (consulté le 12 juin 2017).
  65. (en) Michael Whitmer, « Patriots lose Rob Gronkowski, then game, in Denver », The Boston Globe, 30< novembre 2015 (consulté le 17 juin 2017).
  66. (en) Chris Wesseling, « Rob Gronkowski carted off field after injuring knee », sur nfl.com, (consulté le 20 mai 2017).
  67. (en) « Rob Gronkowski makes NFL history with fifth 10-touchdown season », Fox Sports, (consulté le 20 mai 2017).
  68. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski dedicates Pats' win, touchdown to late friend », sur ESPN.com, (consulté le 20 mai 2017).
  69. (en) Michael Hurley, « Rob Gronkowski Dedicates Game To Friend, Trainer Who Passed Away This Week », CBS Boston, (consulté le 20 mai 2017).
  70. (en) Dan Hanzus, « Gronkowski strikes twice as Patriots outlast Chiefs », sur nfl.com, (consulté le 20 mai 2017).
  71. (en) Brenden Lee, « New England Patriots QB Tom Brady Tops Pro Bowl Voting By Fans On NFL.com », NFL, (consulté le 20 mai 2017).
  72. (en) Jeff Howe, « Rob Gronkowski, Stephen Gostkowski named All-Pros », sur bostonherald.com, (consulté le 20 mai 2017).
  73. [vidéo] (en) « Top 100 Players of 2016: No. 9 Rob Gronkowski », sur nfl.com, (consulté le 20 mai 2017).
  74. (en) Andy Hart, « TE Rob Gronkowski among 3 Patriots ruled Out vs. Cardinals », sur patriots.com, (consulté le 9 juin 2017).
  75. (en) Sean Wagner-McGough, « Rob Gronkowski's 109-yard game somehow fails to impress the Bills defense », CBS Sports, (consulté le 9 juin 2017).
  76. (en) Chris Wesseling, « Bengals have no answers for Gronkowski, Patriots », sur nfl.com, (consulté le 9 juin 2017).
  77. (en) Doug Kyed, « Patriots Pick Six: Rob Gronkowski Destroys Bengals In Tom Brady’s Return Home », NESN, (consulté le 9 juin 2017).
  78. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski sets Patriots record for touchdowns », sur ESPN.com, (consulté le 9 juin 2017).
  79. (en) Lorenzo Reyes, « Rob Gronkowski revels in 'unbelievable' Patriots record with 69th touchdown », USA Today, (consulté le 9 juin 2017).
  80. (en) Dan Hanzus, « Gronk: Earl Thomas hit one of the hardest I've taken », sur nfl.com, (consulté le 20 mai 2017).
  81. (en) Mike Reiss, « Patriots star Rob Gronkowski to have back surgery Friday », sur ESPN.com, (consulté le 20 mai 2017).
  82. (en) Ian Rapoport, « Rob Gronkowski's season is over, but questions remain », sur nfl.com, (consulté le 20 mai 2017).
  83. (en) Mike Reiss, « Revisiting Rob Gronkowski's injury history with the Patriots », sur ESPN.com, (consulté le 20 mai 2017).
  84. (en) Mike Sando, « Predicting the Patriots' offseason: Will Jimmy Garoppolo get traded? », sur ESPN.com, (consulté le 20 mai 2017).
  85. (en) Alex Reimer, « Rob Gronkowski Should Retire from Playing Football : Gronkowski has undergone nine surgeries and three back operations since 2009 », sur bostonmagazine.com, (consulté le 20 mai 2017).
  86. (en) « Well, Rob Gronkowski enjoyed himself at the parade », Boston Globe, (consulté le 23 mai 2017).
  87. (en) Ralph Warner, « Rob Gronkowski steals Tom Brady's jersey at Fenway », sur nfl.com, (consulté le 23 mai 2017).
  88. (en) Cindy Boren et Marissa Payne, « Robert Kraft lauds President Trump during Tom Brady-less White House visit », The Washington Post, (consulté le 23 mai 2017).
  89. (en) Eduardo Gonzalez, « Rob Gronkowski crashes White House briefing to offer 'some help' », Los Angeles Times, (consulté le 23 mai 2017).
  90. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski working hard behind the scenes at stadium », sur ESPN.com, (consulté le 23 mai 2017).
  91. (en) Luke O'Neil, « What Gronk Was Thinking During the Patriots' White House Trip », sur esquire.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  92. a et b (en) Brad Almquist, « Rob Gronkowski was back to his old self — until another injury », Boston Globe, (consulté le 20 décembre 2017).
  93. a et b (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski says groin injury not serious », sur ESPN.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  94. (en) Jeff Howe, « Rob Gronkowski to play Sunday; suffered thigh contusion vs. Panthers », Boston Herald, (consulté le 20 décembre 2017).
  95. (en) Jeremy Bergman, « Rob Gronkowski inactive tonight for Patriots vs. Bucs », sur NFL.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  96. (en) Brad Almquist, « Rob Gronkowski now has a special place in Patriots’ history », Boston Globe, (consulté le 20 décembre 2017).
  97. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski says he will play vs. Jets », sur ESPN.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  98. (en) Alex Squadron, « Jets stud rookie learned a Rob Gronkowski lesson », New York Post, (consulté le 20 décembre 2017).
  99. a et b (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski gets steady diet of touchdown passes as Pats roll », sur ESPN.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  100. (en) Cindy Boren, « Rob Gronkowski’s dirty hit overshadows day of stellar play », The Washington Post, (consulté le 20 décembre 2017).
  101. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski suspended one game for late hit », sur ESPN.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  102. (en) Cindy Boren, « Rob Gronkowski suspended for one game after dirty hit. It makes sense. », The Washington Post, (consulté le 20 décembre 2017).
  103. (en) « NFL upholds Gronkowski's one-game suspension », sur ESPN.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  104. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski loses $281K with suspension -- and possibly much more », sur ESPN.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  105. (en) « Patriots' Rob Gronkowski: Sets season-high receiving mark », sur cbssports.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  106. a et b (en) Paul Perillo, « Matchup Winners: Gronk dominates Steelers », sur patriots.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  107. (en) Associated Press, « Patriots rally behind Gronkowski, edge Steelers 27-24 », sur patriots.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  108. (en) Ron Borges, « Even when covered, Rob Gronkowski dominates », Boston Herald, (consulté le 20 décembre 2017).
  109. (en) Quang M. Lam, « Gronkowski, Gurley among NFL Players of the Week », sur nfl.com, (consulté le 20 décembre 2017).
  110. a b c et d (en) Kevin Van Valkenburg, « After a resurgent season, Gronk stares down football's one certainty », sur ESPN.com, (consulté le 30 janvier 2018).
  111. a b et c (en) Ian Rapoport, « Rob Gronkowski resisted potential trade from Patriots », sur nfl.com, (consulté le 10 septembre 2018).
  112. (en) Austin Knoblauch, « Rob Gronkowski signs revised contract with Patriots », sur nfl.com, (consulté le 10 septembre 2018).
  113. (en) Associated Press, « Brady, Gronk open season with 27-20 win over Texans », sur espn.com, (consulté le 10 septembre 2018).
  114. a b et c (en) Mika Kimes, « Will Rob Gronkowski retire? Why the Patriots star's decision isn't easy », sur espn.com, (consulté le 8 février 2019).
  115. (en) Andrew Joseph, « The Dolphins pulled off a miracle win thanks to Rob Gronkowski's awful tackling angle », sur usatoday.com, (consulté le 8 février 2019).
  116. (en) Ian Rapoport, « Patriots TE Rob Gronkowski to weigh retirement again », sur nfl.com, (consulté le 8 février 2019).
  117. (en) « Rob Gronkowski to decide future 'in a few weeks' », sur espn.com, (consulté le 8 février 2019).
  118. (en) Jeremy Bergman, « Patriots TE Rob Gronkowski announces retirement », sur NFL.com, (consulté le 24 mars 2019).
  119. (en) « Patriots to trade Rob Gronkowski to Buccaneers », sur NFL.com (consulté le 21 avril 2020)
  120. (en) nfl.com, « Buccaneers bringing back TE Rob Gronkowski for one year, $10 million »
  121. (en) Mike Reiss, « What happens when Rob Gronkowski channels his inner WWE personality? », sur ESPN.com, (consulté le 23 mai 2017).
  122. (en) Anthony DiMoro, « Rob Gronkowski Eyeing WWE Career After Retirement From NFL », Forbes, (consulté le 20 mai 2017).
  123. (en) « Rob Gronkowski shows off championship belt WWE gave the Patriots for winning Super Bowl », sur si.com, (consulté le 20 mai 2017).
  124. (en) « Rob Gronkowski helps Mojo Rawley win the Andre the Giant Memorial Battle Royal », sur wwe.com, (consulté le 19 mai 2017).
  125. (en) « Watch John Cena Impersonate Rob Gronkowski On ‘Saturday Night Live’ », NESN, (consulté le 12 juin 2017).
  126. Agence QMI, « Rob Gronkowski fait le saut dans la WWE », sur journaldemontreal.com, (consulté le 28 mars 2020).
  127. (en) Leah Asmelash, « Rob Gronkowski just made his WWE debut in an empty arena », CNN, (consulté le 28 mars 2020).
  128. Imanol Corcostegui, « Gronk, tout est dans ses cordes : L'ancienne star du foot US, l’exubérant Rob Gronkoswki, a signé un contrat avec la WWE, le géant du catch, dont il anime ce week-end le grand show. », L'Équipe Magazine, no 1967,‎ , p. 8.
  129. (en) Rohan Nadkarni, « Rob Gronkowski's Stories About College Are Exactly as Ridiculous as You Think They Are », GQ, (consulté le 8 juin 2017).
  130. (en) LZ Granderson, « Just a snapshot of athletes' lives », sur ESPN.com, (consulté le 23 mai 2017).
  131. (en) Chris Spargo, « Rob Gronkowski rekindles his romance with a Patriots cheerleader as the two head to a wedding where the football star strips to the waist to celebrate his 28th birthday », sur dailymail.co.uk, (consulté le 23 mai 2017).
  132. (en) Drew Harwell, « Patriots star Rob Gronkowski sells South Tampa mansion for $2 million », Tampa Bay Times, (consulté le 12 juin 2017).
  133. a b et c (en) Sam Monson, « No. 6: Rob Gronkowski, TE, New England Patriots », Pro Football Focus, (consulté le 23 mai 2017).
  134. (en) Barry Svrluga, « Patriots tight end Rob Gronkowski breaks NFL records, with a smile », The Washington Post, (consulté le 8 juin 2017).
  135. a et b (en) Devin Friedman, « Rob Gronkowski on Partying, Going Shirtless, and the Unending Admiration of Random Women », GQ, (consulté le 23 mai 2017).
  136. (en) Dan Treadway, « Rob Gronkowski Says ‘Yo Soy Fiesta’ To ESPN Deportes After Patriots Win », sur huffingtonpost.com, (consulté le 23 mai 2017).
  137. (en) Brian Lewis, « A peek inside Rob Gronkowski’s booze-fueled party bus », New York Post, (consulté le 23 mai 2017).
  138. (en) « Gronk's Party Ship », sur gronkspartyship.com (consulté le 23 mai 2017).
  139. (en) « Behind the scenes of Gronk's Party Ship », sur ESPN.com, (consulté le 23 mai 2017).
  140. (en) Dan Hanzus, « Gronk Party Ship sets sail toward glory », sur nfl.com, (consulté le 23 mai 2017).
  141. (en) Mike Reiss, « The Rob Gronkowski story not often told: Generosity to charitable causes », sur ESPN.com, (consulté le 1er juin 2017).
  142. (en) Dan Gartland, « Rob Gronkowski shaved his head to raise money for pediatric cancer », Sports Illustrated, (consulté le 5 juin 2017).
  143. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski shaves his head in support of Cancer Buzz Off event », sur ESPN.com, (consulté le 5 juin 2017).
  144. (en) Mike Reiss, « Pats' Rob Gronkowski gets buzz cut for charity », sur ESPN.com, (consulté le 5 juin 2017).
  145. (en) « Rob Gronkowski Receives 2016 Ron Burton Community Service Award », Patriots de la Nouvelle-Angleterre, (consulté le 1er juin 2017).
  146. a b et c (en) Ben Shpigel, « Gronkowski’s Hands Are Key to His Success », The New York Times, (consulté le 9 juin 2017).
  147. a b c et d (en) Peter King, « Rob Gronkowski, Football Mastermind », Sports Illustrated, (consulté le 1er juin 2017).
  148. (en) Sam Monson, « 10 Best Slot Weapons in the NFL », Pro Football Focus, (consulté le 12 juin 2017).
  149. (en) Benjamin Morris, « Rob Gronkowski Is The Randy Moss Of Tight Ends », Five Thirty Eight, (consulté le 6 juin 2017).
  150. (en) Greg Bishop, « Science of the Spike », The New York Times, (consulté le 19 mai 2017).
  151. a et b (en) Alan Siegel, « A Brief History Of The Gronkowski Spike : The Gronk Spike took a couple of seasons to become synonymous with Rob Gronkowski. Here’s why », sur bostonmagazine.com, (consulté le 23 mai 2017).
  152. (en) Des Bieler, « Rob Gronkowski spiked the ceremonial puck before a Bruins game », The Washington Post, (consulté le 12 juin 2017).
  153. (en) Ricky Doyle, « Watch Rob Gronkowski Spike Ice Cream Cone While Wearing Awesome Outfit », NESN, (consulté le 12 juin 2017).
  154. (en) Scott Allen, « Rob Gronkowski adds ‘wedding bouquet’ to list of things he’s spiked », The Washington Post, (consulté le 12 juin 2017).
  155. (en) « Estimated Career Earnings », sur www.spotrac.com (consulté le 19 mai 2017).
  156. (en) Mike Reiss, « Gronk connects with Dunkin' », sur ESPN.com, (consulté le 23 mai 2017).
  157. (en) Lance Madden, « Rob Gronkowski Becomes Endorser, Investor for BodyArmor SuperDrink », Forbes, (consulté le 23 mai 2017).
  158. (en) Darren Rovell, « Gronk Flakes hitting New England shelves », sur ESPN.com, (consulté le 5 mai 2016).
  159. (en) Robert Klemko, « ‘How Do We Stop This From Happening?’ », Sports Illustrated, (consulté le 20 mai 2017).
  160. (en) Josh Katzowitz, « Rob Gronkowski Knows More About Marketing Than You Do », Forbes, (consulté le 1er juin 2017).
  161. (en) Darren Rovell, « Patriots TE Rob Gronkowski signs multiyear deal with Monster drink », sur ESPN.com, (consulté le 19 mai 2017).
  162. (en) Edward Lewis, « Patriots, Rob Gronkowski restructure tight end's deal », sur nfl.com, (consulté le 1er juin 2017).
  163. (en) Adam Schefter, « Restructured Rob Gronkowski deal could make TE highest paid in NFL », sur ESPN.com, (consulté le 1er juin 2017).
  164. (en) Ben Volin, « NFLPA's advice at the Rookie Premiere? Be like Gronk », Boston Globe, (consulté le 6 juin 2017).
  165. (en) Ricky Doyle, « Rob Gronkowski’s Wild Summer Included Shotgunning Beers at 21st Birthday Party He Was Paid ‘Five Figures’ to Attend », NESN, (consulté le 12 juin 2017).
  166. (en) Carrie Kreiswirth, « ESPN The Mag: Gronk, Chandler, Parker among ‘Body Issue’ covers », sur espnfrontrow.com, (consulté le 20 mai 2017).
  167. (en) Carrie Kreiswirth, « Gronk’s ESPN The Magazine photo shoot proves to be the cat’s meow », sur espnfrontrow.com, (consulté le 20 mai 2017).
  168. (en) Briana Palma, « Rob Gronkowski is a cover star, yet again », sur patriots.com, (consulté le 6 juin 2017).
  169. (en) James Dator, « Rob Gronkowski reads erotic fan fiction in front of his mom », SB Nation, (consulté le 5 juin 2017).
  170. (en) John Breech, « WATCH: Rob Gronkowski stars in 'A Gronking to Remember' movie », CBS Sports, (consulté le 5 juin 2017).
  171. (en) Jack Linshi, « Rob Gronkowski's Family to Appear on Family Feud », TIME, (consulté le 19 mai 2017).
  172. (en) Mark Shanahan, « New book from 'A Gronking to Remember' author », Boston Globe, (consulté le 5 juin 2017).
  173. (en) Mike Reiss, « Patriots TE Rob Gronkowski to be on cover of 'Madden NFL '17' », sur ESPN.com, (consulté le 19 mai 2017).
  174. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski joins Paul McCartney on stage at Fenway Park », sur ESPN.com, (consulté le 20 mai 2017).
  175. (en) Angelique Fiske, « Gronk spikes strike at Red Sox game », sur patriots.com, (consulté le 20 mai 2017).
  176. (en) Mike Reiss, « Rob Gronkowski to host 'Crashletes' TV show on Nickelodeon », sur ESPN.com, (consulté le 6 juin 2017).
  177. (en) « Crashletes », sur imdb.com (consulté le 6 juin 2017).
  178. (en) Angelique Fiske, « Gronk dances, laughs and 'proposes' in Crashletes premiere », sur patriots.com, (consulté le 6 juin 2017).
  179. (en) Matt Juul, « Rob Gronkowski’s Nickelodeon Show Crashletes Gets a Second Season », sur bostonmagazine.com, (consulté le 6 juin 2017).
  180. (en) « New England Patriots star Rob Gronkowski visits FC Barcelona », sur fcbarcelona.com, (consulté le 23 mai 2017).
  181. (en) Phil Thompson, « Rob Gronkowski Gronkifies new music video », Chicago Tribune, (consulté le 3 juin 2017).
  182. Michael Schaub, « Rob Gronkowski's new book to explain why 'It's Good to Be the Gronk' », Los Angeles Times, (consulté le 9 juin 2017).
  183. Conor Orr, « Gronkowski says he's only read 80 percent of his book », sur nfl.com, (consulté le 9 juin 2017).
  184. Cindy Boren, « No, Gronk hasn’t read all the way through his own book », The Washington Post, (consulté le 9 juin 2017).
  185. (en) Nick Schager, « ‘American Violence’ Trailer: Denise Richards and Rob Gronkowski in a Death Penalty Drama », Yahoo!, (consulté le 19 mai 2017).
  186. (en) Emmett Knowlton, « Rob Gronkowski is starring in two upcoming crime thrillers », sur businessinsider.fr, (consulté le 19 mai 2017).

Pour approfondir

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Vidéographie

  • (en) NFL Super Bowl Champions XLIX: New England Patriots, , NFL Productions, 180 minutes, (ASIN B00R041BAW).
  • (en) NFL America's Game: The Story of the 2014 New England Patriots, avec Rob Gronkowski, Devin McCourty et Julian Edelman, 2015, NFL Network, 43 minutes.
  • (en) NFL America's Game: 2016 Patriots (Super Bowl LI), avec LeGarrette Blount, Julian Edelman et Dont'a Hightower, 2017, NFL Network, 43 minutes.
  • (en) Super Bowl LI champions: New England Patriots, , NFL Productions, 98 minutes, (ASIN B01MRXTAIC).

Liens externes

Cet article est reconnu comme « bon article » depuis sa version du 10 juillet 2017 (comparer avec la version actuelle).
Pour toute information complémentaire, consulter sa page de discussion et le vote l'ayant promu.
La version du 10 juillet 2017 de cet article a été reconnue comme « bon article », c'est-à-dire qu'elle répond à des critères de qualité concernant le style, la clarté, la pertinence, la citation des sources et l'illustration.

Information

Article Rob Gronkowski en français Wikipedia a pris les places suivantes dans le classement local de popularité:

Le contenu présenté de l'article Wikipédia a été extrait en 2021-06-13 sur la base de https://fr.wikipedia.org/?curid=5999768