Raquel Garrido

Raquel Garrido
Illustration.
Raquel Garrido en 2015.
Fonctions
Députée française
En fonction depuis le
(1 an, 4 mois et 25 jours)
Élection 19 juin 2022
Circonscription 5e de la Seine-Saint-Denis
Législature XVIe (Cinquième République)
Groupe politique LFI
Coalition NUPES
Prédécesseur Jean-Christophe Lagarde
Conseillère municipale de Bagnolet

(2 ans, 4 mois et 10 jours)
Élection 28 juin 2020
Maire Tony Di Martino
Successeur Jules Ragueneau
Conseillère régionale d'Île-de-France

(1 an, 4 mois et 5 jours)
Élection 27 juin 2021
Circonscription Seine-et-Marne
Président Valérie Pécresse
Groupe politique LFI et apparentés
Successeur Fabienne Meurice
Porte-parole de La France insoumise

(1 an, 9 mois et 2 jours)
Prédécesseur Parti créé
Successeur David Guiraud
Biographie
Nom de naissance Raquel Andrea Garrido
Date de naissance (49 ans)
Lieu de naissance Valparaíso (Chili)
Nationalité Chilienne
Française (depuis 1999)
Parti politique PS (1993-2008)
PG (depuis 2008)
LFI (2016-2017 ; depuis 2020)
Syndicat Unef-ID
Conjoint Alexis Corbière
Profession Avocate
Chroniqueuse

Raquel Garrido, née le à Valparaíso au Chili, est une avocate, chroniqueuse et femme politique chilio-française.

Porte-parole de Jean-Luc Mélenchon et de La France insoumise (LFI) pendant plus d'un an, elle en était également l'avocate. Elle est élue députée le , dans la 5e circonscription de la Seine-Saint-Denis, sous la bannière de la Nupes, en battant le président de l'UDI Jean-Christophe Lagarde.

Biographie

Famille

Raquel Garrido est la fille de Guillermo Garrido, ingénieur chimiste chilien[1] et de María Eugenia Montecinos, assistante de direction. Elle est la sœur de l'artiste Tatiana Garrido (Mistysa). Elle naît le à Valparaíso, au Chili.

Deux jours après le coup d'État du 11 septembre 1973 au Chili, à cause de leur appartenance à l'organisation d'extrême gauche Mouvement de la gauche révolutionnaire, ses parents sont emprisonnés ainsi que ses oncles et tantes. Ils décident de s'exiler à Toronto au Canada en [2] puis en France à Marly-le-Roi[3] (où Raquel Garrido va rester), au Brésil puis retournent enfin au Chili pour les projets professionnels de son père[4] d'après ce qu'elle décrit comme une « vie d'errance et d'exil »[5].

Elle est naturalisée française en 1999, à 25 ans[6].

Parcours associatif et politique

Raquel Garrido (en haut à gauche), lors du meeting de création du Parti de gauche, en 2008.
Raquel Garrido en 2011 (à gauche).

Dès le lycée elle devient dirigeante étudiante à l'Union nationale des étudiants de France – Indépendante et démocratique et à 22 ans elle est vice-présidente de l'association SOS Racisme[7]. Le , elle fait sa première apparition à la télévision, à 20 ans, dans l'émission de débat Chela ouate présentée par Christian Spitz sur France 2.

C'est en qualité de juriste internationale, fonction qu'elle a pratiquée au sein de la CGT-FO de 2002 à 2008[8], qu'elle représente la France au sein de l'Organisation internationale du travail et suit les négociations de l'Organisation mondiale du commerce (particulièrement sur le compte des travailleurs)[7][source insuffisante].

Elle décide ensuite de reprendre ses études et réussit l'examen pour devenir avocate. Elle s'inscrit le 09 février 2011[9] au barreau de Paris où elle se spécialise dans le droit de la presse particulièrement en étant l'avocate de Jean-Luc Mélenchon, notamment dans les contentieux face à Marine Le Pen, Jean-François Copé, Nathalie Kosciusko-Morizet et Alain Juppé. Elle est également l'avocate de Maryline Mélenchon, fille de Jean-Luc.

Militante au Parti socialiste de 1993 à 2008 et dirigeante de l'association Pour la République sociale, elle est cofondatrice du Parti de gauche en 2008[10]. Elle quitte la direction du Parti de gauche en 2015.

En 2012, elle est candidate aux élections législatives dans la 2e circonscription des Français établis hors de France, pour le Front de gauche. Elle arrive en quatrième position avec 8,6 % des voix[11].

En 2014, elle organise la première votation citoyenne pour le droit de révoquer les élus[12],[13].

Lors des élections régionales de 2015 elle est tête de liste Front de gauche dans les Hauts-de-Seine[14]. La liste qu'elle conduit obtient 5,71 % dans le département au premier tour et fusionne au second tour avec celle de Claude Bartolone.

En 2015, elle publie le Guide citoyen de la 6e République aux éditions Fayard[15],[16]. Dans cet ouvrage elle défend le principe d'une assemblée constituante pour passer à la 6e République. Elle défend également le droit de révoquer les élus entre les élections et le droit de vote à 16 ans, mesures qui seront reprises dans le programme L'Avenir en Commun de La France insoumise (LFI) en 2017, alors qu'elles n'apparaissaient pas en 2012 dans le programme du Front de gauche, L'Humain d'abord[17].

En 2016, elle devient porte-parole de LFI, le mouvement fondé par Jean-Luc Mélenchon.

En , elle rejoint la bande de chroniqueurs de la nouvelle émission de Thierry Ardisson sur C8, Les Terriens du dimanche !, la version dominicale de Salut les Terriens ![18]. Cela lui vaut des critiques, la chaîne appartenant à Vincent Bolloré, régulièrement la cible de LFI[19]. Elle est alors l'objet d'une importante médiatisation[20].

Certains médias affirment que ces controverses sont la cause de son départ du poste de porte-parole de LFI début [21], ainsi que du mouvement en lui-même[22], ce qui a été fermement nié par Jean-Luc Mélenchon[23],[24]. Raquel Garrido a déclaré avoir quitté LFI pour que son temps de parole à l'antenne ne soit plus décompté comme du temps de parole de LFI[25].

En , elle devient chroniqueuse dans l'émission Balance ton post !, présentée par Cyril Hanouna.

Aux élections municipales de mars 2020, elle est candidate en deuxième position sur la liste de Laurent Jamet (PCF) pour la ville de Bagnolet. À l'issue du premier tour, la liste se classe en seconde position avec 22,18 % des suffrages exprimés, derrière le maire sortant Tony Di Martino (PS) qui recueille 30,78 % des voix[26]. Au second tour la liste est battue par Tony Di Martino, obtenant seulement 44,46 % des voix[27]. Raquel Garrido est cependant élue conseillère municipale d'opposition[28].

Elle est élue députée le , dans la 5ᵉ circonscription de Seine-Saint-Denis, sous la bannière de la Nupes, en battant le patron de l’UDI Jean-Christophe Lagarde[29].

Après son éviction de la direction de LFI en , elle critique le fonctionnement du parti et Jean-Luc Mélenchon considérant que celui-ci n'a fait que nuire au parti des insoumis. En rétorsion, le bureau du Groupe La France insoumise décide, en , la mise en retrait de la députée de Seine-Saint-Denis du groupe LFI à l'Assemblée nationale pour quatre mois[30],[31]. Malgré cette sanction qu'elle considère comme injuste, elle annonce qu'elle n'envisage pas de quitter LFI[32]. Pour Raquel Garrido : « Le bureau s’est autoproclamé instance de discipline pour tenter – quelle immaturité – de régler des désaccords politiques par des mesures de coercition »[33].

Vie privée

Depuis , elle est mariée avec Alexis Corbière[34]. Ils ont trois filles[10],[35].

Polémiques et controverses

Soupçons de cotisations non réglées

Selon un article du du Canard enchaîné, depuis six ans qu'elle est avocate, elle aurait omis de régler ses cotisations sociales à la Caisse nationale des barreaux français (CNBF), à laquelle elle serait redevable de 32 215 euros. L'hebdomadaire assure par ailleurs qu'elle ne paierait pas non plus, depuis un an, ses cotisations à l'ordre des avocats de Paris[36]. Mais la CNBF dénonce des « informations inexactes »[37],[38] et selon le barreau de Paris[39], elle avait déjà réglé sa situation auprès de l'ordre des avocats de Paris le avec un échéancier visant à régler les arriérés[40]. L'article du Canard enchaîné, qui a eu un grand retentissement, a fait l'objet d'une plainte en diffamation[41],[42] par l'intéressée.

Logement HLM jusqu'en 2017

En , elle est l'objet d'une nouvelle polémique parce qu'occupant un logement HLM avec son conjoint Alexis Corbière. Le couple a finalement quitté ce logement pour aller vivre dans la circonscription d'Alexis Corbière, élu député en . Ils avaient occupé leur logement social légalement et sans passe-droit de 2000 à 2017[43],[17].

Aide pour des travaux de rénovation

En , Le Canard enchaîné révèle que Raquel Garrido et son conjoint Alexis Corbière ont bénéficié d’une aide de l'Agence nationale de l'habitat pour financer des travaux de rénovation réalisés dans leur maison de Bagnolet[44]. Le couple a reçu cette aide accordée sous conditions de ressources aux propriétaires occupants modestes alors que l'une était chroniqueuse à la télévision et l'autre député[44].

Soupçons de propos « antisémites »

En , lors d'une émission de Balance ton post !, dont elle est chroniqueuse, elle réagit vis-à-vis de la polémique sur le port du voile lors des sorties scolaires en affirmant que si Jean-Michel Blanquer s'était opposé au port de la kippa lors des sorties scolaires, « il ne serait plus ministre ». Cyril Hanouna considère qu'elle a tenu un propos antisémite et sous-entendu qu'il existe un lobby juif au sein du gouvernement[45].

Soupçons de propos conciliant avec les terroristes

Le , Garrido est invitée sur le plateau de BFM TV afin de commenter l'anniversaire du recueillement des attentats du . Elle dénonce notamment les propos d'Éric Zemmour (qui accusait notamment François Hollande de n'avoir « rien fait » pour empêcher les attentats sur le plan du contrôle des frontières ainsi que de l'immigration), estimant que « les familles ont fait des efforts incommensurables pour participer au procès, pour trouver en eux la force de témoigner, de rendre hommage à leur mort, de trouver le chemin vers la réconciliation, y compris avec les terroristes eux-mêmes et les personnes qui sont poursuivies ». La déclaration provoque un tollé médiatique[46]. Elle reconnaît par la suite que « le terme réconciliation est mal calibré »[47].

Altercation dans les coulisses de Canal Factory

Le , Cyril Hanouna lance l'émission politique « Face à Baba » sur C8 dans le but de mettre en confrontation les candidats à l'élection présidentielle de 2022 et des chroniqueurs, soutiens, analystes, autres politiques et professionnels de tous horizons. Lors de cette première édition recevant Éric Zemmour, un échange tendu apparaît entre Alexis Corbière et Stanislas Rigault, président du mouvement de jeunesse de Reconquête. Après l'émission, l'altercation continue et le ton monte dans les coulisses. L'altercation filmée, voit alors le couple se montrer agressif envers Rigault où Garrido lui déclare « Sucer la bite à ton chef à la télé, tu trouves ça glorieux [?] » en rajoutant « connard » puis « espèce de lâche ». La vidéo devient virale sur les réseaux sociaux où le comportement des opposants à Zemmour se voit critiqué[48].

Accusation mensongère du magazine Le Point

En juin 2022, le journaliste Aziz Zemouri signe sur le site internet du magazine Le Point un article affirmant que Raquel Garrido et son conjoint Alexis Corbière emploieraient irrégulièrement une femme de ménage sans papiers, ce qu'ils démentent[49]. Une contre-enquête de Médiapart montre les « erreurs et incohérences »[50] de l'article mensonger, qui est dépublié le lendemain par le magazine, qui leur présente des excuses[51].

Affaires judiciaires médiatiques, comme avocate

Prises de position

Au sujet des manifestations au Venezuela, tout en indiquant que la position de La France insoumise « est d'être très méfiant et de ne pas répondre aux injonctions de critiquer », Raquel Garrido dit « reconnaître qu'il y a une répression » et exprime sa « tristesse » parce que « la violence nuit au projet politique de s'enlever de la manne pétrolière »[66].

Publication

Télévision

Éditorialiste, chroniqueuse

Notes et références

  1. (es) « Guillermo Garrido, profesor adjunto en Ciencias Agronómicas de la Universidad de Chile: De la innovación industrial a la sala de clases », sur INAPI, .
  2. Alemagna 2017.
  3. Malnuit 2017.
  4. Laurent 2014.
  5. « Español », sur Le Blog de Raquel Garrido, .
  6. « Raquel Garrido, sanctionnée pour avoir critiqué Mélenchon ? - C à vous - 07/11/2023 » (consulté le )
  7. a et b « Biographie », sur Le Blog de Raquel Garrido, .
  8. « Insoumise chez Bolloré : 10 choses à savoir sur Raquel Garrido », sur https://www.nouvelobs.com, (consulté le ).
  9. « Maître RAQUEL GARRIDO - Barreau de PARIS - France-Avocat.net », sur France Avocat (consulté le )
  10. a et b Salor 2016.
  11. « Résultats des élections législatives 2012 », sur Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  12. Thibaut Le Gal, « Exclusif: Le Parti de gauche lance sa campagne pour que «tous les élus puissent être révocables» », 20 minutes,‎ (lire en ligne).
  13. Aurélien Soucheyre, « Une votation pour le droit de révocation », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
  14. « Vos candidats aux régionales : Raquel Garrido, tête de liste 92 Front de gauche », sur leparisien.fr, (consulté le )
  15. Garrido 2015.
  16. Alemagna 2015.
  17. a et b « Alexis Corbière et Raquel Garrido vont quitter leur HLM à Paris », sur Le Point, .
  18. Élisa Huet, « Jeremstar, Natacha Polony… Nouveaux chroniqueurs de Thierry Ardisson dans Salut les terriens », sur non-stop-zapping.com, .
  19. Marc de Boni, « Raquel Garrido critiquée après l'annonce de son arrivée sur la chaîne C8 », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  20. Éric Hacquemand, « Les drôles de dames de Mélenchon », Paris Match,‎ , p. 35 (lire en ligne).
  21. « Raquel Garrido va quitter son poste de porte-parole de la France insoumise », sur Le Parisien, .
  22. « « Je tourne la page » : Raquel Garrido quitte La France insoumise et arrête la politique », sur France Info, .
  23. Benjamin Meffre, « Pour Jean-Luc Mélenchon, Raquel Garrido concentre "la hargne" de "la caste" médiatique », ozap.com,‎ (lire en ligne)
  24. Jean-Luc Mélenchon, « Raquel est et reste mon amie. Elle n'a commis aucune faute. Seuls les journalistes ont cherché à tout pourrir par leurs fausses polémiques. Avec tout mon mépris.https://twitter.com/loicbesson/status/928942782479306753 … », sur @JLMelenchon,
  25. Arthur Nazaret et Michaël Bloch, « Raquel Garrido au JDD : "Je ne suis pas indispensable à la France insoumise" », Le Journal du dimanche,‎ (lire en ligne)
  26. « À Bagnolet, Garrido deuxième du premier tour, juste derrière le PS », sur Le HuffPost, (consulté le )
  27. T.P., « Municipales à Bagnolet : Tony Di Martino gagne (encore) devant Laurent Jamet », sur leparisien.fr, (consulté le )
  28. « Le maire et les élus », sur www.ville-bagnolet.fr (consulté le )
  29. « Raquel Garrido renverse le patron de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, en Seine-Saint-Denis », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. « Pour l’insoumise Raquel Garrido, Jean-Luc Mélenchon «n’a fait que nuire depuis dix mois» », sur Libération, (consulté le )
  31. « LFI : la députée Raquel Garrido mise en retrait du groupe LFI à l'Assemblée », sur Franceinfo, (consulté le )
  32. « Punition LFI : Raquel Garrido sanctionnée pour quatre mois après avoir critiqué la ligne officielle du mouvement », sur Libération, (consulté le )
  33. « Raquel Garrido députée La France insoumise, sanctionnée par son groupe à l’Assemblée nationale », sur Le Monde, (consulté le )
  34. Hacquemand 2017.
  35. Le Vaillant 2016.
  36. Michaël Bloch, « Raquel Garrido s'est engagée à payer ses cotisations à l'Ordre des avocats », Le Journal du dimanche, .
  37. Aurélie Marcireau, « Cotisations sociales non payées par Raquel Garrido : la caisse nationale des barreaux français dénonce des « informations inexactes » », sur Le Lab (Europe 1), .
  38. Pierre Brégou, « Faire cesser la rumeur inexacte mise au point sur les réseaux sociaux », sur Caisse nationale des barreaux français, .
  39. « .@canardenchaine #RaquelGarrido a été convoquée par l'Ordre le 20/09/17, a pris des engagements avec 1 échéancier pr payer ses cotisations », sur @Avocats_Paris,
  40. Marc de Boni, « Raquel Garrido s'engage à payer ses dettes à l'ordre des avocats de Paris », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  41. « Raquel Garrido et l'affaire des cotisations non payées: « La journaliste du Canard Enchaîné s'est foutu de ma gueule » », sur RMC,
  42. Robin Andraca, « Raquel Garrido a-t-elle porté plainte contre «le Canard enchaîné» ? », Libération,‎ (lire en ligne).
  43. Valentin Graff, « Les porte-parole de La France insoumise occupent-ils indûment un HLM ? », Libération,‎ (lire en ligne)
  44. a et b « Le député LFI Alexis Corbière justifie l’aide pour « ménages modestes » reçue pour rénover son logement », sur Le Monde.fr, (consulté le )
  45. « "Balance ton post" : Cyril Hanouna s'en prend violemment à Raquel Garrido et l'accuse d'antisémitisme, Femme Actuelle »
  46. Le Figaro avec AFP, « Les propos de l'insoumise Raquel Garrido sur «la réconciliation avec les terroristes» suscitent la polémique », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  47. « "Réconciliation avec les terroristes" du 13 novembre : Raquel Garrido dénonce des "titres menteurs" (VIDEO) », sur www.programme-television.org
  48. « Face à baba : Alexis Corbière et Raquel Garrido dérapent complètement face à Stanislas Rigault (vidéo) », sur Tribunal Du Net, (consulté le )
  49. Vincent Coquaz et Luc Peillon, « Femme de ménage sans papiers : «Le Point» a-t-il publié une fausse info sur le couple Garrido-Corbière ? », sur Libération (consulté le )
  50. David Perrotin, Antton Rouget, « Les erreurs et incohérences du « Point » sur les députés Garrido-Corbière », sur Mediapart (consulté le )
  51. « Après avoir mis en cause Alexis Corbière et Raquel Garrido, « Le Point » s’excuse », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  52. « Mélenchon, justicier des sondages », sur 20 minutes, (consulté le )
  53. Raquel Garrido, « Inertie de la commission des sondages : Jean-Luc Mélenchon saisit la Cour européenne des droits de l’Homme (PG) », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
  54. Florent Latrive, « Sondages : le Conseil d'Etat protège le «secret des affaires» », sur Libération, (consulté le )
  55. « Marine Le Pen condamnée dans le procès du “faux tract” », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  56. « Procès du "faux tract" de Mélenchon : Marine Le Pen relaxée », sur Le Point, (consulté le )
  57. « Marine Le Pen perd son procès en diffamation contre Raquel Garrido », BFM TV,‎ (lire en ligne)
  58. Emmanuel Magdelaine, « “Faux tract” à Hénin-Beaumont : Marine Le Pen perd à nouveau son procès contre l'avocate de Mélenchon », sur France 3, .
  59. Soren Seelow, « A-t-on le droit de qualifier Marine Le Pen de «“fasciste” ? », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  60. « Copé, Kosciusko-Morizet et Juppé condamnés pour avoir accusé Mélenchon d'accointances antisémites », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  61. « Mélenchon porte plainte pour diffamation contre Juppé, Copé et NKM », sur Libération, (consulté le )
  62. « Prison avec sursis confirmée pour un jeune élu UMP du Val-de-Marne pour violences », Public Sénat,‎ (lire en ligne).
  63. « Le recours de la fille de Jean-Luc Mélenchon rejeté par le tribunal »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Capital, .
  64. Étienne Jacob, « Mélenchon mis en examen pour diffamation envers la Société Générale », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  65. Cécile Soulé, « Un opposant au maire FN d'Hayange relaxé dans une affaire de diffamation », France Bleu,‎ (lire en ligne)
  66. « Venezuela: Mélenchon ne veut pas "perdre son temps à jeter des pierres" à ses "amis" imparfaits », sur BFM TV, .

Voir aussi

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Bibliographie

Liens externes

Information

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