Patti Smith

Patti Smith
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Patti Smith en 2007
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Patricia LeeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domicile
New York (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Rowan University (en)
Deptford Township High School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Période d'activité
Depuis Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Enfants
Jackson Smith (d)
Jesse Smith (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Patti Smith Group (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Taille
1,73 mVoir et modifier les données sur Wikidata
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Discographie
Discographie de Patti Smith (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
signature de Patti Smith
Signature

Patricia Lee Smith dite Patti Smith, née le à Chicago (États-Unis), est une chanteuse et musicienne de rock, poète et écrivaine, peintre et photographe américaine.

Mariant la poésie beat avec le garage rock des années 1960 et 1970, elle est considérée comme la « marraine » du mouvement punk.

Biographie

Premières années

Née à Chicago au sein d'une famille d'origine irlandaise, Patricia grandit à Pitman, petite ville située dans le sud du New Jersey. Son père est un ancien danseur de claquettes devenu employé de bureau dans une usine ; sa mère, ayant abandonné une carrière de chanteuse de jazz pour élever ses quatre enfants, est serveuse dans un restaurant. À l'adolescence, Patti se détache de l'éducation très religieuse de sa mère Témoin de Jéhovah. Diplômée de la Deptford Township High School (équivalent du lycée) en 1964, elle entre à l'école normale pour devenir institutrice.

Lorsqu'elle tombe enceinte à 18 ans, elle en est radiée et doit travailler dans une usine. Elle donne naissance à sa première fille, qu'elle confie à l'adoption.

1967–1973 : New York, Mapplethorpe

À Copenhague en 1976.

En 1967, Patti Smith quitte le Glassboro State Teachers College (en) pour vivre à New York. N'ayant nulle part où loger et à la recherche d'un emploi, la jeune fille passe l'été à distribuer des CV et à chercher de la nourriture. Cherchant un logement, elle rencontre chez des amis un jeune homme en train de dormir "torse nu, des colliers de perles indiennes autour du cou"[1]. Elle devient d'abord caissière dans une succursale de Brentano's et, au début de l'été, elle y rencontre par hasard le même jeune homme, Robert Mapplethorpe ; ils échangent pour la première fois leurs prénoms[1]. Leur troisième rencontre est aussi le fruit du pur hasard : Robert se fait passer pour son fiancé alors que Patti est dans une situation délicate avec un autre homme. Le soir même commence leur vie commune dans un squat à Wawerly. Ils entretiendront un lien amoureux puis amical par la suite jusqu'à la mort de Robert en 1989.

Des photographies de Robert Mapplethorpe figurent sur les pochettes de plusieurs de ses albums[2]. Patti Smith raconte qu'en 1968, c'est elle qui l'avait amené à découvrir la photographie en empruntant pour la première fois le polaroïd de son amie Sandy Daley[2], art qu'il s'est approprié ensuite jusqu'à exposer ses photos dans plusieurs musées.

Déjà durant l’été 1968, Patti Smith affirme avoir pratiqué le dessin et en particulier réalisé une série d’autoportraits, en « imitant Frida Kahlo »[3]. À cette époque, Robert Mapplethorpe s'intéresse également au dessin et aux constructions graphiques.

En 1969 elle se rend à Paris avec sa sœur, où elles jouent dans la rue pour subvenir à leurs besoins. Le soir même de son retour à New York, Patti Smith s'installe dans l'appartement de Robert Mapplethorpe, sur la Delancey Street. Mapplethorpe est dans un état de santé déplorable. Réveillés à l'aube par un assassinat devant leur porte et craignant pour leur sécurité, ils déménagent à l'Allerton, un hôtel à bas prix. Cet hôtel, de qualité très médiocre, héberge une importante communauté de morphinomanes et d'alcooliques. L'un d'eux leur donne l'adresse du Chelsea Hotel[4]. Stanley Bard, le gérant, avait à l'époque la réputation d'accepter les toiles des artistes talentueux en guise de paiement du loyer. Cette adresse permet à Patti Smith et Robert Mapplethorpe de fréquenter les célèbres clubs Max's Kansas City et CBGB, hauts lieux de la naissance de la musique punk.

Pendant la première partie des années 1970, Patti Smith pratique intensément la peinture, l'écriture et se produit en tant qu'actrice au sein du groupe The Poetry Project at St. Mark's Church (en). Elle travaille également avec Albert Bouchard (en), batteur du groupe Blue Öyster Cult, avec lequel elle coécrit plusieurs chansons dont Baby Ice Dog, Debbie Denise (en) (adaptée de son poème In Remembrance of Debbie Denise), Career of Evil (single), Fire of Unknown Origin, The Revenge of Vera Gemini (titre sur lequel elle chante en duo avec Albert) et vit une passion amoureuse avec Allen Lanier, pianiste et guitariste rythmique du groupe. Plus tard, Buck Dharma, guitariste solo du Blue Öyster Cult, mettra en musique son poème Shooting Shark (single). Patti Smith écrit aussi de la critique rock, notamment pour les revues Creem Magazine et Rolling Stone. Dans son livre autobiographique Just Kids, la chanteuse affirme avoir entretenu une relation amicale avec Janis Joplin et avoir rencontré à plusieurs reprises Jimi Hendrix.

1974–1979 : le Patti Smith Group

Patti Smith au Mannheimer Rosengarten (Mannheim), 1978.

Patti Smith rencontre Sam Shepard, dramaturge célèbre de Off-Broadway, dont elle s'amourache rapidement, avant de réaliser qu'il est marié et a un fils. Elle lui dédie notamment un poème qu'elle intitule Ballad of a Bad Boy. Robert Mapplethorpe ayant toujours insisté pour que Patti Smith fasse des lectures publiques de ses poèmes, il la met en lien avec Gerard Malanga qui organise une lecture à St Mark's Church. Patti Smith participe donc au Poetry Project, dirigé par Anne Waldman accompagnée de Lenny Kaye à la guitare. Cette lecture suscite de nombreuses offres, et notamment de la part du magazine Creem, qui propose à Patti Smith de publier une série de ses poèmes. Elle rédige également une pièce de théâtre intitulée Cowboy Mouth (en), en collaboration avec Sam Shepard, mettant en scène deux personnages, Slim Shadow et Cavale, reflétant les personnalités respectives des deux auteurs. Durant la troisième représentation, Sam Shepard disparaît pour finalement quitter New York et rejoindre sa famille en Nouvelle-Écosse[5].

Continuant l'expérience musicale de St. Mark's Church, Patti Smith et Lenny Kaye, désormais amants, sont rejoints en 1974 par Ivan Král (réfugié tchécoslovaque après le Printemps de Prague), à la basse, Jay Dee Daugherty à la batterie et Richard Sohl au piano, créant le Patti Smith Group. Avec l'aide financière de Robert Mapplethorpe, le groupe enregistre son premier single, Hey Joe / Piss Factory, en 1974. Sur la première face, le célèbre standard est complété par une partie parlée écrite par Patti Smith.

Engagé sur le label Arista Records, le Patti Smith Group sort en 1975 son premier album, Horses, avec lequel Patti obtiendra le Prix Charles Cros. Produit par John Cale du Velvet Underground, l'album commence par une reprise du Gloria des Them, accompagnée d'une partie parlée qui clame que « Jésus est mort pour les péchés de quelqu'un… mais pas les miens » (« Jesus died for somebody's sins but not mine. »).

Influencé par le son du punk, qui a commencé à émerger en Angleterre et aux États-Unis, le second album du groupe, Radio Ethiopia, se révèle moins accessible que le premier et ne remporte guère de succès, tant auprès du public que des critiques. Ce qui n'empêche pas Patti Smith de reprendre encore, aujourd'hui, certains de ses titres en concert.

Mais le , l'artiste tombe accidentellement de scène durant un concert à Tampa, en Floride, se brisant plusieurs vertèbres sur le sol en béton de la fosse d'orchestre. Elle doit alors prendre une longue période de convalescence, qu'elle met à profit pour réorganiser son existence, écrivant et produisant une musique que certains jugent assagie. Ce qui ne l'empêche pas de sortir deux albums supplémentaires avant la fin des années 1970, dont le premier, Easter (1978), contenant notamment le tube Because the Night, coécrit avec Bruce Springsteen, remportera le plus grand succès commercial de sa carrière (13e place au Billboard). Wave, sorti en 1979, obtiendra moins de succès, bien que plusieurs morceaux aient été largement diffusés à la radio.

1980–1994 : retraite anticipée

Patti Smith et Bono au Madison Square Garden.

À la fin des années 1970, Patti Smith rencontre Fred « Sonic » Smith, guitariste du défunt groupe américain MC5, qui tourne à présent avec son Sonic's Rendezvous Band et partage notamment son amour de la poésie. Ils s'aiment et se marient. Mère d'un fils, Jackson (né en 1980) et d'une fille Jesse Paris née en 1987, Patti se retire presque entièrement du monde de la musique pour élever ses enfants, n'enregistrant en près de quinze ans qu'un seul album, Dream of Life, sorti en 1988.

1994-2003 : le retour

En 1994, la vie paisible de Patti Smith est brutalement interrompue par la mort de son époux Fred "Sonic" Smith, puis de son frère Todd et de son pianiste Richard Sohl. Elle tente de se remettre de ces événements en retournant vivre à New York, puis, sur les conseils de ses amis Michael Stipe (du groupe R.E.M.) et Allen Ginsberg (elle avait rencontré le célèbre poète beat à la fin des années 1960), en remontant sur scène. Elle tourne ainsi brièvement aux côtés de Bob Dylan en .

Patti Smith redémarre ensuite pleinement sa carrière de musicienne, sortant en 1996 l'album Gone Again, qui contient notamment About a Boy, un hommage au chanteur Kurt Cobain, dont le suicide, moins de deux ans auparavant, l'avait beaucoup atteinte. Elle collabore la même année à l'album New Adventures in Hi-Fi de R.E.M., avant d'enregistrer les albums Peace and Noise (1997), dont est extrait le single 1959 sur l'invasion du Tibet par la Chine, et Gung Ho (2000). Sortent également un coffret d'inédits (The Patti Smith Masters, 1996) et une compilation, Land (1975-2002). Ne se limitant pas à la musique, elle réalise en 2002 une exposition artistique, Strange Messanger, accueillie par le musée Andy Warhol de Pittsburg.

Depuis 2004

Patti Smith en au National Book Critics Circle Award 2010.

Patti Smith reste ensuite très active, sortant les albums Trampin' (2004) et Twelve (2007), se produisant régulièrement sur scène et chantant ses propres chansons ou donnant des lectures de poèmes d'Arthur Rimbaud et William Blake, comme ce fut le cas en 2005.

La même année, Patti Smith est faite commandeur de l'Ordre des Arts et des Lettres par le ministre français de la Culture. En 2007, elle entre au Rock and Roll Hall of Fame, jouant pour l'occasion la chanson Gimme Shelter des Rolling Stones, et reçoit en 2008 un doctorat honoraire de Rowan University (en), aux États-Unis, pour sa contribution à la culture populaire.

En ce qui concerne les arts visuels, la Fondation Cartier pour l'art contemporain accueille, en 2008 à Paris, Land 250, une vaste exposition d'œuvres réalisées entre 1967 et 2007[6],[7].

En , Patti Smith et Lenny Kaye figurent dans le film de Jean-Luc Godard, Film Socialisme.

Fin 2010, elle publie Just Kids, récit autobiographique de sa jeunesse avec Robert Mapplethorpe, qui est couronné par le National Book Award le . Elle en fait une lecture publique à deux voix avec Isabelle Huppert, à Paris, le , au Théâtre de l'Odéon.

En , la Cité de la musique et la Salle Pleyel lui consacrent un cycle d'une semaine avec la projection du film Dream of life, des séances de lectures, un concert acoustique et pour finir, un concert très rock autour des chansons de l'album Horses.

En 2011, elle reçoit le prix Polar Music.

En , une tournée française est organisée à Paris (Église Saint-Eustache et deux soirées à l'Olympia) et dans toute la France.

En , elle fait paraitre son album Banga, dont le titre This is the girl est un hommage à Amy Winehouse, alors que Maria célèbre son amitié avec l'actrice Maria Schneider, disparue l'année précédente. Pour le titre Nine, elle est accompagnée à la guitare par Johnny Depp[8] et annonce la préparation de trois livres, ainsi que d'un album inspiré de la musique des Appalaches[9].

Du au , le chanteur Cali et l'actrice Marie Barraud jouent au Théâtre de la Gaîté-Montparnasse la pièce de théâtre Cowboy Mouth, écrite par Patti Smith et Sam Shepard[10].

Le , elle publie chez l'éditeur Knopf un nouveau récit autobiographique intitulé M Train, présenté comme une suite à Just Kids, où elle raconte ses voyages dans différents lieux phares liés à son univers artistique.

Annonce de la fermeture temporaire du Panthéon à l'occasion des concerts de Sting et Patti Smith, en .

Le , elle représente Bob Dylan à Stockholm pour la cérémonie de remise du Prix Nobel de Littérature, où elle interprète le titre A Hard Rain's A-Gonna Fall[11].

Le , Patti Smith donne un double concert intimiste à la chapelle Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp, patrimoine mondial de l'Unesco, dans le cadre du festival Generiq[12]. Le lendemain, elle reçoit à l'hôtel de Lauzun la médaille Vermeil de la ville de Paris[13].

Le , elle se produit au Panthéon de Paris devant une petite comité d'invités, à l'occasion du 50e anniversaire de la radio FIP, précédée la veille par une prestation de Sting[14].

Engagements

À de nombreuses reprises, Patti Smith a utilisé son art et sa célébrité pour soutenir des causes politiques. Elle soutient notamment le Green Party américain et son candidat aux élections présidentielles Ralph Nader, participant à plusieurs événements organisés par le parti, en chantant son morceau People Have the Power. En 2004, elle a soutenu le candidat démocrate John Kerry.

Pendant la durée de son mandat, la musicienne s'est inscrite contre la politique du gouvernement du président américain George W. Bush, tournant avec et participant à des manifestations réclamant la fin de la guerre en Irak et la destitution du président des États-Unis.

En , Patti Smith présente au public londonien deux nouvelles chansons, Qana, du nom d'un village libanais détruit par des frappes aériennes israéliennes, et Without Chains, à propos de Murat Kurnaz, un citoyen turc vivant en Allemagne depuis son enfance, enlevé et détenu entre 2001 et 2006 dans le camp de prisonniers américain de Guantanamo Bay.

Le , au Zénith de Paris, elle participe au concert Peace One Day, pour la paix dans le monde[15], interprétant, entre autres Because the Night

En 2012, à la suite de l'arrestation des Pussy Riot, Patti Smith prend avec de nombreux autres artistes[16] le parti de soutenir les trois jeunes Russes emprisonnées. Cette participation s'illustre notamment sur scène ; en , sur la scène de la Fête de l'Humanité, elle a ainsi scandé sous une forme acronyme le nom du groupe devant son public.

Le , elle chante un hommage à Edward Snowden où elle se dit prête à l'accueillir à l'occasion d'un concert au Trädgårdsföreningen de Göteborg ou même d'autres concerts en Scandinavie[17],[18].

En , à la suite de la démission de Nicolas Hulot, elle signe avec Juliette Binoche la tribune contre le réchauffement climatique intitulée « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité », qui parait en une du journal Le Monde, avec pour titre L'appel de 200 personnalités pour sauver la planète[19].

Elle voue un véritable culte à Arthur Rimbaud, allant jusqu’à racheter, en 2017, la maison qui avait remplacé celle de la mère de celui-ci[20] à 40 km au sud de Charleville-Mézières, à Roche, où le poète a écrit notamment Une saison en enfer et Le Bateau ivre[21]. P. Smith s'était pour la première fois rendue sur la tombe d'Arthur Rimbaud il y a plusieurs années, à Charleville-Mézières, avait déjà signé le livre d'or de la ville et a été faite citoyenne d'honneur de la ville en 2019, à l'occasion de son passage au festival du Cabaret Vert.

Discographie

Albums communs

Filmographie

Dans la culture

Publications

En français

En anglais

Prix et reconnaissance

Notes et références

  1. a et b Paola Genone, « Patti Smith raconte Robert Mapplethorpe », L'Express,‎ (lire en ligne)
  2. a et b Patti Smith (trad. Héloïse Ésquier), Just Kids, Éditions Denoël, coll. « Folio », (ISBN 978-2-07-044626-1), « Rien que des gamins »
  3. Patti Smith (trad. Héloïse Ésquier), Just Kids, Éditions Denoël, coll. « Folio », 2010 et 2013 (ISBN 978-2-07-044626-1), « Rien que des gamins », p. 110
  4. « L'ange de la morphine », comme l'appelle Patti Smith dans Just Kids Patti Smith (trad. Héloïse Ésquier), Just Kids, Éditions Denoël, coll. « Folio », (ISBN 978-2-07-044626-1), « Rien que des gamins », p. 132
  5. Patti Smith (trad. Héloïse Ésquier), Just Kids, Éditions Denoël, coll. « Folio », (ISBN 978-2-07-044626-1), « Le Chelsea Hotel », p. 251-254
  6. Patti Smith à la Fondation Cartier - Land 250 Arte, .
  7. Le nom de l'exposition est tiré du type de l'appareil photo, Polaroid Land 250 qu'elle a abondamment utilisé à partir de 1995, et dont les clichés constituaient une partie des œuvres présentées
  8. Retour gagnant pour Patti Smith Philippe Brochen, Libération, 8 juin 2012
  9. Patti Smith : trois livres et un album en préparation Alice Bosio, Le Figaro, 20 juin 2012
  10. « Cowboy Mouth, pièce de Patti Smith et Sam Shepard à la Gaité Montparnasse », sur www.sortiraparis.com (consulté le )
  11. RFI, « Cérémonie des Nobel : Patti Smith mandatée par Bob Dylan pour recevoir son prix », sur rfi.fr, (consulté le ).
  12. « Patti Smith à la chapelle Notre-Dame-du Haut de Ronchamp : "Je voulais vraiment venir ici" », sur L'Est républicain, .
  13. « Patti Smith a reçu la médaille « merveille » de la Ville de Paris », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  14. Bureau Éric, « Pour les 50 ans de la radio Fip, Patti Smith et Sting chantent au Panthéon », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. [1] Consulté le 12 novembre 2011
  16. « Les Pussy Riot, Femen, une vague féministe déferlera dans les allées de la Fête », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Patti Smith chante pour Snowden : « Si personne ne veut de toi, je te prends » », sur Rue89,
  18. « (sv) Konsertrecension: Snowden får asyl hos Patti Smith », sur Hufvudstadsbladet,
  19. « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité : l’appel de 200 personnalités pour sauver la planète », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. « La demeure a en réalité succédé au hameau dans lequel vécut le poète. La ferme originale, propriété de Vitalie Cuif (la mère de Rimbaud), devint le quartier général de l’armée allemande lors de la Première Guerre mondiale, avant d’être dynamitée le 12 octobre 1918. De l’original, le seul vestige qui reste est un mur long de 6 mètres et haut de 3 mètres qui se situe sur le terrain jusque à côté, appartenant à un autre particulier. », Laura Bourdon, « Patti Smith devient propriétaire de l’ancienne demeure d’Arthur Rimbaud », BeauxArts, 23 mars 2017
  21. Le Monde - Patti Smith s’implante en terre rimbaldienne
  22. La réédition 2005 contient un CD bonus de l'album réinterprété live au Royal Festival Hall de Londres, le 25 juin 2005, à l'occasion du 30e anniversaire de sa sortie. L'album original est classé parmi les 50 (05/50) plus grands albums de tous les temps, catégorie (en)« Women who rock », par Rolling Stone)[2]
  23. « Soundwalk Collective + Patti Smith (+ Artaud): The New Revelations of Being », sur https://diacritik.com, (consulté le )
  24. (en) Song to Song sur l’Internet Movie Database.
  25. (en) Ex Libris: The New York Public Library sur l’Internet Movie Database.
  26. David Caviglioli, « prix du livre rock », sur http://bibliobs.nouvelobs.com, (consulté le )
  27. présentation de l'éditeur
  28. (es) « Real Decreto 742/2019, de 20 de diciembre, por el que se concede la Medalla al Mérito en las Bellas Artes, en su categoría de oro, a las personas y entidades que se relacionan », sur Boletin de Estado, (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

  • (fr) Étienne Éthaire, Patti Smith : fille de Rimbaud, Camion Blanc, , 201 p. (ISBN 978-2-357-79104-6)
  • (fr) Jennifer Lesueur, Patti Smith, Le Castor astral, , 211 p. (ISBN 978-2-85920-806-6)
  • (en) Unknown/Collectif, Patti Smith: High on Rebellion, Babylon,
  • (en) Victor Bockris et Roberta Bayley, Patti Smith: An Unauthorized Biography, Simon & Schuster, (ISBN 9780684823638)
  • (en) Nick Johnstone, Patti Smith: A Biography. Illustrated by Nick Johnstone, Omnibus Press,
  • (en) Judy Linn, Patti Smith, 1969-1976, Abrams Image, , 144 p. (ISBN 978-0810998322)
  • (en) Patricia Morrisroe, Mapplethorpe: A Biography, Da Capo, , 480 p. (ISBN 978-0306807664)
  • (en) Mark Paytress, Patti Smith's Horses and the Remaking of Rock'n'Roll, Piatkus, , 272 p. (ISBN 978-0749940263)
  • (en) Dusty Roach, Patti Smith: Rock & Roll Madonna, And Books, (ISBN 9780711961937)
  • (en) Philip Shaw, Horses, Continuum (33 1/3 series), , 151 p. (ISBN 978-0-8264-2792-2)
  • (en) Frank Stefanko, Patti Smith: American Artist, Insight, , 136 p. (ISBN 9781933784069)
  • (en) Joe Tarr, The Words and Music of Patti Smith, Praeger, , 168 p. (ISBN 978-0275994112)
  • (en) Fabio Torre (préf. Fernanda Pivano), Patti Smith : Simply a Concert, Damiani, , 60 p. (ISBN 978-88-620-8099-6)
  • Martin C. Strong, The Great Rock Discography, Édimbourg, Canongate Books Ltd., 6e éd. 2002

Liens externes

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