Nom de naissance | Jean Edmond Dujardin[1] |
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Naissance |
Rueil-Malmaison, Hauts-de-Seine |
Nationalité | Française |
Profession | Acteur, réalisateur, humoriste, scénariste, producteur, chanteur, comédien |
Films notables |
Brice de Nice OSS 117 : Le Caire, nid d'espions (et suites 1 et 2) Les Petits mouchoirs The Artist J'accuse |
Séries notables | Un gars, une fille |
Jean Dujardin Écouter est un acteur, humoriste, scénariste, réalisateur et producteur de cinéma français, né le à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine).
Sa carrière débute sur scène et à la télévision durant les années 1990, au sein de la troupe d'humoristes Nous Ç Nous, puis il s'impose comme un acteur populaire grâce à la shortcom Un gars, une fille, dont il partage la vedette avec Alexandra Lamy qui devient son épouse (de 2009 à 2014). Après quelques seconds rôles, il connaît un grand succès au cinéma avec le film Brice de Nice (2005), tiré d'un personnage apparu dans ses sketchs. Jean Dujardin porte ensuite des films, surtout des comédies, comme OSS 117 : Le Caire, nid d'espions (2006), 99 francs (2007), Ca$h (2008), OSS 117 : Rio ne répond plus (2009), Lucky Luke (2009) et Les Infidèles (2012).
Il s'illustre également dans des films dramatiques comme Le Convoyeur (2004), Contre-enquête (2007), Le Bruit des glaçons (2010), The Artist (2011), Un balcon sur la mer (2012), Möbius (2013), La French (2014) et J'accuse (2019). Son interprétation du rôle de George Valentin, star déchue du cinéma muet, dans The Artist, film en noir et blanc réalisé par Michel Hazanavicius, lui permet en 2012 de devenir le quatrième acteur français à être nommé pour un Oscar et le premier à remporter l'Oscar du meilleur acteur[2],[3],[4]. Ce rôle lui permet également de remporter de nombreuses autres récompenses internationales ainsi que d'accéder à des seconds rôles dans les blockbusters américains Le Loup de Wall Street (2013) et Monuments Men (2014).
Jean Dujardin naît à à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine)[5] le .
Après une enfance dans les Yvelines à Plaisir et après avoir obtenu un baccalauréat A3 (Théâtre et Cinéma), Jean Dujardin débute dans la vie active en tant que serrurier dans l'entreprise de son père, Jacques Dujardin[6]. Il fera aussi un passage dans le scoutisme, ce qui lui permettra de s'affirmer et de commencer à découvrir la comédie.
« J’y ai rencontré des amis pour la vie. C’est là que j’ai fait mes premiers sketches, lors des veillées scouts ! Ces camps m’ont permis de me sociabiliser, de prendre confiance en moi. Je pense que c’est ici que j’ai vraiment commencé à exister. » [7]
C'est à l'armée, lors de son service militaire au 1er régiment de Tirailleurs, que ses talents de comique se révèlent. Il se rend alors à Paris où il se produit dans des bars et de petits théâtres.
Quelque temps plus tard, il forme « la Bande du Carré Blanc » avec Philippe Urbain, Éric Collado, Luc Antoni, Éric Massot et Bruno Salomone qu'il avait rencontrés dans l'établissement du même nom Le Carré Blanc. La troupe deviendra plus tard les Nous Ç Nous, et produira quelques spectacles ainsi qu'une parodie des boys bands très en vogue à l'époque, sous la forme d'une chanson du même nom, avant de participer régulièrement à l'émission Fiesta de Patrick Sébastien, diffusée sur France 2.
Entre 1997 et 1998, ils gagnent à trois reprises l'émission de M6 : Graines de star dans la catégorie « comiques ».
C'est dans ce cadre qu'il présente son personnage Brice de Nice, surfeur niçois mégalomane, dont il tirera ensuite plusieurs vidéos qui rencontreront un grand succès sur internet, avant d'en faire le film Brice de Nice, en 2005.
Par la suite, Jean Dujardin tourne avec Bruno Salomone de petits sketches pour l'émission Farce Attaque, diffusée sur France 2 et produite par Isabelle Camus[8], qui a repéré Jean Dujardin lors de son passage à Graines de star[6].
D' à , il joue avec Alexandra Lamy dans la série télévisée à succès Un gars, une fille sur France 2[6]. Notamment parce qu'il se juge mauvais aux essais, il est d'abord réticent à accepter le rôle que lui propose la productrice Isabelle Camus, quant à elle convaincue de son choix[8]. Les deux acteurs interprètent des personnages portant leurs propres prénoms, Jean et Alexandra, alias Loulou (le gars) et Alex ou Chouchou (la fille) et forment un couple confronté à diverses situations de la vie quotidienne. La série compte 486 épisodes de moins de sept minutes. Les personnages de Loulou et Chouchou sont plébiscités par les téléspectateurs et les deux comédiens deviennent vite populaires, tandis que leur liaison à la ville fait la une des magazines people.
Jean Dujardin met un terme à la série et se sert de cette célébrité nouvelle pour débuter au cinéma, tout d'abord avec une petite apparition dans Ah ! si j'étais riche (2002) puis dans Bienvenue chez les Rozes (2003), dans lequel il joue un cambrioleur un peu stupide.
Le comédien joue l'un de ses premiers rôles au cinéma avec un contre-emploi dans le thriller Le Convoyeur de Nicolas Boukhrief (2004). Il indique que lorsque le réalisateur lui a proposé de jouer dans son film, « personne ne voulait de lui » en dépit du grand succès d'Un gars, une fille. Il estime que ce rôle lui a permis « de gagner du temps et de se poser tout de suite en acteur dramatique »[8].
Son premier grand succès au cinéma est néanmoins dans le registre de la comédie, avec le film choral Mariages ! de Valérie Guignabodet en 2004, avec également Mathilde Seigner, Antoine Duléry, Miou-Miou, Didier Bezace, Lio et Catherine Allégret. Brice de Nice, l'adaptation au cinéma du personnage d'un de ses sketchs avec les Nous Ç Nous, sorti en 2005, bat des records au box-office et devient très populaire dans les cours d'école. Des goodies tels que jeu vidéo et sonnerie de téléphone portable se sont échangés par milliers.
Si le succès est populaire, les critiques sont plus dures : l'acteur est cité aux Bidets d'Or en tant que pire acteur pour le film L'Amour aux trousses. Ce film sera également cité la même année aux Gérard du cinéma aux côtés de Brice de Nice dans la catégorie Pire film avec Jean Dujardin. Lui-même reconnaît l'échec de ce film qui a immédiatement suivi Brice de Nice dans sa filmographie, et n'a recueilli que 200 000 entrées[9].
La première reconnaissance critique intervient cependant en 2007 : il obtient une nomination au César du meilleur acteur en 2007 à la suite de sa prestation dans OSS 117 : Le Caire, nid d'espions de Michel Hazanavicius, une parodie à succès de film d'espionnage[10].
La même année, il devient producteur (via sa société de production JD Prod, créée en 2002) et réalisateur avec la série de programmes courts Palizzi proposée sur la chaîne 13ème rue avec dans le rôle principal Arsène Mosca. Devant le succès de la série, un projet de film adapté du pilote avait été pensé[11]. Un autre projet de production concerne l'écriture, avec sa femme, d'un film sur les camisards.
Acteur désormais convoité, touchant à tous les registres, il endosse des rôles à contre-emploi dans Contre-enquête et 99 francs dans lesquels il joue respectivement un policier enquêtant sur l'assassinat et le viol de sa jeune fille de 10 ans, puis un publicitaire désabusé et dépressif dans l'adaptation du livre de Frédéric Beigbeder, 99 francs.
Il renouvelle ce numéro d'équilibriste les années suivantes : en 2008, il joue dans le drame Un homme et son chien de Francis Huster, aux côtés de Jean-Paul Belmondo à qui il est souvent comparé — le deuxième volet d'OSS 117 y fait lui-même référence[12],[13].
Puis il prête ses traits à Lucky Luke dans le film du même nom de James Huth. Sorti en 2009, l'acteur y est entouré d'Alexandra Lamy, Sylvie Testud, Michaël Youn et Daniel Prevost. Le film reçoit cependant un accueil public et critique mitigé.
Selon Le Figaro[14], Jean Dujardin était l'acteur français le mieux payé en 2009 avec un total de 4,4 millions d'euros (2M € par film, 390 000 € pour coécrire Lucky Luke)[15].
En 2009, Jean Dujardin s'engage aux côtés de Marc Lièvremont[16] pour devenir le parrain de la Fondation Action Enfance, association qui protège en France, dans ses Villages d'Enfants et Foyers, des frères et sœurs séparés de leurs parents et placés sur décision du juge, en raison de maltraitances ou de négligences graves.
En 2009, il retrouve un autre cinéaste, Michel Hazanavicius, cette fois pour une suite de sa première comédie à succès critique, OSS 117 : Rio ne répond plus. La presse est encore plus enthousiaste que pour le premier opus.
En 2010, il collabore avec des cinéastes confirmés. Il incarne Charles Faulque, un écrivain alcoolique qui voit débarquer chez lui son cancer (interprété par Albert Dupontel) dans Le Bruit des glaçons de Bertrand Blier, avec également Anne Alvaro, Myriam Boyer et Audrey Dana. Il tourne ensuite dans le film de Nicole Garcia, Un balcon sur la mer avec notamment Sandrine Kiberlain, Marie-Josée Croze, Michel Aumont et Claudia Cardinale où il joue le rôle de Marc, un homme qui retrouve son amour de jeunesse et mène une enquête lorsqu'elle disparaît.
La même année, il apparaît dans Les Petits Mouchoirs de Guillaume Canet, dans lequel son rôle, bien que court, ouvre le film et en représente l'intrigue majeure.
En 2011, il partage avec Bérénice Bejo l'affiche de The Artist, pour une troisième collaboration avec Michel Hazanavicius. Ce film muet en noir et blanc rend hommage au cinéma hollywoodien des années 1920 et 1930. Il y interprète le rôle de George Valentin, une grande vedette du cinéma muet dont la carrière est brisée par l'arrivée du parlant et dont l'amour naissant pour Peppy Miller (Bérénice Bejo), jeune étoile montante, est contrarié.
Dans une interview, l'acteur affirme avoir d'abord refusé le rôle avant de se raviser[17]. C'est le premier jour du tournage qu'il dit avoir réalisé que le personnage de George Valentin était fait pour lui[17].
Les débuts sont laborieux : les chaînes de télévision refusent d'investir sur un film muet et en noir et blanc et l'avance sur recettes n'est pas allouée au projet[18]. L'arrivée du producteur Thomas Langmann débloque la situation : il mobilise notamment Studio 37 (Orange), France 3 Cinéma, Canal+ et Warner France[19].
Le long-métrage concourt ensuite pour la Palme d'or, lors du 64e Festival de Cannes[20]. À l'origine, The Artist devait être projeté en séance spéciale mais il est basculé en compétition sur l'insistance de Thomas Langmann[21].
Pour ce film, Jean Dujardin est récompensé par le Prix d'interprétation masculine, qui lui est remis par Catherine Deneuve[22]. L'accueil enthousiaste des festivaliers offre au long-métrage la chance d'être acheté par de nombreux distributeurs internationaux dont la Weinstein Company qui lance sa carrière américaine et son intense campagne de promotion en vue des Oscars du cinéma 2012[21].
Le film connaît un engouement outre-Atlantique et gagne la sympathie des spectateurs américains pour son hommage à l'âge d'or des productions classiques et muettes d'Hollywood[23],[24].
En , Jean Dujardin reçoit une nomination aux Screen Actors Guild Awards et aux Golden Globes pour The Artist[25].
Jean Dujardin est le second acteur français à être nommé aux Golden Globes, après Gérard Depardieu, lauréat du Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie en 1991 (pour le film Green Card). Il reçoit également ce prix en [25]. Le 24 janvier, Jean Dujardin est nommé aux Oscars dans la catégorie « meilleur acteur ». Le 29 janvier, il gagne le Screen Actors Guild Award du meilleur comédien[26].
Le 11 février, il participe à l'émission américaine Saturday Night Live où il joue dans un sketch imaginant une fausse série de France 3 intitulée Les jeunes de Paris, filmé à la manière de The Artist et remporte un succès auprès du public présent. Le , Jean Dujardin obtient le prix du meilleur premier rôle masculin lors de la 65e cérémonie des BAFTAs du cinéma britannique.
La consécration intervient le , date à laquelle il remporte l'Oscar du meilleur acteur à Los Angeles grâce à son interprétation de George Valentin dans The Artist[27]. Il devient le premier acteur français à remporter ce trophée. Charles Boyer (distingué d'un Oscar pour sa carrière en 1943), Maurice Chevalier (lui aussi récompensé d'un Oscar d'honneur, en 1959) et Gérard Depardieu avaient été nommés à ce prix avant lui, mais sans succès. Il rejoint alors le cercle des interprètes français oscarisés jusqu'alors exclusivement féminin : Claudette Colbert[28], Simone Signoret, Juliette Binoche et Marion Cotillard.
Par ailleurs, The Artist obtient au total cinq Oscars dont ceux du meilleur film pour Thomas Langmann et du meilleur réalisateur pour Michel Hazanavicius[29]. Le film gagne également six Césars lors de la 37e cérémonie, dont ceux du meilleur film, du meilleur réalisateur et de la meilleure actrice pour Bérénice Bejo.
Son interprétation de George Valentin a été saluée par quatorze récompenses internationales.
La société de productions JD Prod qu'il a fondée en 2002 apparaît au générique de ses deux derniers films : The Artist et Les Infidèles. Pour ce qui est de The Artist, Jean Dujardin possède 20 % des recettes après amortissement du film, 20 % du fonds de soutien et 20 % de la bobine. Pour Les Infidèles, Jean Dujardin a eu l'idée originale du projet, ainsi a-t-il assumé le rôle de producteur délégué. De ce fait, en contrepartie de la prise en charge des risques financiers, l'acteur a eu la maîtrise du financement, des coûts et a pu s'autoriser une liberté artistique plus importante. Il a perçu 400 000 euros en tant qu'auteur et 100 000 euros comme réalisateur. Les coproducteurs délégués de ce film à sketch que sont « JD Prod » et « Black Dynamite Films » ont dû verser les salaires et intéressements de Gilles Lellouche comme auteur (270 000 euros) et réalisateur (90 000 euros). Finalement, Jean Dujardin possède 24 % des recettes après amortissement du film, 25 % du fonds de soutien et 24 % de la bobine. Il souhaiterait produire de nouveaux films en profitant de sa notoriété grandissante depuis le sacre de The Artist[30].
En 2012, il joue entre autres aux côtés de Gilles Lellouche et de sa femme Alexandra Lamy dans Les Infidèles, film à sketches qu'il coproduit, coscénarise et coréalise avec six autres metteurs en scène sur le thème de l'infidélité masculine. À la suite d'une polémique concernant les affiches promotionnelles du film sur lesquelles Jean Dujardin et Gilles Lellouche apparaissent dans des postures suggestives qui « présentent une image dégradante de la femme », l'ARPP qui a reçu quatre plaintes décide de les retirer des lieux publics[31],[32].
Au printemps 2012, il commence le tournage du nouveau film d'Éric Rochant intitulé Möbius avec Cécile de France qui a pour sujet l'espionnage économique[33].
Pendant l'été 2012, il est annoncé sur le tournage de Le Loup de Wall Street, film de Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio.
Le , il participe à l'émission de divertissement Le Débarquement sur Canal+ en compagnie de Guillaume Canet, Gilles Lellouche, Laurent Lafitte, Nicolas Bedos et Alex Lutz[34]. Il s'agit de l'émission humoristique la plus coûteuse de l'histoire de Canal+[35].
Il tourne au printemps 2013 dans son second film hollywoodien, la comédie dramatique de guerre réalisée par George Clooney : The Monuments Men[36], puis à l'automne dans le polar français La French de Cédric Jimenez, film relatif à l’assassinat en 1981 du juge Michel, que Jean Dujardin incarne[37].
Les deux films sortent en 2014 : si La French est bien reçu, et s'exporte bien, notamment grâce à la présence de l'acteur, The Monuments Men est un échec critique, et parvient à peine à doubler son budget de départ.
L'année suivante, il est pour la première fois dirigé par Claude Lelouch pour Un plus une, une romance tournée en Inde, et pour lequel l'acteur a pour partenaire Elsa Zylberstein.
Il entame 2016 avec une comédie romantique plus décalée, sous la direction de Laurent Tirard, et cette fois aux côtés de Virginie Efira. Un temps intitulé Up for Love, le film sort finalement sous le titre Un homme à la hauteur. Celui-ci connaît un succès limité au box-office, inférieur aux scores des comédies romantiques précédentes des deux acteurs principaux[38] ; il s'agit du plus mauvais démarrage pour un film avec Jean Dujardin depuis L'Amour aux trousses (2005)[39]. Son projet le plus attendu de l'année sort en octobre : la suite inattendue Brice 3 lui permet de retrouver James Huth, et fait donc suite au plus gros succès commercial de sa carrière (si l'on exclut Les Petits Mouchoirs).
En , en promotion pour Un plus une, il déclare qu'un troisième OSS 117 ne lui paraît pas judicieux pour l'instant, compte tenu du contexte socio-politique actuel[40]. Mais à la fin du mois, il se ravise et déclare être prêt à tourner dans l'année, si le réalisateur Michel Hazanavicius le lui propose[41].
L'année 2018 est marquée par la sortie de deux longs-métrages : la comédie historique Le Retour du héros, face à Mélanie Laurent et sous la direction de Laurent Tirard. Parallèlement, il joue son propre rôle dans un épisode de la série Dix pour cent. À la fin de l'année, il s'aventure dans le cinéma d'auteur en portant la satire I Feel Good, huitième long-métrage de Gustave Kervern et Benoît Delépine.
Il poursuit dans cette veine en 2019 en tenant le premier rôle masculin de la comédie expérimentale Le Daim, de Quentin Dupieux. Cette année-là, il achève le tournage de son premier projet dramatique depuis 2015, J'accuse, de Roman Polanski. Il y prête ses traits à Marie-Georges Picquart.
En , il est parrain de la cinquième édition du festival international du film de Pauillac Les Vendanges du 7e Art.
Son prochain projet sera un troisième OSS 117, sans Michel Hazanavicius derrière la caméra[42]. À l'occasion du Festival de Cannes 2019, Nicolas Bedos est officialisé au poste de réalisateur[43].
Il fait partie des 45 administrateurs de l’Académie des César[44].
Il a trois frères, dont l'aîné, Marc Dujardin[45], avocat, est son conseiller juridique et le gérant de sa société de production, JD Prod[46],[47],[48],[49].
Jean Dujardin a deux fils, nés en 2000 et 2001, d'une union qui a pris fin en 2003. À partir de cette année-là, il partage la vie d'Alexandra Lamy, sa partenaire dans Un gars, une fille, avec qui il se marie à Anduze, dans le Gard, en [50],[51]. Cette union dure jusqu'en 2013[52].
Il officialise l'année suivante sa relation avec la patineuse de danse sur glace Nathalie Péchalat[53]. Le 5 décembre 2015, ils deviennent parents d'une fille, Jeanne[54], puis se marient à Saint-Cloud le 19 mai 2018[55]. Le 18 février 2021, Nathalie met au monde une nouvelle fois une fille, Alice.
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