Ingrid Bergman

Ingrid Bergman
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Ingrid Bergman en 1944.
Nom de naissance Ingrid Bergman
Naissance
Stockholm (Suède)
Nationalité Drapeau de la Suède Suédoise
Décès (à 67 ans)
Londres (Royaume-Uni)
Profession Actrice
Films notables Casablanca
Hantise
Les Enchaînés
Stromboli
Voyage en Italie
Site internet http://www.ingridbergman.com

Ingrid Bergman [ˈɪŋːrɪd ˈbærjman][1], née le à Stockholm (Suède) et morte le à Londres (Royaume-Uni) est une actrice suédoise.

Elle avait déjà tourné quelques films en Suède lorsque le producteur David O. Selznick lui propose en 1939 de reprendre le rôle principal du remake américain d'Intermezzo, ce qui la fait connaître dans son pays. Sa carrière internationale est lancée et sa popularité s'accroît de films en films : Casablanca, Pour qui sonne le glas, Hantise (1944), qui lui vaut l’Oscar de la meilleure actrice, puis Jeanne d'Arc en font la star mondiale la plus désirée et la mieux rémunérée.

Elle connaît son apogée avec trois films d'Alfred Hitchcock : La Maison du docteur Edwardes, Les Enchaînés et Les Amants du Capricorne.

Elle fait scandale lorsqu'elle part rejoindre le metteur en scène Roberto Rossellini, laissant derrière elle son mari et sa fille. Elle tournera avec lui Stromboli (1950). Les attaques conjointes de groupements religieux, d'associations féministes et même de politiciens la font bannir du cinéma américain pendant sept ans. En 1956, elle tourne à Paris dans Elena et les Hommes de Jean Renoir, puis à Londres dans Anastasia d'Anatole Litvak, qui lui vaudra un deuxième Oscar.

Ingrid Bergman est considérée comme l’une des plus grandes actrices de l’histoire du cinéma. En 1999, le classement « AFI’s 100 Years… 100 Stars » de l’American Film Institute l'a classée quatrième au panthéon des plus grandes actrices du cinéma américain.

Biographie

Enfance

Ingrid Bergman à l'âge de quatorze ans.

Ingrid Bergman naît le à Stockholm. Sa mère, Friedel Henrietta Adler[2], qui est allemande, avait perdu auparavant un premier enfant mort-né et un deuxième mort sept jours après sa naissance. Friedel Bergman née Adler meurt d'une jaunisse lorsque sa fille a tout juste trois ans[3]. Son père, Justus Bergman, qui est suédois, élève sa fille seul et meurt d'un cancer, le  : elle a alors quatorze ans[3]. Elle est ensuite confiée à l'une de ses tantes, puis passe son adolescence chez un de ses oncles[3].

Formation et débuts

Ingrid Bergman à l'âge de 19 ans, dans son premier film, The Count of the Old Town (1934).

Ingrid Bergman entre à la Kungliga Dramatiska Teatern (Dramaten) de Stockholm pour un an, période pendant laquelle elle fait ses débuts au cinéma. Elle interprète une femme de ménage dans The Count of the Old Town (en), sous la direction de Gustaf Molander - avec qui elle tournera à six autres reprises[3] dont Intermezzo, en 1936 - , ce qui changera sa vie.

C'est grâce à ce film, où elle interprète une jeune professeur de piano dont tombe amoureux le père de son élève, qu'elle est remarquée par le producteur de Autant en emporte le vent, David O. Selznick. Ce dernier produit l'adaptation américaine d'Intermezzo où Ingrid tient à nouveau le rôle principal. Le film est un succès et lui ouvre les portes d'Hollywood. Elle est décrite comme un « illustre cadeau de la Suède à Hollywood. » Selznick lui propose d'américaniser son nom, ce qu'elle refuse, et lui fait signer un contrat d'une durée de sept ans. Ils ne feront que deux films ensemble au cours de cette période[3]. Le producteur loue ainsi l'actrice à plusieurs studios. Il la négociera notamment 125 000 dollars à la Warner pour Casablanca[4].

Carrière internationale

Dès lors, Ingrid Bergman tourne avec les plus grands acteurs hollywoodiens sous la direction de réalisateurs fameux. Si elle tourne relativement peu de films, elle reste fidèle à quelques réalisateurs, comme Alfred Hitchcock. Elle tient la vedette dans quelques longs métrages comme La Famille Stoddard de Gregory Ratoff, La Proie du mort de W. S. Van Dyke ou encore Docteur Jekyll et M. Hyde de Victor Fleming. Ces différents rôles lui permettent d'améliorer son jeu d'actrice[5].

En 1942, dans Casablanca, elle incarne le personnage d'Ilsa Lund, qui séduit Rick Blaine, joué par Humphrey Bogart. Il s'agit de son rôle le plus célèbre qui fait d'elle une star mondialement connue[6].

Deux ans plus tard, Ingrid Bergman obtient sa première présélection pour l'Oscar de la meilleure actrice avec Pour qui Sonne le Glas (For Whom the Bell Tolls) de Sam Wood, où elle côtoie Gary Cooper. La statuette est finalement obtenue par Jennifer Jones. Ingrid Bergman gagne néanmoins la récompense l'année suivante pour son rôle d'épouse psychologiquement fragile, victime d'un leurre machiavélique dans Hantise (Gaslight) de George Cukor. Elle reçoit sa troisième nomination consécutive pour l'Oscar de la meilleure actrice avec le film Les Cloches de Sainte-Marie (The Bells of St. Mary's) en 1945.

En 1946, elle donne l'une de ses interprétations les plus marquantes, aux côtés de Cary Grant, dans le film d'espionnage Les Enchaînés (Notorious) d'Alfred Hitchcock. Jeanne d'Arc (Joan of Arc) de Victor Fleming lui vaut une nouvelle présélection en 1948.

En 1949, Ingrid Bergman rencontre le réalisateur Roberto Rossellini dont elle admirait les films. Alors qu'elle joue dans son film Stromboli (1950), ils tombent amoureux et elle quitte l'Amérique et son mari, Petter Lindström, à qui elle laisse la garde de leur fille, Pia, et s'installe en Italie avec Rossellini, qui a coupé pour elle sa liaison avec Anna Magnani, ce qui provoque un scandale aux États-Unis[7]. Elle l'épouse et ils auront trois enfants, deux jumelles, Isabella et Isotta Rossellini et un fils, Renato Rossellini.

Elle tourne quatre autres films sous la direction de Rossellini, ouvrant la période dite des « Bergman-films » et marquant une étape décisive dans leurs carrières respectives : Europe 51, Voyage en Italie, La Peur, Jeanne au bûcher. Avec le rôle principal dans Anastasia d'Anatole Litvak (1956) (qui en fait l'héritière inconnue de la couronne des Romanov, massacrés après la révolution russe), Bergman fait son grand retour à Hollywood et remporte l'Oscar de la meilleure actrice pour la seconde fois de sa carrière.

Cette récompense a donc valeur de pardon accordé par le « métier »[réf. souhaitée] à la star pour ses escapades italiennes. La comédienne, revenue au zénith, alterne plusieurs rôles dans des films américains et européens. Elle obtient le troisième et dernier Oscar de sa carrière, le seul en tant qu’actrice dans un second rôle, pour sa participation au Crime de l'Orient-Express (Murder on the Orient Express) en 1975. Deux ans plus tard, elle interprète le personnage de Charlotte, pianiste virtuose mais mère indigne, dans Sonate d'automne (Autumn Sonata) d'Ingmar Bergman, pour lequel elle reçoit sa septième nomination aux Oscars. Ce dernier rôle pour le grand écran est considéré comme l'une de ses prestations les plus abouties.

Elle fut présidente du jury au Festival de Cannes en 1973.

Mort

Pierre tombale d'Ingrid Bergman au Norra begravningsplatsen.

En 1982, le jour de son soixante-septième anniversaire, Ingrid Bergman meurt à Londres des suites d'un cancer du sein détecté neuf ans plus tôt[8]. Son corps sera incinéré en Suède. Une partie de ses cendres est dispersée dans la mer, l'autre partie étant inhumée au Norra begravningsplatsen (« cimetière du Nord ») de Stockholm.

Pour le premier anniversaire de sa mort, plusieurs de ses amis et parents vinrent l'honorer au Festival du cinéma de Venise. Parmi eux, Gregory Peck, Audrey Hepburn, Charlton Heston, Walter Matthau, Roger Moore, Olivia de Havilland, Claudette Colbert et le Prince Albert de Monaco étaient présents.

Elle meurt seulement quelques jours après sa compatriote, l'actrice suédoise Ulla Jacobsson, également morte d'un cancer, et deux semaines avant une autre actrice de légende, Grace Kelly, dans un accident de voiture.

Vie privée

Son premier mari, Petter Aron Lindström, né en 1907, est le père de sa fille Pia (pour Petter Ingrid Aron), née le . Il rejoindra Ingrid Bergman aux États-Unis et obtiendra son diplôme de médecin à Rochester.

Dans son autobiographie, Ma Vie (My Story), qui fut un livre à succès, elle révèle sa liaison avec le photographe de guerre Robert Capa qui dura deux ans. Il travaillait alors comme photographe de mode et photographe de plateau pour l'American International Pictures, notamment pour le film d’Alfred Hitchcock Les Enchaînés. Hitchcock s'inspira de l’idylle du couple pour écrire le scénario de Fenêtre sur cour[9].

Avec le metteur en scène de théâtre Lars Schmidt, qui fut son mari de 1958 à 1975, elle possédait, sur la côte suédoise, une île nommée Danholmen.

Elle fut un temps la belle-mère de Martin Scorsese, lorsque celui-ci épousa sa fille, Isabella Rossellini.

Ingrid Bergman parlait couramment le suédois, l'allemand, le français, l'anglais et l'italien. Elle n'avait aucun lien de parenté avec son compatriote le réalisateur suédois Ingmar Bergman.

Relation avec Rossellini

Ingrid Bergman et Roberto Rossellini en 1951.

C'est en 1948, après avoir vu Rome, ville ouverte, qu'Ingrid Bergman écrivit à Roberto Rossellini pour lui proposer de travailler avec elle :

« Cher M. Rossellini,
J'ai vu vos films Rome, ville ouverte et Païsa, et les ai beaucoup appréciés. Si vous avez besoin d'une actrice suédoise qui parle très bien anglais, qui n'a pas oublié son allemand, qui n'est pas très compréhensible en français, et qui en italien ne sait dire que « ti amo », alors je suis prête à venir faire un film avec vous. »

— Ingrid Bergman

Elle accepta le rôle du film qu'il avait alors en préparation, Stromboli. Ils se marièrent le et eurent trois enfants : un fils, Roberto Ingmar Rossellini le , les jumelles Isabella Rossellini (qui deviendra actrice) et Isotta (qui sera professeur d'université), le . Cette relation suscita un scandale : Bergman, enceinte au moment de son mariage, fut présentée comme « l'apôtre de la dégradation d'Hollywood »[réf. nécessaire] et contrainte à quitter les États-Unis d'Amérique. Au cours des années suivantes, elle apparut dans quatre autres films de Rossellini, dont Voyage en Italie (1954), film très important, considéré par plusieurs critiques des Cahiers du cinéma comme étant le premier « film moderne ». Rossellini et Bergman divorceront le .

Roberto Rossellini fit cadeau à Ingrid Bergman en 1954 d'une Ferrari spécialement dessinée pour l'actrice par le carrossier Scaglietti. Ce modèle unique porte le nom de 375 MM « Ingrid Bergman ». La teinte grise de cette voiture deviendra par la suite le « Grigio Ingrid » dans la production Ferrari.

Filmographie

Cinéma

Année Titre du Film Réalisateur Rôle Détails
1932 Landskamp (sv) Gunnar Skoglund (sv) non créditée
1935 Le Conte du pont au moine (sv) (Munkbrogreven) Edvin Adolphson Elsa Edlund
Bränningar (sv) Ivar Johansson (sv) Karin Ingman
Swedenhielms Gustaf Molander Astrid
La nuit de la Saint-Jean (sv) (Valborgsmassoafton) Gustaf Edgren Lena Bergström
1936 Intermezzo Gustaf Molander Anita Hoffman
På Solsidan (sv) Gustaf Molander Eva Bergh
1938 Dollar Gustaf Molander Julia Balzar
Quatre filles courageuses (Die vier Gesellen) Carl Froelich Marianne Kruge
Visage de femme (En kvinnas ansikte) Gustaf Molander Anna Holm, aka Anna Paulsson
1939 Une seule nuit (sv) (En enda natt) Gustaf Molander Eva Beckman
Intermezzo ou Envol vers le bonheur ou La rançon du bonheur (Intermezzo: A Love Story) Gregory Ratoff Anita Hoffman
1940 Quand la chair est faible (Juninatten) Per Lindberg (sv) Kerstin Norbäc - aka Sara Nordanå
1941 La Famille Stoddard (Adam Had Four Sons) Gregory Ratoff Émilie Gallatin
La Proie du mort (Rage in Heaven) W. S. Van Dyke Stella Bergen Monrell
Docteur Jekyll et M. Hyde Victor Fleming Ivy Peterson
1942 Casablanca Michael Curtiz Ilsa Lund
1943 Pour qui Sonne le Glas (For Whom the Bell Tolls) Sam Wood María
1944 Hantise (Gaslight) George Cukor Paula Alquist Anton Oscar de la meilleure actrice, Golden Globe
1945 La Maison du docteur Edwardes (Spellbound) Alfred Hitchcock Dr Constance Petersen
L'Intrigante de Saratoga (Saratoga Trunk) Sam Wood Clio Dulaine
Les Cloches de Sainte-Marie (The Bells of St. Mary's) Leo McCarey Sœur Mary Benedict Golden Globe
1946 American Creed Elle-même Court-métrage
Les Enchaînés (Notorious) Alfred Hitchcock Alicia Huberman
1948 Arc de triomphe (Arch of Triumph) Lewis Milestone Joan Madou
Jeanne d'Arc (Joan of Arc) Victor Fleming Jeanne d'Arc
1949 Les Amants du Capricorne (Under Capricorn) Alfred Hitchcock Lady Henrietta Flusky
1950 Stromboli (Stromboli) Roberto Rossellini Karin
1952 Europe 51 (Europa '51) Roberto Rossellini Irene Girard
1954 Voyage en Italie (Viaggio in Italia) Roberto Rossellini Katherine Joyce
La Peur (La paura) Roberto Rossellini Irene Wagner
Jeanne au bûcher (Giovanna d'Arco al rogo) Roberto Rossellini Jeanne d'Arc
1956 Elena et les Hommes Jean Renoir Elena Sokorowska
Anastasia Anatole Litvak Anastasia Oscar de la meilleure actrice, Golden Globe
1958 Indiscret (Indiscreet) Stanley Donen Anna Kalman
L'Auberge du sixième bonheur (The Inn of the Sixth Happiness) Mark Robson Gladys Aylward
1961 Aimez-vous Brahms ? (Goodbye Again) Anatole Litvak Paula Tessier
1964 La Rancune (The Visit) Bernhard Wicki Karla Zachanassian
La Rolls-Royce jaune (The Yellow Rolls-Royce) Anthony Asquith Gerda Millett
1967 Stimulantia Hans Abramson (sv), Hans Alfredson... Mathilde Hartman Film à sketches (multiples réalisateurs)
1969 Fleur de cactus (Cactus Flower) Gene Saks Stephanie Dickinson
1970 La Pluie de printemps (A Walk in the Spring Rain) Guy Green Libby Meredith
1973 From the Mixed-Up Files of Mrs. Basil E. Frankweiler Fielder Cook Mrs. Frankweiler
1974 Le Crime de l'Orient-Express (Murder on the Orient Express) Sidney Lumet Greta Ohlsson Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle, Golden Globe
1976 Nina (A Matter of Time) Vincente Minnelli Comtesse Sanziani
1978 Sonate d'automne (Höstsonaten) Ingmar Bergman Charlotte Andergast

Télévision

Année Titre du téléfilm Réalisateur Rôle Détails
1959 Startime: The Turn of the Screw John Frankenheimer Governess
1961 24 Hours in a Woman's Life Silvio Narizzano Clare Lester
1963 Hedda Gabler Alex Segal Hedda Gabler
1966 The Human Voice Ted Kotcheff (monologue)
1977 Great Performances: Childhood Invitée
1979 The American Film Institute Salute to Alfred Hitchcock Elle-même
1982 Une femme nommée Golda (A Woman Called Golda) Alan Gibson Golda Meir

Téléfilms

Théâtre

Distinctions et hommages

Emmy Award

Ingrid Bergman est honorée d'un Emmy Award à titre posthume en tant que meilleure actrice, pour le feuilleton télévisé Une femme nommée Golda (A Woman Called Golda), retraçant la vie de la Première ministre israélienne Golda Meir.

Oscar du cinéma

Golden Globe Award

Primetime Emmy Awards

BAFTA Awards

Bambi Awards

David di Donatello Awards

Italian National Syndicate of Film Journalists

National Board of Review

National Society of Film Critics Awards

New York Film Critics Circle Awards

Venice Film Festival

Autres distinctions

Hommages

Étoile d'Ingrid Bergman sur le Hollywood Walk of Fame.

Anecdote

Festival du film de Venise en 1952

Bien qu'annoncée comme la gagnante du prix de la meilleure actrice pour son rôle dans Europe 51 lors de la cérémonie de clôture, Bergman ne reçut pas le prix parce qu'elle était doublée par Lidia Simoneschi dans la version originale du film, et les règlements du festival stipulaient qu'un interprète doublé devait être disqualifié de la compétition. Les règles furent modifiées par la suite et, sous la direction artistique de Gillo Pontecorvo, le prix fut décerné à Bergman à titre posthume, et reçu par son fils Robertino Rossellini lors de la cérémonie de clôture de l'édition du festival 1992.

Voix françaises

Notes et références

  1. Prononciation en suédois standard retranscrite selon la norme API.
  2. (en) Charlotte Chandler, Ingrid: Ingrid Bergman, A Personal Biography, Simon & Schuster, New York, 2007, p. 21. (ISBN 0-7432-9421-1).
  3. a b c d et e (en) Biographie de Ingrid Bergman, 1re partie - The Official Ingrid Bergman Website.
  4. Bertrand Tessier, Loïc Sellin, Le grand Atlas Hitchcock, Atlas, , p. 194.
  5. (en) Biographie de Ingrid Bergman, 2e partie - The Official Ingrid Bergman Website.
  6. (en) From quintessential "good girl" to Hollywood heavyweight - The Official Ingrid Bergman Website.
  7. Frédéric Strauss, « Ingrid Bergman et Roberto Rossellini : l'improbable affaire Stromboli », Télérama, 30 juin 2014.
  8. « Ces célébrités mortes le jour de leur anniversaire », sur Le Dauphiné libéré,
  9. Jean Lebrun, « Robert Capa », émission La Marche de l'Histoire sur France Inter, 15 mars 2013.
  10. « "Ingrid Bergman" by Woody Guthrie », sur woodyguthrie.org (consulté le ).
  11. « Jardins de l’Avenue-Foch », sur paris.fr (consulté le ).

Annexes

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Bibliographie

  • Marine Baron, Ingrid Bergman, le feu sous la glace, Les Belles Lettres, 2015
  • Ingrid Bergman et Alan Burgess, Ma Vie, Éditions Fayard, 1980, (ISBN 2-213-00907-4)
  • Isabella Rossellini et Lothar Schirmer, Ingrid Bergman, Actes sud, 2013
  • Ziolkowska-Boehm, Aleksandra, Ingrid Bergman and her American Relatives, Lanham, MD: Hamilton Books, 2013
  • Bertrand Meyer-Stabley, La Véritable Ingrid Bergman, Pygmalion, 2002
  • Donald Spoto, Ingrid Bergman, Presses de la Cité, 1997
  • Laurence Leamer, Ingrid Bergman, Perrin, 1991
  • Christian Dureau, Ingrid Bergman, Visual, 1982

Liens externes

Information

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