Christophe Béchu

Christophe Béchu
Illustration.
Christophe Béchu en 2020.
Fonctions
Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
En fonction depuis le
(7 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Gouvernement Borne
Prédécesseur Amélie de Montchalin
Secrétaire général d'Horizons
En fonction depuis le
(9 mois et 2 jours)
Président Édouard Philippe
Prédécesseur Parti créé
Maire d'Angers
En fonction depuis le
(8 ans, 3 mois et 7 jours)
Élection
Réélection
Prédécesseur Frédéric Béatse
Président d'Angers Loire Métropole
En fonction depuis le
(8 ans, 2 mois et 16 jours)
Élection
Réélection
Prédécesseur Jean-Claude Antonini
Ministre délégué chargé des Collectivités territoriales

(1 mois et 14 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Ministre Gérald Darmanin
Amélie de Montchalin
Gouvernement Borne
Prédécesseur Joël Giraud
(ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales)
Successeur Caroline Cayeux
Sénateur français

(6 ans)
Élection 25 septembre 2011
Circonscription Maine-et-Loire
Groupe politique UMP puis LR
Conseiller régional des Pays de la Loire

(1 an, 6 mois et 21 jours)
Élection 21 mars 2010
Successeur Jeanne Behre-Robinson
Président du conseil général
de Maine-et-Loire

(10 ans et 27 jours)
Prédécesseur André Lardeux
Successeur Christian Gillet
Député européen

(1 an, 5 mois et 18 jours)
Élection 7 juin 2009
Législature 7e
Successeur Agnès Le Brun
Conseiller général de Maine-et-Loire

(13 ans, 1 mois et 7 jours)
Circonscription Canton d'Angers-Nord-Ouest
Prédécesseur Marc Laffineur
Successeur Michelle Moreau
Biographie
Date de naissance (48 ans)
Lieu de naissance Angers (Maine-et-Loire, France)
Nationalité Française
Parti politique UMP (jusqu'en 2015)
LR (2015-2017)
Horizons (depuis 2021)
Diplômé de IEP de Paris

Christophe Béchu
Maire d'Angers

Christophe Béchu, né le à Angers (Maine-et-Loire), est un homme politique français.

Ancien président du conseil général de Maine-et-Loire (2004-2014), il est sénateur de à , ainsi que maire d'Angers et président d'Angers Loire Métropole depuis 2014. Il est membre de l'UMP puis des Républicains, qu'il quitte en 2017. Il est nommé secrétaire général du parti de centre droit Horizons le 9 octobre 2021[1].

Le , il est nommé ministre délégué en charge des Collectivités territoriales, puis, le , ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, dans le gouvernement d'Élisabeth Borne.

Situation personnelle

Études et famille

Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 1996, Christophe Béchu est lauréat de l'examen d'entrée à l'école d'avocat de Poitiers (École du Centre Ouest des Avocats) en , après un DEA de droit public (1997-1998) et un DESS de droit des interventions sanitaires et sociales des collectivités locales (2002-2003)[2].

Christophe Béchu est marié et père de trois enfants[2].

Carrière professionnelle

À partir de 1998, il est chargé de cours en finances publiques au Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT)[2].

Entre 2000 et 2002, il dirige une entreprise de conseil en télécommunications, CrafTelecom[2]. Il préside depuis 2004 la SODEMEL (Société d'équipement du département de Maine-et-Loire), une Société d'économie mixte chargée de l'aménagement des quartiers d'habitations et des parcs d'activités économiques ainsi que de la maîtrise d'ouvrage déléguée d'équipements publics sur le département de Maine-et-Loire[3].

De 2001[2] à 2009, il préside le Service départemental d'incendie et de secours de Maine-et-Loire (SDIS 49).

De 2005 à 2009[réf. souhaitée][4], Christophe Béchu préside l'association du Festival d'Anjou, du décès de son prédécesseur, l'ancien président du Conseil général de Maine-et-Loire Jean Sauvage, à la dissolution de l'association[5]. À partir d'octobre 2009[6], il préside l'EPCC Anjou Théâtre[7], maintenant chargé de l'organisation du Festival d'Anjou.

À partir de [réf. souhaitée], succédant à François Scellier[réf. souhaitée], Christophe Béchu est président de l'Association de collectivités locales « Réseau Idéal »[8], consacrée à la gestion des connaissances des collectivités locales. Il est remplacé par Jean-Louis Destans.[réf. souhaitée]

D'octobre 2006[9] à novembre 2009[10], il est président du Conseil d'administration du groupement d'intérêt public « Enfance en danger » (GIPED)[11] qui gère notamment le Service national d'accueil téléphonique pour l'enfance maltraitée (119 - Allô Enfance en danger), numéro gratuit ayant pour but de faciliter le dépistage des situations de maltraitance à enfant.

En , Christophe Béchu succède à Loïc Le Masne de Chermont au conseil d’administration de Dexia Crédit Local[12]. Il démissionne de cette fonction en janvier 2009[13].

Il figurait sur la liste des participants au groupe Bilderberg en 2012[14].

Parcours politique

Élu de Maine-et-Loire

Élu en 1995 à 21 ans[15] conseiller municipal d'Avrillé dans la périphérie nord-ouest d'Angers, Christophe Béchu, adjoint[2] à la communication de 1998 à 2001 est, parallèlement, de 1998 à 2000, collaborateur parlementaire du député maire d'Avrillé (septième circonscription de Maine-et-Loire) Marc Laffineur (Démocratie libérale[2]) qui, réélu en 2001 le nomme adjoint à l'urbanisme jusqu'en 2008[16].

Parallèlement, il est élu conseiller général du canton d'Angers-Nord-Ouest. Il devient président du Conseil général de Maine-et-Loire le , succédant à André Lardeux qui le soutenait[15]. Âgé de 29 ans[17], il est à l'époque le plus jeune président de conseil général de France[18]. Après les élections cantonales, il est reconduit dans ses fonctions le , puis en 2011[16],[19].

En avril 2016, un rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) fait état de la mauvaise gestion du département[20] sous la présidence Béchu [21].

Candidature à la mairie d'Angers en 2008

À l'automne 2007, il annonce sa candidature à la mairie d'Angers lors des élections municipales de 2008[22] en signant un accord de partenariat avec le Mouvement démocrate[23].

Il se démarque de Jean-Claude Antonini, le maire socialiste sortant, en proposant un autre tracé pour le futur tramway d'Angers et la construction d'un stade de foot en périphérie d'Angers[24]. En , il annonce qu'il refuse le soutien du président de la République française Nicolas Sarkozy en ne participant pas au congrès national de l'UMP pour le lancement de la campagne pour les élections municipales[25] et annonce que parmi ses dix-sept adjoints en cas d'élection, seuls trois seront membres de l'UMP[24]. Le , il reçoit le soutien de Jean Monnier, maire d'Angers de 1977 à 1998[26].

Arrivé en tête à l'issue du premier tour le , Christophe Béchu est battu de justesse, le , par le maire socialiste sortant Jean-Claude Antonini (49,39 % contre 50,61 %)[27], dans un contexte national qualifié, notamment par Jean-Claude Antonini lui-même, de défavorable à la droite[28].

Élu député européen en juin 2009, il démissionne, en raison des limites au cumul des mandats, du conseil municipal de la ville d'Angers après dix-sept mois de mandat[29].

Une polémique naît en mars 2014 à propos de l'agence de communication de la femme du candidat Béchu[30]. Elle aurait assuré plusieurs campagnes politiques, pour un montant de 160 000 euros. Le couple nie tout enrichissement personnel[31].

Élections européennes de 2009

En , Christophe Béchu est désigné par l'Union pour un mouvement populaire tête de liste dans la circonscription Ouest en vue des élections européennes[32]. Le 7 juin, la liste « Majorité présidentielle » qu'il conduit arrive nettement en tête du scrutin : il est donc élu député européen, avec deux autres de ses colistiers, pour un mandat de cinq ans[33].

Élections régionales de 2010

Dans le cadre des élections régionales françaises de 2010, Christophe Béchu est candidat comme tête de liste UMP dans les Pays de la Loire[34]. Au second tour, il est battu par la liste conduite par le président socialiste sortant Jacques Auxiette avec 43,61 % des voix contre 56,39 %[35].

Élu conseiller régional, il est contraint par la limitation du cumul des mandats, de démissionner soit de son mandat de député européen, soit de celui de conseiller général[36],[37]. La liste qu'il conduit ayant déposé un recours en annulation du scrutin auprès du Conseil d'État[38], Christophe Béchu conserve temporairement ses trois mandats[39] puis abandonne son mandat de député européen au profit d'Agnès Le Brun, maire de Morlaix[40] en janvier 2011.

Sénateur (2011-2017)

En septembre 2011, il est élu sénateur de Maine-et-Loire[41]. De nouveau touché par la limitation du cumul des mandats, il démissionne alors de son mandat de conseiller régional, qui échoit à Jeanne Behre-Robinson, adjointe au maire d'Avrillé[42].

Lors de sa mandature en tant que sénateur, Christophe Béchu s'oppose à la Loi de 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe. Il signe en ce sens une tribune contre le mariage pour tous avec Bruno Retailleau dans le magazine d'extrême droite Valeurs actuelles[43].

En 2017, il ne se présente pas aux élections sénatoriales en Maine-et-Loire[44],[45].

Mairie d'Angers (depuis 2014)

Il remporte les élections municipales de 2014 à Angers[46], sa liste étant arrivée en tête avec 54,36 % des voix au second tour, face à celle de Frédéric Béatse, il devient maire en avril 2014[47].

Il soutient Alain Juppé, candidat à la primaire présidentielle Les Républicains de 2016[48].

Un rapport de la Cour des comptes, publié en 2016[49], tire la sonnette d'alarme quant aux choix de développement du parc végétal Terra Botanica d'Angers. La Cour recommande notamment à la commune d'Angers d'établir un contrat de performance avec ce parc.

En 2019, le parc enregistre plus de 330 000 visiteurs[50], soit une hausse de 15 % par rapport à 2018.

Selon Christian Gillet, président du conseil départemental de Maine-et-Loire : « Ces très bons résultats confirment que nous avons eu raison dans nos choix, voilà 5 ans. Non seulement Terra Botanica est devenu une véritable locomotive touristique. Le parc délivre un message moderne, intergénérationnel, tout en distrayant les visiteurs. Le public ne s’y trompe pas. Terra Botanica est un outil de médiation de nouvelle génération. Il est là pour sensibiliser les différents publics à l’importance du végétal, de la nature dans notre quotidien et au respect de la biodiversité. C’est une fierté aujourd’hui qu’il soit à Angers »[51].

Au moment de l'affaire Fillon, il renonce à soutenir François Fillon à l'élection présidentielle de 2017[52]. Peu avant le second tour de l'élection présidentielle française, qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen, il signe une tribune de soutien à Macron[53], ce qui est compris par d’aucun comme une sollicitation de sa part pour rentrer dans le futur gouvernement du nouveau président. Les critiques de son camp sont d’autant plus vives qu’il s’était engagé, lors de ses vœux en début d'année de se consacrer à Angers [54]. Le maire de Cholet Gilles Bourdouleix considère qu’il a « baissé son pantalon » pour essayer d'entrer au gouvernement[55].

Début décembre 2017, il quitte Les Républicains[56]. Il soutient la liste de La République en marche aux élections européennes de 2019[57].

En 2019, un classement du journal Le Point classe Angers en deuxième position des villes les mieux gérées de France dans la catégorie des très grandes villes. Ce classement évalue l’action des maires au début et à la fin de leur mandat, sur des critères financiers[58].

Président de l'ODAS (depuis 2015)

Le 23 octobre 2015 Christophe Béchu est élu président de l'Observatoire national de l’action sociale (ODAS) par le conseil d'administration[59],[60].

L'ODAS a pour mission d'analyser les actions des collectivités locales en matière de cohésion sociale. Il évalue notamment les politiques de protection de l'enfance, d'insertion, et de soutien de l'autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées.[réf. nécessaire][61]

Le 1er mars 2017, l'ODAS rend public son « manifeste pour une nouvelle citoyenneté », un document transmis aux candidats à l'élection présidentielle de 2017, estimant que le thème de la cohésion social n'est pas suffisamment mis en avant[62].

Président de l'AFIT FRANCE (depuis 2018)

Le 16 février 2018, il entre au conseil d'administration de l'Agence de financement des infrastructures de transport en France (AFITF) en tant que personnalité qualifiée[63]. Il en devient le président le 23 avril 2018[64],[65].

L'AFITIF est un établissement public national ayant pour mission de coordonner le financement de grands projets d'infrastructures de transport, dans le respect des objectifs du développement durable et selon les orientations du Gouvernement[66].

Président de La République des maires (depuis 2019)

Le , Christophe Béchu est l'un des 72 maires et élus locaux de droite à l'initiative de la République des maires (RDM), une association de maires et d’élus locaux affirmant leur soutien au président Emmanuel Macron et au gouvernement d'Edouard Philippe[67] ; Christophe Béchu est le président[68].

Municipales 2020 à Angers

Le , Christophe Béchu annonce sa candidature pour les élections municipales 2020 à Angers. Il conduit une liste de 59 angevins, nommée Angers Pour Vous. Parmi les candidats l’ancienne sénatrice EELV Corinne Bouchoux est présente sur sa liste[69]. La liste de Christophe Béchu ne prend l’investiture d’aucun parti politique mais sa candidature est soutenue par En Marche, Les Républicains, Agir, le Modem et le Parti radical[70].

Le , la liste qu'il conduit remporte les élections municipales avec 57,82 % des voix, au premier tour face à 5 candidats[71]. La liste Angers Pour Vous remporte les 83 bureaux de vote de la ville et bénéficie de 49 sièges au conseil municipal sur 59. Le 25 mai suivant, il est réélu maire par le conseil municipal d’installation[72].

Dans le cadre de ces élections municipales, Christophe Béchu demande à deux de ses adjoints, Maxence Henry et Roch Brancour, de prendre leurs distances avec le mouvement « Sens commun »[73]. Ces deux élus restent toutefois adjoints à la suite des élections[74].

Le , il est réélu président d’Angers Loire Métropole lors du conseil communautaire d’installation[75].

Secrétaire général du parti Horizons (depuis 2021)

Le , il participe au lancement du nouveau parti Horizons[76], fondé par l'ancien Premier ministre et maire du Havre Édouard Philippe, et en est nommé le secrétaire général.

Ministre délégué en charge des Collectivités territoriales

Le 20 mai 2022, il est nommé ministre délégué chargé des Collectivités territoriales, auprès du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin et de la ministre de la Transition écologique Amélie de Montchalin, dans le premier gouvernement Borne.

Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires

Le , il est nommé ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires dans le gouvernement d'Élisabeth Borne[77] en remplacement d'Amélie de Montchalin.

Prises de positions et accusations d'homophobie

Opposition au « mariage pour tous »

En 2013, Christophe Béchu s'oppose en tant que sénateur au projet de loi sur le « mariage pour tous »[43], craignant que celui-ci ouvre vers des droits à la PMA et à la GPA[78].

Retrait d'affiches pour la prévention du sida

En novembre 2016, une décision municipale de retirer des affiches de prévention du VIH montrant un couple d'hommes dans la ville d'Angers déclenche une polémique[79]. Le maire fait en effet envoyer un courrier au gestionnaire du réseau de mobilier urbain JCDecaux afin de faire retirer les affiches à proximité des écoles[80].

La polémique prend une dimension nationale, et mène la ministre de la Santé, Marisol Touraine, à intervenir et à qualifier cette décision de « censure »[81].

En 2022, sa nomination comme ministre fait l'objet de critiques, en raison de ces positions[82],[83],[84],[85].

Détails des mandats

Fonctions gouvernementales

  • 2022 : ministre délégué chargé des Collectivités territoriales
  • depuis 2022 : ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires

Mandats parlementaires

Mandats locaux

  • 1995-2008 : conseiller municipal d'Avrillé (réélu en 2001), adjoint au maire chargé de la communication de 1998 à 2001, de l'urbanisme de 2001 à 2008
  • 2001-2014 : conseiller général du canton d'Angers-Nord-Ouest (réélu en 2008, démissionnaire en cours de mandat)
  • 2004-2014 : président du conseil général de Maine-et-Loire (réélu en 2008, démissionnaire en cours de mandat)
  • 2008-2009 : conseiller municipal d'Angers (démissionnaire en cours de mandat)
  • 2010-2011 : conseiller régional des Pays de la Loire (démissionnaire en cours de mandat)
  • depuis 2014 : maire d'Angers

Décorations

Apparitions dans la culture populaire

  • Dans l'introduction de son 6e projet Projet Blue Beam publié le 13 novembre 2018, le rappeur controversé Freeze Corleone s'exprime à propos de Christophe Béchu : « Bellek, j'suis dans l'complot comme le maire de Angers »[88]. Il fait ici référence aux réunions du groupe Bilderberg auxquelles Christophe Béchu participe en 2012. Ces réunions suscitent régulièrement des controverses et alimentent des théories du complot en raison de leur opacité et du caractère confidentiel de ce qu'il s'y discute.

Notes et références

  1. « Angers : Le maire Christophe Béchu sera le n°2 du parti d'Edouard Philippe "Horizons" », sur France 3 Pays de la Loire (consulté le ).
  2. a b c d e f et g « Portait de Christophe Béchu » sur le site internet du conseil général de Maine-et-Loire, consulté le 16 juin 2009
  3. SODEMEL, « Présentation », sur sodemel.fr (consulté le ).
  4. « Historique | Festival d'Anjou édition 2012 » (consulté le ).
  5. « Présentation de l'EPCC Anjou Théâtre » [archive du ], sur anjou-theatre.fr (consulté le ).
  6. recueil des actes administratifs de la préfecture, « Délibération du conseil d'administration de l'EPCC ANJOU THEATRE du 5 octobre 2009 » [PDF], sur maine-et-loire.pref.gouv.fr (consulté le ), p. 108
  7. « Liste des membres du conseil d'administration de l'EPCC Anjou Théâtre », sur anjou-theatre.fr (consulté le ).
  8. « Site officiel de l'association « Réseau Idéal » », sur reseau-ideal.asso.fr.
  9. [PDF] « GIP enfance maltraitée : Rapport d'activité 2006 » (adopté par l’Assemblée générale du 10 octobre 2007), sur le site officiel du Service national d'accueil téléphonique pour l'enfance maltraitée, p. 5
  10. « Patricia Adam élue Présidente du GIP Enfance en danger » sur le blog du Groupe Socialiste et Républicain du Conseil Général du Finistère, 13 novembre 2009
  11. « Conseil d'administration du GIPED » sur le site de l'Observatoire national de l'enfance en danger, consulté le 9 mai 2009
  12. « Christophe Béchu succède à Loïc Le Masne de Chermont au conseil d’administration de Dexia Crédit Local » sur Maire-Info, le .
  13. (en) Dexia Crédit Local, « Annual report 2009 » [PDF], sur dexia-creditlocal.fr (consulté le ), p. 58
  14. (en) Participants au Groupe Bilderberg
  15. a et b « Christophe Béchu, Aux marches des palais », La revue parlementaire no 875.
  16. a et b Stéphane Fefeu, « Christophe Béchu, président du conseil d’administration de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France », Le Moniteur,‎ (lire en ligne).
  17. Pierre-Yves Lautrou, « Jean-Claude Antonini - Christophe Béchu : Face à face », L'Express,‎ (lire en ligne).
  18. « Laboratoire centriste à l'hôtel de ville », Libération, 22 septembre 2006
  19. « Christophe Béchu réélu à la présidence du conseil général » sur le site officiel du conseil général de Maine-et-Loire, .
  20. Sébastien ROCHARD, « Comptes du Département : le verre à moitié vide... ou à moitié plein », Angers Mag - information, actualités locales, politique, culture,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Maine-et-Loire. Conseil général : Michel Piron tacle sévèrement Christophe Béchu », Courrier de l'Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « À Angers, le jeune lion face à l'éléphant », Ouest-France, 31 octobre 2007
  23. « Christophe Béchu et l’enjeu d’Angers » Nouvel Ouest, no 142, p. 34, novembre 2007
  24. a et b « Spécial Angers : Le duel », supplément à L'Express, 7 février 2008, pages II - V
  25. « À Angers, Béchu coupe le cordon avec l'UMP », Ouest-France, 9 janvier 2008
  26. « Le soutien-surprise de J. Monnier à C. Béchu » sur angers.maville.com, .
  27. « Résultats des élections municipales de 2008 à Angers » sur le site officiel du ministère de l'Intérieur, consulté le 17 mars 2008
  28. Pierre Jaxel-Truer, « Christophe Béchu, le gendre idéal de l'UMP », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  29. [PDF] « Conseil Municipal du 29 juin 2009 - Compte-rendu » sur le site officiel de la ville d'Angers, , p. 1.
  30. « Municipales à Angers. Accusé, Christophe Béchu porte plainte », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Angers. Le couple Béchu nie tout enrichissement personnel », Courrier de l'Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Christophe Béchu, tête de liste UMP dans l'Ouest », sur ouest.france3.fr, .
  33. « Le Parti socialiste laminé dans l'Ouest », sur L'Express, .
  34. « Christophe Béchu tête de liste UMP dans les Pays de la Loire », sur Ouest-France, .
  35. ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections régionales 2010 - Pays de la Loire », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  36. Th. B., « Béchu atteint par le cumul des mandats », sur Ouest-France, .
  37. « Article 6.3 de la loi n°77-729 du 7 juillet 1977 relative à l'élection des représentants au Parlement européen », sur Légifrance (consulté le ).
  38. dépêche de l'Agence France-Presse, « La liste Béchu (UMP) dépose un recours », sur Le Figaro, .
  39. « Christophe Béchu ne sera plus député européen à la fin de l'année », sur ouest-france.fr, .
  40. « Parlement européen. Agnès Le Brun remplace Christophe Béchu », sur letelegramme.com, .
  41. « Les portraits des quatre sénateurs de Maine-et-Loire », sur Ouest-France, .
  42. « Christophe Béchu a démissionné du conseil régional », sur Ouest-France, .
  43. a et b « Bruno Retailleau signe une tribune contre le mariage pour tous », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr/,
  44. Sénat français, « Anciens sénateurs Ve République : Béchu Christophe », sur senat.fr (consulté le ).
  45. « Sénatoriales : une élection à l’heure du non-cumul des mandats », Public Senat,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. « Municipales. Christophe Béchu (UMP) se lance dans la campagne d’Angers », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Élection de Christophe Béchu comme Maire », sur anger.cherchenet, .
  48. Jean-Baptiste Garat, « Juppé met le cap sur la primaire », Le Figaro,‎ samedi 3 / dimanche 4 octobre 2015, p. 6 (lire en ligne).
  49. « Rapport public annuel 2016 de la Cour des comptes : insertion sur le Parc végétal Terra Botanica / Communiqués de presse / Presse / Accueil / Cour des Comptes - Cour des comptes », sur ccomptes.fr (consulté le ).
  50. pas notifié, « Angers. 330 000 visiteurs à Terra Botanica en 2019 », sur ouestfrance.fr, (consulté le ).
  51. « Plus de 330 000 visiteurs à Terra Botanica en 2019 ! », sur snelac.com (consulté le ).
  52. « Défections en cascade dans l'équipe de campagne de François Fillon », lepoint.fr, 2 mars 2017.
  53. Jean-François Martin, « Angers. Béchu signe une tribune en faveur de Macron, et pourtant… », ouest-france.fr, 5 mai 2017.
  54. Jean-François Martin, « Christophe Béchu, ce maire de droite qui fait le forcing pour être ministre », ouest-france.fr, 13 mai 2017.
  55. « Quand Gilles Bourdouleix rhabille Christophe Béchu », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne).
  56. Emeric Evain, « Angers. Christophe Béchu quitte Les Républicains », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  57. Maxime Huteau, « Angers. Christophe Béchu soutient la liste d’Emmanuel Macron aux européennes », sur Ouest-France, (consulté le ).
  58. « EXCLUSIF - Palmarès des villes les mieux gérées : "l'Etat peut s'inspirer" du travail de certaines communes », sur Europe 1 (consulté le ).
  59. « ODAS | L’équipe », sur odas.net (consulté le ).
  60. « Christophe Béchu élu nouveau président de l'ODAS », sur ash.tm.fr (consulté le ).
  61. « ODAS | Qui sommes nous », sur odas.net (consulté le ).
  62. « L'Odas détaille ses propositions pour une "nouvelle citoyenneté" », sur Banque des Territoires, (consulté le ).
  63. « Nomination des administrateurs de l’AFITF », sur afitf.net, .
  64. « Nomination de M. Christophe Béchu à la présidence de l’AFITF », sur afitf.net, (consulté le ).
  65. « Agence de financement des infrastructures de transport de France », sur Agence de financement des infrastructures de transport de France (consulté le ).
  66. AFITF : Agence de financement des infrastructures de transport de France, « Missions », sur afitf.net, (consulté le ).
  67. Le JDD, « Christophe Béchu, maire d'Angers : "La République des maires est un mouvement de fond, pas un coup médiatique" », sur lejdd.fr (consulté le ).
  68. Yves Tréca-Durand, « Angers. La "République des maires" sort 20 propositions à 100 jours des élections municipales », sur ouestfrance.fr, (consulté le ).
  69. pas notifié, « Municipales. À Angers, Corinne Bouchoux officiellement sur la liste du maire », sur ouestfrance.fr, (consulté le ).
  70. pas notifié, « Municipales à Angers. Christophe Béchu reçoit le soutien de LREM », sur ouestfrance.fr, (consulté le ).
  71. « Municipales 2020 : à Angers, Christophe Béchu réélu pour un second mandat », sur France 3 Pays de la Loire (consulté le ).
  72. « Le nouveau conseil municipal est installé », sur Angers.Villactu.fr, (consulté le ).
  73. « Municipales : ces candidats soutenus par LREM rattrapés par leurs engagements pro-Manif pour tous », sur leparisien.fr, (consulté le )
  74. « Trombinoscope des élus du conseil municipal », sur angers.fr.
  75. « Christophe Béchu réélu président d’Angers Loire Métropole », sur presse.angers.fr (consulté le ).
  76. « Édouard Philippe lance son propre parti "Horizons" au Havre », sur France Bleu, (consulté le ).
  77. « Nouveau gouvernement. Le maire d’Angers Christophe Béchu nommé ministre délégué », sur ouest-france.fr.
  78. « Les positions anti-mariage pour tous de Christophe Béchu ressurgissent », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  79. François Béguin, « Affiches de prévention du sida : Touraine saisit la justice à la suite d’une "censure" », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  80. « Affiches contre le sida retirées : le maire d'Angers se défend de toute homophobie », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  81. « Angers. Affaires des affiches gays : Béchu répond à la ministre », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  82. « Homophobes et anti-IVG : LREM ratisse chez les réacs pour son nouveau gouvernement », sur Madmoizelle, (consulté le )
  83. « "L'homophobie se renforce": les nominations de Cayeux et Béchu choquent à gauche », sur BFMTV (consulté le )
  84. « Malgré son palmarès anti-LGBT, le ministre Christophe Béchu promu », sur https://tetu.com/ (consulté le )
  85. Marceau Taburet, « Les oppositions se déchaînent contre le nouveau gouvernement », sur Libération (consulté le )
  86. « Décret du 13 juillet 2021 portant promotion et nomination dans l'ordre national de la Légion d'honneur », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  87. « Nomination dans l'ordre des Arts et des Lettres - été 2019 - Ministère de la Culture », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  88. « J'fume que d'la frappe comme le maire de Tanger / Bellek, j'suis dans l'complot comme le maire de Angers », sur Genius (consulté le ).

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes

Information

Article Christophe Béchu en français Wikipedia a pris les places suivantes dans le classement local de popularité:

Le contenu présenté de l'article Wikipédia a été extrait en 2022-07-11 sur la base de https://fr.wikipedia.org/?curid=841802