Borsalino (film)

Borsalino
Description de l'image Borsalino Logo.png.
Réalisation Jacques Deray
Scénario Jean-Claude Carrière
Jean Cau
Jacques Deray
Claude Sautet (d'après le livre Bandits à Marseille d'Eugène Saccomano)
Acteurs principaux
Sociétés de production Adel Productions
Pays de production Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Policier
Durée 126 minutes
Sortie 1970

Série

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Borsalino est un film policier franco-italien réalisé par Jacques Deray en 1970 d'après le livre Bandits à Marseille écrit par Eugène Saccomano. Le film raconte les aventures de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise. Il réunit Alain Delon et Jean-Paul Belmondo pour la première fois en tête d'affiche.

Le long-métrage connaît un important succès auprès du public avec plus de 4,7 millions d'entrées. Il a connu une suite, Borsalino and Co. (avec Delon mais sans Belmondo), sortie sur les écrans en 1974, qui connaît un accueil moindre au box-office.

Résumé détaillé

Cette Lorraine-Dietrich B3 6S apparait sur l'affiche du film

Marseille, 1930. Roch Siffredi est un jeune voyou récemment libéré de prison. Il rend visite au patron d'un cabaret, dit « le Danseur », pour retrouver sa compagne, Lola, mais aussi parce qu'il est persuadé que le Danseur l'a donné et l'a fait envoyer en prison : il met le feu au cabaret. Il retrouve Lola sur les indications du Danseur, mais celle-ci s'est entichée d'un certain François Capella, truand lui aussi, pendant qu'il purgeait sa peine.

Après une rencontre orageuse, les deux hommes deviennent amis et s'associent. Après avoir éliminé la concurrence sur le marché du poisson pour le compte de notables peu scrupuleux, ils se rendent compte qu'ils peuvent en faire plus et décident de conquérir la ville ensemble. Dénués de scrupules et imaginatifs, ils s'attaquent à un des deux parrains de Marseille nommé Poli, propriétaire d'un restaurant et de l'approvisionnement de Marseille en viande, le second étant Marello, le propriétaire d'un casino clandestin. À cause d'une fuite, l'opération de sabotage des entrepôts de viande appartenant à Poli est un échec et ils sont obligés de se retirer. Ils partent alors à la campagne pour se faire oublier, recruter de nouveaux membres dans leur bande, acheter de nouvelles armes et préparer leur vengeance. À leur retour, ils tuent Poli devant son restaurant à l'aide de mitraillettes Thompson, c'est ainsi qu'ils gagnent leur place parmi les notables de Marseille.

Lorsque Me Rinaldi annonce sa candidature au poste de député, Roch Siffredi veut intervenir, car Me Rinaldi est l'avocat de Marello, désormais leur concurrent ; fait député, il donnerait à leur rival une influence accrue. Capella lui conseille cependant de ne rien faire pour l'instant car ils seraient les premiers soupçonnés. Or, Me Rinaldi est touché de deux balles alors qu'il joue au tennis. Capella croit alors que Siffredi a commis cet attentat sans le prévenir et lui demande des explications.

Peu de temps après, Rinaldi est assassiné à l'hôpital. Le meurtrier n'est autre que le Danseur, qui déteste Siffredi depuis l'incendie de sa boîte de nuit, et qui de plus espère provoquer des règlements de compte entre les deux empires criminels, pour tirer les marrons du feu ensuite. Malheureusement pour lui, la veuve l'identifie et un membre de la bande de Capella se charge de l'assassiner.

Malgré cela, Marello fait tuer des proches de Capella et Siffredi. Réconciliés, les deux amis échafaudent alors un plan audacieux. Après s'être rendus au casino de Marello, Capella doit jouer une partie pendant que Siffredi tue discrètement Marello ; au même moment, leur propre bande viendra braquer le casino afin de semer la confusion et de leur fournir un alibi, puisqu'ils font partie des « otages » du gang. Ce plan réussit à merveille et leur permet de prendre le contrôle total de Marseille, face à une police impuissante qui sait parfaitement qu'ils ne sont pas innocents mais ne dispose d'aucune preuve pour les confondre.

Siffredi organise alors une réception pour fêter leur succès ; mais Capella lui annonce qu'il a décidé de quitter Marseille, car il pense qu'ils finiront inéluctablement par devenir rivaux eux-mêmes et s'entretuer.

Capella quitte la réception. Siffredi, resté seul, se plonge dans ses pensées. Il en est brutalement tiré lorsqu'une rafale de mitraillette retentit dehors ; c'est Capella qui a été pris pour cible. La dernière scène du film montre Capella s'effondrant sous les balles, puis expirant dans les bras de Siffredi.

Fiche technique

Distribution

Production

Genèse et choix des acteurs

Alain Delon (en 1963), producteur et acteur principal du film.
Jean-Paul Belmondo (en 1962), acteur principal du film.

La genèse de Borsalino est venue d'une discussion entre Alain Delon et Jacques Deray durant le tournage de La Piscine à Ramatuelle en [5],[6]. Delon vient de lire le livre Bandits à Marseille d'Eugène Saccomano et plus particulièrement un chapitre sur Paul Carbone et François Spirito et veut en produire une adaptation cinématographique par sa société Adel Productions[7], dans lequel il partagerait l'affiche pour la première fois avec Jean-Paul Belmondo en vedette, eux qui s'étaient côtoyés brièvement dans une scène de Paris brûle-t-il ?,avaient tenu des rôles secondaires à leurs débuts dans Sois belle et tais-toi et étaient devenus des vedettes à la même époque, grâce à Plein Soleil pour Delon et À bout de souffle pour Belmondo[5],[8]. Belmondo est contacté mais ne se prononce pas. En fait, l'acteur est intéressé par le projet mais refuse de donner son accord tant qu'il n'a pas de scénario solide entre les mains[8]. Deray écrit avec Jean Cau et Claude Sautet trente pages du script qui seront confiées à Jean-Claude Carrière pour le scénario définitif[5].

Delon est satisfait du script et le soumet à Belmondo, qui accepte l’offre et signe son contrat en [5],[8]. Devant un projet d’une telle ampleur, Delon s'associe avec le studio américain Paramount Pictures pour monter le film, qui doit s'intituler Carbone et Spirito, qui est annoncé pour [5] avec un budget de quatorze millions de francs[8]. Mais le milieu marseillais tente de faire pression, le scénario évoquant également la période trouble de l'Occupation durant laquelle Carbone et Spirito ont collaboré[5]. Plus personne à Marseille ne veut s'impliquer sur le projet et Deray reçoit des menaces téléphoniques[5]. Pour apaiser les tensions, la production va quelque peu modifier le scénario qui n'évoquera pas l'Occupation, le nom des personnages et le titre du film, devenu Marseille 1930[5]. C'est Delon qui choisira le titre définitif du film, Borsalino, d'après la célèbre marque de chapeaux[5]. Afin de reconstituer le Marseille des années 1930, Deray se plonge dans les journaux et archives d'époque et obtient l'aide du photographe Jacques Henri Lartigue, qui met à disposition ses photos de cette période[5].

Tournage

Vue du pont transbordeur de Marseille vu dans le film.

Le tournage de Borsalino débute le [9]. Trois semaines auparavant, le budget qui est calculé en dollars est brutalement amputé de 17 %, à la suite d'une dévaluation de la monnaie[5], obligeant la production et les scénaristes à enlever de longs morceaux du scénario[5]. Le patron de la Paramount, Charles Bluhdorn, récupère tous les droits du film quand Delon demande une rallonge pour terminer le long-métrage[8]. Pour reconstituer le Marseille des années 1930, la production a récupéré des automobiles d'époque et on a transformé plusieurs rues de la ville[5].

L'une des premières scènes tournées est celle de la rencontre suivie de la bagarre entre Capella et Siffredi[5]. Le cascadeur Yvan Chiffre, imposé par Delon, est chargé de coordonner la séquence[5]. Toutefois, Deray ne s'entend pas avec Chiffre, le réalisateur n'accepte pas le passe-droit du cascadeur et insiste pour dire qu'il est le seul maître à bord[5]. Lors d'une séance préparatoire pour la scène, Deray indique à Chiffre qu'il veut une scène similaire à celle de L'Homme tranquille entre John Wayne et Victor McLaglen, mais le cascadeur est dubitatif en raison de la morphologie de Belmondo et Delon, provoquant la colère de Deray[5]. La scène est tournée selon le souhait du réalisateur, mais deux jours plus tard, à la suite de la projection des rushes, Chiffre dit que la scène sonne faux[5]. Delon et Belmondo insistent pour retourner la scène selon ses indications, irritant le metteur en scène, mais celui-ci doit se plier aux volontés des deux stars[5]. Deray reconnaîtra plus tard que Chiffre avait raison après une projection de la nouvelle version[5].

Une autre scène pose également problème, celle où l'ancien catcheur André Bollet, qui incarne le caïd Poli doit gifler Nicole Calfan, qui interprète une jeune femme s'étant entichée de Capella[5]. Bollet devait s'arrêter à un centimètre de la joue de Calfan, mais avait peur de lui faire mal. Delon dit à Bollet de lui mettre une vraie gifle pour la scène, qui sera tournée en une seule prise, tout en prévenant la jeune actrice et en ajoutant que Belmondo et lui apporteront de la glace pour atténuer la douleur[5]. Le tournage se passe dans la bonne humeur, comme le prouve cette anecdote, entre deux prises, sur le port où Delon et Belmondo parient la somme de mille francs avec un gendarme qu'il n'est pas capable de sauter dans l'eau tout habillé, ce que le fonctionnaire accepte de faire[5]. Les deux acteurs vedettes se sont bien entendus durant le tournage, ils sont en « compétition amicale » d'après le maquilleur et grand ami de « Bébel », Charly Koubesserian[5].

Musique

La musique est confiée au compositeur Claude Bolling. Delon et Deray veulent que Bolling arrange et réenregistre des vrais airs de l'époque, mais le compositeur leur demande de lui faire confiance et de le laisser leur proposer des créations originales, comme le morceau qu'il leur fait écouter et qu'il vient d'enregistrer pour un 45 tours non encore édité[5]. La mélodie est choisie et contribuera au succès du film[5] (le single se vendra à plus de 60 000 exemplaires l'année de sa sortie[10]).

Sortie et accueil

Box-office

Borsalino sort le 20 mars 1970 dans les salles françaises. Pour sa première semaine, il prend la seconde place du box-office français avec 182 331 entrées dans 17 salles derrière Le Passager de la pluie[11]. Mais c'est la semaine suivante que le film prend son envol en prenant la tête du box-office avec 498 698 entrées dans 60 salles le diffusant, pour un cumul de 681 029 entrées[12]. Il reste en tête du box-office durant les trois semaines qui ont suivi, voyant son parc de salles augmenter jusqu'à 87 salles, où il enregistre un total de 1 974 032 entrées depuis sa sortie[13]. À la mi-août 1970 et alors qu'il totalise 3 438 037 entrées, Borsalino est distribué dans 109 salles sur l'ensemble du territoire[14]. Le film passe une dernière semaine dans le top 30 hebdomadaire entre fin septembre-début octobre 1970 avec 3 719 949 entrées enregistrée depuis vingt-huit semaines d'exploitation en salles[15], mais y revient brièvement à la trentième semaine avec 3,8 millions d'entrées cumulées[16] et en trente-troisième semaine avec près de 3,9 millions d'entrées[17]. Entre le 20 mars au 31 décembre 1970, Borsalino enregistre un score de 3 940 857 entrées[18]. Le film finit son exploitation avec un résultat de 4 710 381 entrées[19], ce qui est un succès considérable[8]. La ressortie de Borsalino en 2018 totalise 927 entrées[20].

Le succès est relativement limité aux États-Unis avec 1 090 000 $ de recettes[21]. En Belgique, le film engrange 8,3 millions de francs belges de recettes, soit environ 130 000 spectateurs[22], tandis qu'en Italie, le film réunit entre 6,7 et plus de 7 millions d'entrées[19],[22].

Accueil critique

Le film obtient un accueil critique contrasté, Le Film français note que le face à face entre les deux stars justifie le déplacement[23], Image et Son affirme qu'il s'agit d'un « bon petit film policier un divertissement honnête exécuté par un bon artisan, aidé en la circonstance par une équipe d'interprètes bien rodés », mais ajoute « que les spectateurs pourraient se fourvoyer bien davantage qu'à ce film commercial qui ne semble pas viser à être autre chose qu'un bon divertissement de deux heures et qui y parvient d'ailleurs sans trop de mal »[23].

Problèmes juridiques

Le film connaît un fort succès avec plus de quatre millions de spectateurs en France[19]. Mais ce succès est entaché par un conflit juridique qui oppose Jean-Paul Belmondo et Alain Delon pour une histoire de formulation contractuelle non respectée sur l'affiche du film. « Bébel » porte l'affaire au tribunal et gagne son procès en 1972.

La presse de l'époque utilisa cette mésentente pour broder sur la rivalité des deux stars, ce qui servit finalement le succès de Borsalino. Réconciliés depuis lors, ils se retrouveront vingt-huit ans après pour le film Une chance sur deux de Patrice Leconte dans lequel ils partagent la vedette avec Vanessa Paradis.

Diffusion ultérieure

Pour des raisons de droits[24],[25], le film n'est pas sorti sur support vidéo (VHS, Betamax, DVD, ou Blu-Ray) avant 2009 et ne passe que très rarement à la télévision française jusqu'en 2007, avant d'être régulièrement diffusé depuis 2010 [26] :

Dates de diffusion à la télévision de Borsalino
Date de diffusion Chaîne Audiences
(en millions de téléspectateurs)
TF1 NC
La Cinq NC
FR3 5 500 000[27]
TF1 NC
NC
France 3 4 300 000[28]
2 300 000[29]
13ème rue NC
NC
France 3 NC
1 600 000 [30]
Paris Première NC
NC
NC
NC
Arte 1 100 000[31]
NC
W9 278 000 [32]
NC
6ter 307 000 [33]
NC
Paris Première NC
NC
NC
W9 908 000[34]
NC
Paris Première NC
NC
W9 598 000 [35]
NC
W9 581 000 [36]
604 000 [37]

Un accord entre acteurs et surtout avec le détenteur des droits (Paramount) intervient finalement et le , le film connaît sa toute première édition DVD[38],[39].

Récompenses et distinctions

À noter

On peut situer logiquement l'action du film en 1931-1932 car on voit le portrait du président de la République Paul Doumer, accroché dans la mairie de Marseille[réf. nécessaire].

C'est le nom du personnage principal, Roch Siffredi, qui a inspiré le nom de scène de l'acteur pornographique Rocco Siffredi[41].

Notes et références

  1. « Eugène Saccomano a inspiré le film "Borsalino" avec Delon et Belmondo », sur huffingtonpost.fr, (consulté le )
  2. Florent Barraco, « Eugène Saccomano, la voix du foot, est mort. Il a commenté des milliers de matches sur Europe 1 et RTL, inventé le talk-show de sport et inspiré « Borsalino ». », sur lepoint.fr, (consulté le )
  3. Pierre de Boishue, « Saccomano : «Borsalino m’a rapporté 30 000 francs» », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  4. « Extrait de Gabin, Ventura, Delon...: les légendes du Polar - Philippe DURANT - Google Livres », sur Google Books (consulté le ) : « La sortie de Borsalino constitue l'un des événements cinématographiques du premier trimestre 1970. Pas seulement parce que c'est « la » grosse production française du moment (14 millions de francs) mais du fait que les deux vedettes se fâchent. ».
  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y et z Philippe Lombard, « Borsalino : Histoires de tournage » [archive du ], sur devildead.com, (consulté le ).
  6. Mathilde Blottière, « “Borsalino”, le film de gangsters qui a fini au tribunal », sur Télérama, 2 décembre 2018 (m-à-j le 3 décembre 2018) (consulté le ).
  7. Philippe Paul, « Borsalino de Jacques Deray (1970) », sur DVDClassik, .
  8. a b c d e et f David Mikanowski, « Borsalino (W9) : bataille d'égos, tribunal... Retour sur les tensions entre Jean-Paul Belmondo et Alain Delon », sur Télé Loisirs, (consulté le ).
  9. http://cinema.encyclopedie.films.bifi.fr/index.php?pk=57334
  10. TOP 45 Tours - 1970
  11. http://boxoffice-archives.eklablog.com/bo-hebdo-france-1970-c29609154/13
  12. http://boxoffice-archives.eklablog.com/bo-hebdo-france-1970-c29609154/14
  13. http://boxoffice-archives.eklablog.com/bo-hebdo-france-1970-c29609154/18
  14. http://boxoffice-archives.eklablog.com/bo-hebdo-france-1970-c29609154/34
  15. http://boxoffice-archives.eklablog.com/bo-hebdo-france-1970-c29609154/41
  16. http://boxoffice-archives.eklablog.com/bo-hebdo-france-1970-c29609154/43
  17. http://boxoffice-archives.eklablog.com/bo-hebdo-france-1970-c29609154/46
  18. http://top-france.fr/html/bo/bo1970.htm
  19. a b et c http://www.jpbox-office.com/fichfilm.php?id=8901
  20. Base de données Lumière
  21. Fiche IMDb, voir « Box Office » (consulté le 30 novembre 2019).
  22. a et b « BORSALINO - ALAIN DELON BOX OFFICE », sur BOX OFFICE STORY (consulté le ).
  23. a et b http://bebelstory.chez-alice.fr/fiche/fiche_borsalino.htm
  24. « Ce soir à 20h50, France 3 ressucite Borsalino, film culte de Jacques Deray », sur telesatellite.com, (consulté le )
  25. Julien Mielcarek, « "BORSALINO" : 1ÈRE DIFFUSION DEPUIS 16 ANS SUR FRANCE 3 (VIDÉO) », sur OZAP.com, (consulté le ).
  26. « Inathèque (dates de diffusion de Borsalino depuis 1995 » (consulté le ) (noter le titre du film dans l'onglet "Titres" et cliquer sur "Rechercher", les dates de diffusion)
  27. « PRIMETIMES - ANNEE 1991 », sur audiencestv.com (consulté le ).
  28. Jérôme Roulet, « Une Dilettante à succès pour France 3 », (consulté le ).
  29. Tony Cotte, « Borsalino subit la concurrence de Luke Skywalker », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  30. Marion Ollité, « Borsalino : Jean-Paul Belmondo et Alain Delon ne séduisent pas sur France 3 », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  31. Jérôme Roulet, « Audiences TV Prime (dimanche 2 décembre 2018) : Vera et la soirée gilets jaunes sur les traces de World War Z, Borsalino et Le nom des gens au top », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  32. Benoit Mandin, « Audiences TV prime (dimanche 21 avril 2019) : Captain America battu par La grande vadrouille, Le livre de la jungle séduit », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  33. Kevin Boucher, « Audiences : Carton pour "Le Bazar de la Charité" sur TF1 devant "L'Amour est dans le pré" en baisse, TMC au million », sur ozap.com, Puremédias, (consulté le ).
  34. Kevin Boucher, « Audiences : "Stars 80, la suite" leader devant France 3, France 2 et M6 battues par France 5 », sur ozap.com, Puremédias, (consulté le ).
  35. Benoît Mandin, « Audiences TV prime (dimanche 15 août 2021) : Jusqu’ici tout va bien survole, Capital bat Place publique, Arte puissante », sur Toutelatele.com, (consulté le ).
  36. Benoît Mandin, « Audiences TV prime (dimanche 9 janvier 2022) : Kingsman régale TF1, Gone Girl (France 2) troublé par France 3, Ophélie Meunier déçoit M6 », sur Toutelatele.com, (consulté le ).
  37. Valentin Delepaul, « Audiences TV Prime (mardi 2 août 2022) : Tandem (France 3) leader, Superman et Loïs (TF1) faible, Zone interdite (M6) résiste », sur Toutelatele.com, (consulté le ).
  38. http://ecrannoir.fr/blog/blog/2009/11/20/revoir-borsalino-le-film-sort-enfin-en-dvd/
  39. Challenges.fr, « Borsalino pour la première fois en DVD », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Lors de l'édition 1970, un scandale éclate autour du film O.K. de Michael Verhoeven, mettant en scène le viol et le meurtre d'une Vietnamienne par des soldats américains. La réaction indignée du public et des débats houleux poussent le jury à démissionner. Le Festival est annulé.
  41. (fr) « Témoignage d'Alain Delon », dans le DVD de bonus du film Borsalino sorti en 2009.

Liens externes

Information

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