Aurélien Taché

Aurélien Taché
Illustration.
Aurélien Taché en 2017.
Fonctions
Député français
En fonction depuis le
(3 ans, 11 mois et 21 jours)
Élection 18 juin 2017
Circonscription 10e du Val d'Oise
Législature XVe
Groupe politique LREM (2017-2020)
EDS (2020)
NI (depuis 2020)
Prédécesseur Dominique Lefebvre
Biographie
Date de naissance (37 ans)
Lieu de naissance Niort (France)
Nationalité Française
Parti politique PS (jusqu'en 2017)
LREM (2017-2020)
ND (depuis 2020)

Aurélien Taché, né le à Niort (France), est un homme politique français.

Il est d’abord engagé au Parti socialiste et occupe le poste de conseiller auprès des ministres du Logement Sylvia Pinel et Emmanuelle Cosse.

Après avoir rejoint La République en marche (LREM), il est élu député aux élections législatives de 2017 dans la dixième circonscription du Val-d'Oise. À l'Assemblée nationale, il est l'une des figures de l'aile gauche de la majorité. Il est notamment rapporteur de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel », sur le volet de l'assurance chômage.

En 2020, il quitte LREM et rejoint le nouveau groupe Écologie, démocratie et solidarité, puis fonde le parti Les Nouveaux Démocrates qu'il co-préside avec Émilie Cariou.

Famille, études et parcours professionnel

Aurélien Taché est né d’une mère agent des services hospitaliers (ASH) et d’un père agent public local. Il quitte le cursus général en troisième et commence alors un apprentissage en plomberie[1],[2].

À 19 ans, il s'engage dans des études de droit public à l’université de Limoges grâce à une capacité en droit. Au cours de ses études, il est président de l’UNEF Limoges[3].

Il est chargé des déplacements de Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d'Île-de-France[Quand ?][4]. En 2010[réf. nécessaire], il réussit le concours d'attaché territorial. Nommé au conseil régional d’Île-de-France en 2014[3], il est chargé de mission à la lutte contre les exclusions[4].

Il travaille au groupe SOS, au sein du cabinet de Jean-Marc Borello et, à partir de novembre 2016, en tant que délégué régional pour l’Île-de-France[5],[4].

Parcours politique

Débuts

Il s'engage au Parti socialiste (PS) lors de ses études à Limoges : il indique avoir reçu une formation idéologique « socio-démocrate [sic] sur le fond mais mouvementiste sur la forme »[2]. Son engagement à l'UNEF le conduit à aller manifester en Hongrie contre Viktor Orbán et en Tunisie après l’assassinat de Chokri Belaïd[2]. Tout en effectuant ses études de droit à Limoges, il côtoie la « bande de Poitiers » (Stéphane Séjourné, Sacha Houlié, Pierre Person, Guillaume Chiche)[5], à laquelle il est parfois rattaché[6]. Après avoir quitté Limoges pour Paris, il intègre le secrétariat fédéral parisien du PS, chargé des questions de la lutte contre l'exclusion[2]. Il figure en position non éligible sur une liste PS lors des élections municipales de 2014 à Paris[2].

Il devient, en 2014, conseiller auprès de la ministre du Logement Sylvia Pinel, et conserve ce poste auprès d'Emmanuelle Cosse[1]. Il confiera plus tard que la nomination de Manuel Valls comme Premier ministre « a été pour [lui] très compliqué[e] » en raison de ses divergences avec lui[2]. Il est chargé des dossiers relatifs à l’hébergement des sans-abris, du logement des personnes défavorisées, de l’habitat des gens du voyage, et de l’accueil des réfugiés[2]. L'exercice de cette fonction coïncide avec la crise migratoire : il est notamment amené à traiter l'évacuation de la « jungle de Calais »[2].

Hostile au projet avorté de réforme de la déchéance de la nationalité française, il rejoint En marche[2],[7]. Il contribue à l’élaboration du programme présidentiel d’Emmanuel Macron sur la lutte contre la pauvreté[2]. Il se dit convaincu par les « idées fortes » portée par En marche ! « contre les inégalités de parcours et de destin »[2]. Il indique avoir quitté le PS en 2017[8].

Député du Val d'Oise

Élection

Aurélien Taché est élu député dans la dixième circonscription du Val-d’Oise, lors des élections législatives de 2017, sous les couleurs de La République en marche : il l'emporte avec 59 % des voix au second tour face à Katia Noin-Ledanois (La France Insoumise)[9].

Positionnement au sein de la majorité

Le Monde indique au début de la mandature qu'il fait partie d'une petite dizaine de députés qui forment « la garde avancée d’Emmanuel Macron, au palais Bourbon comme dans les médias. Des janissaires dévoués corps et âme au chef de l’État, qui ne dépendent que de lui, ne rendent de comptes qu’à lui »[10]. L'Obs indique en 2018 que « de par son parcours singulier, ses idées propres et son franc-parler, le jeune parlementaire s'est forgé une réputation d'homme libre… et parfois clivant »[2]. Il se réclame du « libéralisme culturel » et se définit comme « progressiste », « même si le terme ne lui convient pas entièrement » selon L'Obs[2]. Marianne estime qu'il « promeut sans complexe des idées libérales qu'il mêle au multiculturalisme « inclusif » venu des États-Unis »[11]. En 2019, il lance, avec Jean-Pierre Mignard et Paula Forteza, le mouvement « Hypérion » qui vise, selon ses termes, à « incarner la sensibilité de la gauche démocrate » au sein de la majorité[12],[13].

Après l'élection de Richard Ferrand comme président de l'Assemblée nationale en septembre 2018, il soutient Laetitia Avia pour lui succéder à la présidence du groupe LREM[3].

À partir de , il co-anime le pôle idées de LREM avec Marlène Schiappa[14],[15]. Au sein du parti, il est l’un de ceux à avoir porté la proposition de mise au vote des orientations et du projet, ce qui n'est pas retenu par la direction[16].

En mars 2020, réagissant aux propos de Caroline Fourest, il affirme le droit de pouvoir « soutenir la pensée décoloniale sans être taxé d'indigénisme » ; plusieurs députés LREM tels que Blandine Brocard, Bruno Questel, François Jolivet, Jean-Baptiste Moreau, et Francis Chouat, expriment leur désaccord avec lui[17].

Aurélien Taché quitte LREM deux mois plus tard, lui reprochant de pas avoir su incarner « les aspirations populaires écologiques et de solidarité » et déplorant notamment que « l'ouverture » du parti ne se soit « faite que vers la droite »[18]. Il continue de soutenir la majorité gouvernementale mais regrette en particulier deux lois : la loi asile et migration et la loi « anti-casseurs »[8]. Il déclare qu'il « ne [sera] pas dans l'opposition » et que « s'il faut choisir, [il sera] dans la majorité »[8].

Au sein de la commission des Affaires sociales

Membre de la commission des Affaires sociales à l'Assemblée, il est le coordinateur (« whip ») du groupe LREM au sein de celle-ci jusqu'en janvier 2018[19]. Il démissionne de cette fonction en indiquant avoir « sous-estimé l'aspect technique et surestimé l'aspect politique de la fonction »[20]. Contexte indique que lui et Valérie Oppelt, qui a démissionné du même poste à la même période, « ont en réalité été débarqués car ils ne donnaient pas satisfaction », selon « plusieurs sources au sein du groupe LRM »[21]. De son côté, L'Obs indique qu'« en réalité, plusieurs élus de son parti l'ont pris en grippe »[2]. Selon Manon Rescan, journaliste au Monde, c'est Richard Ferrand, alors président du groupe, qui décide de lui retirer cette fonction, lui reprochant « d'être un peu trop franc-tireur »[5].

Le , il est sanctionné pour absentéisme et voit son indemnité parlementaire diminuer de 25 % pour le mois d'avril. Fait rarissime, il s'est absenté aux quatre sessions de la commission des Affaires sociales du mois d'avril[22],[23].

En mai 2020, alors que la majorité rejette la proposition du groupe parlementaire La France insoumise de créer un Pôle public du médicament dans le but d’éviter de futures pénuries, Mediapart indique qu'Aurélien Taché s'est « contenté de demander un énième rapport, cette fois sur l’impact des incitations fiscales à la recherche et à la production »[24].

Rapporteur de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel »

Il est rapporteur de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » sur le volet de l'assurance chômage[25], promulguée le .

Il fait voter, en juin 2018, un amendement qui contraint les plateformes telles que Deliveroo, Foodora ou Uber à rédiger une « charte sociale » visant à définir « les modalités permettant d'assurer aux travailleurs un revenu d'activité décent », établir « des mesures de prévention des risques professionnels auxquels les travailleurs peuvent être exposés » ou encore garantir qu'ils puissent exercer sur plusieurs plateformes à la fois : si Aurélien Taché évoque « une forme de dumping social par le haut » et estime que « ce système pourra donner moins de raisons à un juge de requalifier un travailleur indépendant en salarié, car il aura déjà les protections nécessaires à son statut », Marianne indique alors que « les syndicats craignent une consécration de la "zone grise" entre travailleurs indépendants et salariés »[26]. Libération considère que la loi « les protégera alors de tout risque de requalification de ces travailleurs en salariés », et souligne que « l’amendement n’est pas très contraignant : les plateformes ne sont pas obligées de déposer une charte, et si elles le font, elle sera propre à chacune d’entre elle »[27]. L’amendement est vivement critiqué par les partenaires sociaux, autant de la part des syndicats que des organisations patronales[27].

Il dépose également un amendement qui lie la mise en place d'un bonus malus sur les cotisations patronales et la révision des règles de cumul emploi-chômage, que la ministre Muriel Pénicaud lui demande de retirer[28].

Prises de position

Laïcité, hijab, polygamie

Très engagé sur les sujets liés à la laïcité, Aurélien Taché fait partie d'un groupe de travail de députés LREM sur l'islam et figure parmi les partisans d’une laïcité ouverte et « inclusive »[29],[30]. Il obtient l'abandon du projet d'interdiction du port de signes religieux ostensibles aux accompagnateurs de sorties scolaires, contre le souhait du ministre Jean-Michel Blanquer[11].

Au printemps 2018, il prend la défense de Maryam Pougetoux, responsable de l'UNEF alors critiquée pour son port du voile[2]. En septembre 2018, son collègue François Cormier-Bouligeon l'accuse publiquement de défendre « des positions plus proches du communautarisme que de la laïcité »[2].

Début 2019, il défend la commercialisation du « hijab de running »[31]. Le 2 mars 2019, dans l'émission C l'hebdo sur France 5, il tient les propos suivants : « Vous me posez la question pour une jeune fille de douze ans qui porterait le voile et serait élevée dans une famille musulmane. Est-ce que vous me poseriez la question sur une famille catholique, une jeune fille à qui on mettrait un serre-tête ? Bien sûr que non ». Son intervention soulève une large réprobation, y compris au sein de son parti. La secrétaire d'État, Marlène Schiappa, déclare notamment « qu'aucune femme dans le monde [ne] sera lapidée parce qu'elle ne porte pas un serre-tête »[32]. Marianne relève que la polémique sur ses propos « coupe LREM en deux camps opposés sur la laïcité et le voile » et qu'Aurélien Taché recueille alors le soutien de Sacha Houlié[15]. Aurélien Taché déclare ensuite que « cet exemple a été mal compris » et « présente donc [ses] excuses à ceux que ces propos auraient pu blesser »[33]. Ses propos sont débattus au bureau exécutif de LREM du 4 mars 2019[34]. À l'issue de celui-ci, le parti décide de ne pas sanctionner Aurélien Taché, mais d'organiser un débat interne le sur la laïcité[35].

En , il critique les propos du ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer, qui s'était déclaré opposé à ce que des femmes voilées puissent accompagner les élèves lors de sorties scolaires, et fait un parallèle avec le comportement de Julien Odoul, un responsable du RN qui s'en était pris à une femme voilée. En réponse, Jean-Michel Blanquer exige la saisie de la commission des conflits de LREM et demande des sanctions contre Aurélien Taché[36]. Stanislas Guerini, délégué général de LREM, saisit la « cellule médiation » du parti : Aurélien Taché présente ses excuses à Jean-Michel Blanquer lors de leur rencontre[37].

En novembre 2020, il fait polémique en remettant en cause l’une des mesures du projet de loi confortant les principes républicains : au sujet de la polygamie, il estime qu’il est « étonnant que l’État se mêle de ce genre de choses » alors que « la société française est plurielle et diverse »[38]. Il déclare par la suite que ses propos ont été « mal compris » mais réaffirme son opposition à toute « morale d’État » ainsi que sa crainte de voir l’interdiction des trouples inscrite dans la loi à l’instar de la polygamie[39].

Immigration

En , il remet au Premier ministre Édouard Philippe un rapport sur la « refonte » de la politique d’accueil et d’accompagnement des étrangers en France ; il estime qu'un nombre suffisant de ses propositions sont reprises par le gouvernement « pour considérer que ça n'aura pas été vain »[2],[40]. Dans le même temps, dans le cadre de l'examen du projet de loi pour une immigration maîtrisée, un droit d'asile effectif et une intégration réussie, il porte des amendements, assez populaires au sein du groupe LREM, visant à faciliter l'accès des demandeurs d'asile au marché du travail et à des cours de langue française[41]. En , dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances pour 2019, il fait adopter une proposition développée dans son rapport, à savoir la mise en place d'un crédit d’impôt pour les personnes hébergeant des réfugiés (incitation financière de 5 euros par nuitée, dans la limite de 1 500 euros par an et avec un encadrement par des associations agréées), alors que le gouvernement n'y est pas favorable[42],[2]. Le Sénat supprime cet amendement en , à la demande du gouvernement[43].

En août 2020, après son départ de LREM, il s'en prend au ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin et à la secrétaire d'État Marlène Schiappa qu'il accuse d'entretenir « la haine antimusulmane », suite à la décision d'expulser une famille bosniaque coupable de séquestration et d'actes de torture sur une adolescente[44]. La secrétaire d'État réagit en déplorant son absence de soutien à la victime, ainsi que son recours à « une logique identitaire » qui « est celle de l'extrême droite »[44]. La prise de position d'Aurélien Taché conduit à l'annulation à la dernière minute de son intervention prévue sur les discriminations à l'université d'été du PS ; il accuse alors le Printemps républicain, auquel il s'oppose régulièrement sur Twitter, d'avoir pesé dans son éviction, ce dont le mouvement se défend[45].

Sécurité

En , il est le premier à annoncer son intention de s’abstenir sur la proposition de loi « anti-casseurs »[7].

Cannabis

En , il signe un appel publié dans L'Obs pour « légaliser le cannabis, qu’il soit utilisé à des fins thérapeutiques comme récréatives »[46].

Union européenne

En , Aurélien Taché affirme que le programme de LREM pour les élections européennes de 2019 est de « transférer une grande partie de la souveraineté nationale au niveau européen » et se dit « totalement pour qu’on transfère la souveraineté de la France au niveau européen »[47],[48]. Il appelle également à accepter une des conditions imposées par l'Allemagne pour avancer « sur le budget de la zone euro », à savoir que « la France laisse son siège au conseil de sécurité de l'ONU »[47].

Références

  1. a et b Alexandre Lemarié, Aurélien Taché, la caution sociale dans Le Monde du 20 février 2018 p. 7
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Charlotte Cieslinski, « Aurélien Taché, ce député LREM qui a fait voter une aide fiscale pour l'accueil des réfugiés », sur nouvelobs.com, (consulté le 27 octobre 2018).
  3. a b et c Yann Guégan et Diane de Fortanier, « La galaxie LRM à l’Assemblée nationale », sur contexte.com, (consulté le 19 octobre 2018).
  4. a b et c Marie-Pierre Bourgeois, « Ces fonctionnaires territoriaux qui deviennent députés », sur La gazette des communes.com, (consulté le 10 mars 2019).
  5. a b et c Alexandre Boudet, « Comment Aurélien Taché s'est construit une image d'électron libre de LREM », sur huffingtonpost.fr, (consulté le 10 mars 2019).
  6. Caroline Vigoureux, « Person, Taché, Houlié, Chiche... La contre-offensive de la «bande de Poitiers» », sur L'Opinion.fr, (consulté le 18 mai 2020).
  7. a et b Laure Equy, « Aurélien Taché : les pieds dans le plat «laïcité» », sur liberation.fr, (consulté le 10 mars 2019).
  8. a b et c « Le député Aurélien Taché, figure de l'aile gauche de LREM, quitte le parti présidentiel », sur Franceinfo, .
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  10. Cédric Pietralunga et Alexandre Lemarié, « Les snipers de la Macronie », sur lemonde.fr, (consulté le 24 octobre 2017).
  11. a et b Hadrien Mathoux, « Aurélien Taché l'Américain », sur marianne.net, (consulté le 10 mars 2019).
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  13. « Aurélien Taché et Jean-Pierre Mignard : « La République en marche doit savoir assumer le débat » », sur lemonde.fr, (consulté le 30 octobre 2019).
  14. Alexandre Lemarié, « LRM se réorganise pour essayer d’exister », sur lemonde.fr, (consulté le 11 mars 2019).
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  45. Pauline Graulle et Ellen Salvi, « Ecarté de l’université d’été, l’ex-macroniste Aurélien Taché serait-il trop à gauche pour le PS? », sur Mediapart, (consulté le 29 août 2020).
  46. Caroline Vigoureux, « Libéraliser le cannabis? La majorité a la tête qui tourne », sur L'Opinion.fr, (consulté le 29 octobre 2019).
  47. a et b « Le programme de LREM ? « Transférer la souveraineté de la France » à l'Europe, prévient le député Aurélien Taché », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le 4 décembre 2018).
  48. « Un député LREM veut « transférer la souveraineté nationale au niveau européen », sur Valeurs actuelles (consulté le 3 mars 2019).

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