Aurélie Filippetti

Aurélie Filippetti
Illustration.
Aurélie Filippetti en 2012.
Fonctions
Députée française

(2 ans, 8 mois et 24 jours)
Circonscription 1re de la Moselle
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC (2014-2016)
SER (2016-2017)
Prédécesseur Gérard Terrier
Successeur Belkhir Belhaddad

(1 mois et 1 jour)
Élection 17 juin 2012
Circonscription 1re de la Moselle
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC
Prédécesseur François Grosdidier
Successeur Gérard Terrier

(4 ans, 11 mois et 27 jours)
Élection 17 juin 2007
Circonscription 8e de la Moselle
Législature XIIIe (Cinquième République)
Groupe politique SRC
Prédécesseur Jean-Marie Aubron
Successeur Circonscription supprimée
Conseillère municipale de Metz

(4 ans, 3 mois et 1 jour)
Élection 30 mars 2014
Maire Dominique Gros
Successeur Stéphane Martalié
Ministre de la Culture et de la Communication

(2 ans, 3 mois et 9 jours)
Président François Hollande
Premier ministre Jean-Marc Ayrault
Manuel Valls
Gouvernement Ayrault I et II
Valls I
Prédécesseur Frédéric Mitterrand
Successeur Fleur Pellerin
Conseillère générale de la Moselle

(2 ans, 4 mois et 6 jours)
Élection 27 mars 2011
Circonscription Canton de Maizières-lès-Metz
Prédécesseur Gérard Terrier
Biographie
Date de naissance (48 ans)
Lieu de naissance Villerupt (France)
Nationalité Française
Parti politique LV (1999-2006)
PS (2006-2017)
G·s (depuis 2018)
Conjoint Frédéric de Saint-Sernin
(2012-2014)
Arnaud Montebourg
(2014-2017)
Diplômée de École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud
Profession Enseignante

Aurélie Filippetti, née le à Villerupt (Meurthe-et-Moselle)[1], est une femme politique et romancière française.

Membre des Verts, du Parti socialiste puis de Génération.s, elle est élue députée de la Moselle aux élections législatives 2007, puis réélue à celles de 2012.

Elle est ministre de la Culture et de la Communication du au , dans les gouvernements Ayrault I et II, puis Valls I, sous la présidence de François Hollande.

Biographie

Origines familiales

Elle est la fille d'Angelo (prénom francisé en « Angel ») Filippetti (1938-1992), mineur de fond, maire communiste d'Audun-le-Tiche[2] de 1983 à 1992 et conseiller général de 1979 à 1985, et d'Odette Filipetti, intendante de collège[3].

Les parents de son père étaient des immigrés italiens antifascistes venus dans les années 1920 travailler dans les mines de fer de Lorraine[4]. Son grand-père paternel, résistant, a été arrêté en février 1944 et déporté avec deux de ses frères[5]. Il est mort (mention Mort pour la France[6]) au camp de concentration de Bergen-Belsen à la fin d'avril 1945, après la libération du camp[7],[8],[9].

Aurélie Filippetti raconte dans un roman paru en 2003, Les Derniers Jours de la classe ouvrière, comment son grand-père a été arrêté par la Gestapo au fond de la mine après avoir été dénoncé. Elle évoque aussi dans ce livre la mémoire ouvrière des mineurs et des ouvriers sidérurgistes de Lorraine et le sentiment de déclassement qu'ils ont ressenti après la fermeture des mines et des usines.

Formation

Après le baccalauréat, elle entre en classes préparatoires littéraires au lycée Georges-de-La-Tour à Metz, et, en 1993, est admise à l'École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud. En 1995, titulaire d'un DEA de lettres modernes à propos du jansénisme[10], elle est reçue à l'agrégation de lettres classiques[11].

Elle enseigne pendant un an comme professeur de lettres dans l'académie de Versailles, avec le statut de titulaire sur zone de remplacement (TZR), notamment au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine[12].

Vie privée

Elle a été la compagne de Frédéric de Saint-Sernin de 2012 à 2014.

Entre septembre 2014 et début 2017, elle a été en couple avec Arnaud Montebourg[13],[14]. Ils ont eu ensemble une fille, Jeanne, née en septembre 2015[15].

Elle a une autre fille, Clara, née d'une précédente relation.

Elle a aussi été la compagne de Thomas Piketty[16], contre lequel elle a porté plainte en 2009 pour violences conjugales, avant de retirer sa plainte. En 2019, après que Thomas Piketty a affirmé publiquement que ses propres filles avait été victimes de violence de la part d'Aurélie Filippetti, cette dernière porte de nouveau plainte contre lui, cette fois pour diffamation[17].

Parcours politique

Les Verts (1999-2006)

Aurélie Filippetti adhère aux Verts en 1999, puis devient membre du cabinet d'Yves Cochet, ministre de l'Environnement de juillet 2001 à mai 2002. Aux élections municipales de 2001, elle est élue conseillère d'arrondissement dans le 5e arrondissement de Paris[18]. Tête de liste des Verts au premier tour après s'être battue pour la parité[19] elle obtient 13,75 % des voix[20]. Elle recueille 6,55 % des voix dans la deuxième circonscription de Paris aux élections législatives de 2002[21]. Elle devient membre du secrétariat exécutif et porte-parole des Verts-Paris en mars 2003[22].

Elle est membre fondatrice de la Convention pour la Sixième République[23].

Elle prend ses distances avec Les Verts dès 2003 au moment des manifestations contre la guerre en Irak et quitte définitivement le parti qu'elle accuse d'avoir franchi « la ligne jaune » en 2006 quand l'investiture lui est refusée alors qu'elle envisage de retourner en Lorraine[24].

Parti socialiste (à partir de 2006)

En , elle rejoint l'équipe de campagne de Ségolène Royal[25], candidate à l'élection présidentielle de 2007, comme conseillère spéciale (environnement, culture, éducation, sujets de société). En , d'abord pressentie pour la 7e circonscription de Meurthe-et-Moselle, elle est investie par les militants socialistes de la 8e circonscription de la Moselle, dont le député PS sortant Jean-Marie Aubron ne se représente pas[26]. Elle est élue le avec 50,96 % des voix.

Manuel Valls, alors député de l’Essonne, et Aurélie Filippetti lors de la Journée du livre politique, en 2009.

Elle est porte-parole puis vice-présidente de la Convention pour la Sixième République[27],[28], puis du courant pro-Royal « L'Espoir à gauche » pour le congrès de Reims[29]. Candidate aux élections européennes de 2009, elle est troisième de la liste conduite par Catherine Trautmann dans la circonscription Est, place qui ne lui permet pas d'être élue le 7 juin, la liste socialiste ayant obtenu deux élus avec 17,8 % des voix.

Elle soutient François Hollande pour la primaire présidentielle socialiste de 2011. À la suite de la victoire de celui-ci, elle est intégrée dans son équipe de campagne et chargée de la Culture, de l'audiovisuel et des médias[30]. Écrivain elle-même, elle défend le livre et l'indépendance des médias. Elle prône le développement du numérique et un plan national d’éducation artistique et culturelle ainsi que l'abrogation de la loi Hadopi[31]. En novembre 2011 elle est investie par les militants socialistes comme candidate aux élections législatives, avec pour suppléant Gérard Terrier. La 8e circonscription de Moselle ayant été supprimée par le redécoupage électoral de 2010, elle est réélue députée le 17 juin 2012 avec 59,04 % des voix[32] dans la 1re circonscription de la Moselle.

Lors de la nomination du gouvernement Ayrault, le 16 mai 2012, elle devient ministre de la Culture et de la Communication[33],[34]. Elle est reconduite dans le second gouvernement Ayrault, et elle doit donc abandonner son mandat de député incompatible avec une fonction gouvernementale. Son suppléant Gérard Terrier siège donc à l'Assemblée nationale à partir du 22 juillet 2012. Mais comme Gérard Terrier, maire de Maizières-lès-Metz et conseiller général de la Moselle doit selon la loi abandonner l'un de ses mandats locaux, il ne peut que céder son siège au conseil général de la Moselle à sa suppléante, Aurélie Filippetti, qui devient de fait conseillère générale du canton de Maizières-lès-Metz[35].

En 2014, alors qu'elle est ministre depuis deux ans déjà et que le président de la République avait indiqué que les membres du gouvernement qui échoueraient aux élections municipales devraient quitter leur ministère[36], elle se porte candidate aux élections municipales à Metz en deuxième position sur la liste conduite par Dominique Gros. Elle est élue simple conseillère municipale[37] et renonce dans la foulée, le , à son mandat de conseillère générale du canton de Maizières-lès-Metz[38] en application des règles de non-cumul des indemnités qu'elle prône[39].

Ministre de la Culture et de la Communication

En tant que ministre de la Culture et de la Communication, elle annonce ses priorités : un projet de loi assurant la protection des sources d'information des journalistes, une refonte de la loi Hadopi, la « sécurisation » du financement de l'audiovisuel public et la fin de la nomination des dirigeants des chaînes publiques par le président[40]. Elle décide également de renforcer la parité homme-femme notamment pour la nomination des directeurs d'institutions culturelles[41].

Pour 2013, le budget de son ministère est en baisse de 2 % par rapport à celui de 2012[42]. Finalement, en avril, et malgré les promesses de campagne, elle annonce l'abandon de la réforme de la loi Hadopi. Seule une variable d'application de la loi est modifiée par décret[43]. Le budget de la culture est annoncé en baisse de 2,8 % en 2014[44]. En 2014, elle doit faire face aux grèves des intermittents du spectacle pendant les festivals d'été[3].

Elle annonce, le , son intention de ne pas participer au second gouvernement de Manuel Valls. Elle écrit une lettre expliquant qu'elle n'est plus en accord avec la politique menée : « Il y a un devoir de solidarité, mais il y a aussi un devoir de responsabilité vis-à-vis de ceux qui nous ont fait ce que nous sommes. Je choisis pour ma part la loyauté à mes idéaux. Je ne serai donc pas […] candidate à un nouveau poste ministériel[45]. »

Après le gouvernement

Elle retrouve son siège de députée de la Moselle le [46].

Dans une interview à Mediapart, le 4 octobre 2014, elle reproche à François Hollande son échec sur la gestion des hauts fourneaux de Florange, son enfermement dans les institutions de la Ve République ainsi que la personnalisation de la présidence de la République.

Elle fait partie des 39 députés socialistes, dits « frondeurs », à s'abstenir sur le budget de 2015. Elle justifie cette décision du fait « d'avoir des comptes à rendre à ses électeurs et aux Français » et affirme « n'avoir de leçon à recevoir de qui que ce soit » en réponse au premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, qui lui reproche son « manque de foi » et elle justifie également l'abstention de ses collègues anciens ministres Delphine Batho, Cécile Duflot et Benoît Hamon.

Elle est membre de l'équipe de campagne d'Arnaud Montebourg pour la primaire citoyenne de 2017[47]. Après la victoire de Benoît Hamon, elle devient l'une de ses porte-paroles pour la campagne présidentielle.

Candidate à sa réélection lors des élections législatives de 2017, elle est éliminée dès le premier tour avec seulement 11,8 % des voix[48].

À la rentrée 2017, Aurélie Filippetti devient enseignante à Sciences Po Paris sur le campus de Paris et sur celui de Nancy. De 2017 à 2019, elle rejoint aussi occasionnellement l'équipe des chroniqueurs de Marc-Olivier Fogiel dans son émission On refait le monde, sur RTL de 19 h 15 à 20 h[49], et de 2017 à 2019, elle assure un cours à l'ESJ Paris[50]. Depuis 2019, elle est chroniqueuse régulière de L'Esprit public sur France Culture.

Le 13 octobre 2017, elle est exclue pour un an et demi du Parti socialiste par la fédération de Moselle pour avoir soutenu une liste dissidente aux élections sénatoriales[51]. Elle dénonce un contexte de « purge politique » au PS contre « ceux qui ont défendu une ligne plus à gauche » que celle du parti ces dernières années[52]. Le , elle rejoint Génération.s, le mouvement de Benoît Hamon, son ancien collègue au gouvernement et annonce son départ du PS[53].

Aurélie Filippetti démissionne du conseil municipal de Metz le 5 juillet 2018[54].

Le 9 décembre 2020, elle lance l'Appel inédit avec la députée LFI Caroline Fiat et la conseillère régionale PS Pernelle Richardot dans le but d'unir la gauche et les écologistes aux élections régionales de 2021 dans le Grand Est[55]. Rassemblant moins de 10 % des suffrages exprimés (8,64 %), la liste est éliminée au premier tour[56].

En 2021, elle dirige la liste « Union de la Gauche » aux élections régionales de 2021 dans le Grand Est[57]. Cette liste, soutenue par La France insoumise et des dissidents du Parti socialistes, arrive cinquième avec 8,64 % des voix et n'est pas qualifiée pour le second tour[58].

Autres activités

Elle est présidente de 2005 à mai 2012 du conseil d'administration du Festival international de cinéma de Marseille (FID Marseille)[59].

De 2016 à 2020, elle est présidente du Festival du cinéma méditerranéen de Montpellier (Cinémed)[60].

Décoration

Prise de position

Après l'élection de Donald Trump comme président des États-Unis, elle estime que « la gauche américaine aurait dû être fidèle à Bernie Sanders éliminé lors des primaires démocrates plutôt qu’à Clinton, on a moqué Sanders mais c’est sans doute lui qui avait raison. Quand la gauche est trop libérale, trop proche des élites financières, cela ne marche pas[62]. »

Publications

Notes et références

  1. « Aurélie Filippetti », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  2. Pierre Schill, « FILIPPETTI Angel [FILIPPETTI Angelo, francisé en Angel », sur univ-paris1.fr, .
  3. a et b Marion Mourgue, « Filippetti - L'intermittente », Le Figaro Magazine, semaine du 27 juin 2014, pages 46-54.
  4. Biographies d'Angel et Tommaso Filippetti dans le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier, mouvement social de mai 1940 à mai 1968, tome 5, p. 205 à 207, Éditions de l'Atelier, 2009. Accès en ligne : Angel Filippetti et Tommaso Filippetti.
  5. Sur ce point, voir la communication de Pierre Schill, « Antifascisme et résistance ouvrière organisés autour de la CGT et du Parti communiste en Moselle annexée (1940-1945) : entre histoire et mémoire » présentée au colloque « Annexion et nazification en Europe », qui s'est tenu à Metz, les 7 et 8 novembre 2003. Elle figure aux p. 173 à 187 des actes publiés sous la direction de Sylvain Schirmann (université de Strasbourg) et téléchargeables sur le site internet du Mémorial d'Alsace-Moselle à Schirmeck.
  6. Décision du 8 décembre 2020 de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre, dossier 14357.
  7. Aurélie Filippetti, une ombre de différence, lejdd.fr.
  8. Aurélie Filippetti, la normalienne du président.
  9. Aurélie Filippetti sur Journal des femmes.
  10. « Aurélie Filippetti, le cœur a ses raisons », sur liberation.fr, .
  11. « Aurélie Filippetti, la plus proche conseillère de Ségolène Royal », sur politique.net, (consulté le ).
  12. « Aurélie Filippetti est ministre de la culture », sur lorraine.france3.fr, .
  13. « Paris Match révèle la liaison entre Aurélie Filippetti et Arnaud Montebourg », sur francetvinfo.fr, mise en ligne et consulté le .
  14. « Arnaud Montebourg et Aurélie Filippeti se sont séparés », La Dépêche du .
  15. « Filippetti a accouché d’une petite Jeanne », sur tempsreel.nouvelobs.com, (consulté le ).
  16. « Plainte Filippetti / Piketty : domaine public ? », .
  17. « Violences conjugales : Aurélie Filippetti porte plainte pour diffamation contre Thomas Piketty »
  18. Mandat : - .
  19. Sylvia Zappi, « Aurélie Filippetti, retour à la mine », lemonde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  20. « Élections municipales des 11 et 18 mars 2001 - premier tour - résultats de la ville de Paris » [PDF], sur paris.fr (consulté le ).
  21. « Élections législatives des 9 et 16 juin 2007 - premier tour - résultats de la ville de Paris » [PDF], sur paris.fr (consulté le ).
  22. Blog de Jean-Marc Pasquet.
  23. « Aurélie Filippetti, le cœur et la raison », sur elle.fr, (consulté le ).
  24. Charlotte Rotman, « Aurélie Filippetti, le roman de la jeune rose » dans Libération, 13 décembre 2006.
  25. Article de L'Humanité du 30 novembre 2006.
  26. Sylvia Zappi, « Aurélie Filippetti, retour à la mine », Le Monde, 2 juin 2007.
  27. Communiqué du Conseil Fédéral de la convention pour la sixième république..
  28. Compte rendu d'assemblée générale de la Convention pour la sixième République, 25 juin 2005..
  29. Aux côtés de Manuel Valls, Jean-Louis Bianco, Delphine Batho, Pascal Terrasse, Julien Dray, Jean-Jack Queyranne, Gaëtan Gorce, David Assouline, François Rebsamen, Louis Mermaz, Gérard Collomb, Jean-Noël Guérini, Gilles Savary, Jean-Pierre Mignard et Malek Boutih.
  30. David Revault d'Allonnes, « L'équipe de François Hollande dévoilée », lemonde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  31. « Les “60 engagements pour la France” de François Hollande », sur leparisien.fr (consulté le ).
  32. Résultats des élections législatives 2012 : MOSELLE (57) - 1re circonscription.
  33. « Aurélie Filippetti : une romancière au ministère de la Culture », .
  34. « Aurélie Filippetti : une femme de convictions Rue de Valois », .
  35. Le Républicain lorrain, 24 juillet 2012, « Aurélie Filippetti au conseil général ».
  36. lefigaro.fr, « En attendant le remaniement, les ministères tournent au ralenti », sur lefigaro.fr (consulté le ).
  37. « Les membres du conseil municipal », sur mairie-metz.fr (consulté le ).
  38. Communiqué de presse relatif à la mise en œuvre de la loi sur le non cumul des mandats.
  39. Closermag.fr, « Encore une démission pour Aurélie Filippetti ! », sur closermag.fr (consulté le ).
  40. Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts, « Aurélie Filippetti veut une loi sur la protection des sources », Libération, .
  41. « Aurélie Filippetti : une année de couacs à la Culture », Maxime Pargaud, lefigaro.fr, 15 juillet 2013.
  42. « Budget : les chiffres clés pour 2013 », .
  43. Ministère de la Culture et de la Communication, journal-officiel.gouv.fr.
  44. « Budget 2014 : qui sont les ministères gagnants et les perdants ? », metronews.fr, 30 juin 2013.
  45. Filippetti : « Je ne serai pas, cher François, candidate à un nouveau poste ministériel » Le Monde du 25 août 2014.
  46. « Mme Aurélie Filippetti - Mandat clos - Moselle (1re circonscription) - Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  47. « L'organigramme de l'équipe de campagne d'Arnaud Montebourg dévoilé », Libération, 2 janvier 2016.
  48. « Ces personnalités balayées dès le premier tour » - Le Figaro, 11 juin 2017.
  49. « Gaspard Gantzer et Aurélie Filippetti sur RTL à la rentrée », Le Point/AFP, 25 août 2017.
  50. « Aurélie Filippetti rejoint l'ESJ Paris ».
  51. « Aurélie Filippetti persona non grata au PS », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  52. « Filippetti dénonce une "purge politique" au PS », France 24, .
  53. Sophie de Ravinel, « Aurélie Filippetti rejoint le mouvement de Benoît Hamon », sur Le Figaro, .
  54. « Conseil municipal de Metz : Filippetti démissionne, Singer menacée d'exclusion », Le Républicain lorrain, .
  55. https://lappelinedit.fr
  56. « Grand Est. Élections régionales: pas de fusion entre les listes Romani et Filippetti », sur www.dna.fr (consulté le )
  57. Emmanuel Bouard, « Régionales 2021 dans le Grand Est : Aurélie Filippetti n'est plus l'égérie des ouvriers », sur France 3 grand est, (consulté le ).
  58. « Régionales 2021 : Jean Rottner largement en tête du premier tour dans le Grand-Est] », sur Libération, .
  59. Aurélie Filippetti, site de campagne de François Hollande, 2012.
  60. « Le fabuleux destin méditerranéen d'Aurélie Filippetti », sur Le Monde, .
  61. Conformément à l'article 2 du Décret no 57-549 du 2 mai 1957 portant institution de l'ordre des Arts et des lettres.
  62. « Trump : pour Jean-Christophe Cambadélis, “la gauche française est prévenue” », sur lemonde.fr, (consulté le ).

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Information

Article Aurélie Filippetti en français Wikipedia a pris les places suivantes dans le classement local de popularité:

Le contenu présenté de l'article Wikipédia a été extrait en 2021-12-10 sur la base de https://fr.wikipedia.org/?curid=611888